Le feuilleton de la crise du FLN continue. Les deux camps rivaux ne veulent apparemment pas observer la moindre trêve. Même en cette période estivale les hostilités sont encore de mise. Le feuilleton de la crise du FLN continue. Les deux camps rivaux ne veulent apparemment pas observer la moindre trêve. Même en cette période estivale les hostilités sont encore de mise. Ainsi en invoquant un prétendu soutien du président du parti, qui n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux thèses du camp de l'ancien secrétaire général du parti, Abderahmane Belayat a provoqué le courroux de Amar Saadani et ses partisans. Ces derniers sont ainsi, de nouveau, passés à l'offensive en vue de contrecarrer les «insinuations» de leurs rivaux. Dans leurs déclarations aux medias les partisans du secrétaire général contesté, Amar Saïdani, indiquent que les allégations de Abderahmane Belayat sont dénuées de tout fondement. En somme, pour eux, le président d'honneur du parti, à savoir le président Bouteflika, n'a pas du tout apporté son soutien aux thèses de Belkhadem et de Belayat. « C'est immoral de parler au nom du président de la République parce que ce dernier n'intervient pas dans la gestion des affaires du parti lesquelles sont régies par les statuts et le règlement intérieur » a déclaré Sade Bougataya, membre du bureau politique du FLN . Il y a quelques jours seulement Abdelaziz Belkhadem a révélé que le président du parti est favorable à la tenue d'une session du comité central pour élire un nouveau secrétaire général. Selon l'ex-secrétaire général du vieux parti des instructions ont été données dans ce sens. Quelques jours après ces déclarations Abderahmane Belayat, un partisan du retour de Belkhadem au secrétariat général, enfonce le clou en soulignant que pas moins de 257 membres du comité central sont eux aussi favorables à cette session. Pour Bouguetaya «le secrétaire général Amar Saïdani était membre de la direction de campagne du candidat Bouteflika et les correspondances adressées au parti concernant les consultations sur la révision de la Constitution lui parviennent directement. Cela prouve qu'il est reconnu par toutes institutions comme étant un secrétaire général légitime ». Et d'ajouter, comme pour clore définitivement cette parenthèse, que « le président du parti n'a pas chargé Belkhadem de réunir une session du comité central ». De son côté Tahar Khaoua, chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN, a indiqué que des cadres du parti menacent de saisir la justice contre Belayat. « Il dit avoir l'appui de 250 membres du Comité central. Pourquoi alors n'a-t-il pas convoqué encore cette réunion ? Belayat ment .Il n'a l'appui de personne, surtout pas celui du président Bouteflika » a affirmé Khaoua dans une déclaration à un site électronique. Le 24 juin dernier les deux camps se sont affrontés et Belkhadem et ses partisans n'ont pu participer à la session du comité central au cours de laquelle a été installée la commission de préparation du prochain congrès , prévu au premier semestre de l'année prochaine . Mais malgré ce qui s'est passé Belkhadem n'a pas pour autant désarmé et ne s'est pas avoué vaincu dans sa quête de reprendre les rênes alors qu'il a été destitué le 31 janvier 2013 par le comité central. Il continue ainsi de clamer qu'il a le soutien du président du parti. Mais Saïdani et ses partisans ne l'entendent pas de cette oreille et ne vont pas céder le terrain aux ambitions de Belkhadem et ses amis. Ainsi en invoquant un prétendu soutien du président du parti, qui n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux thèses du camp de l'ancien secrétaire général du parti, Abderahmane Belayat a provoqué le courroux de Amar Saadani et ses partisans. Ces derniers sont ainsi, de nouveau, passés à l'offensive en vue de contrecarrer les «insinuations» de leurs rivaux. Dans leurs déclarations aux medias les partisans du secrétaire général contesté, Amar Saïdani, indiquent que les allégations de Abderahmane Belayat sont dénuées de tout fondement. En somme, pour eux, le président d'honneur du parti, à savoir le président Bouteflika, n'a pas du tout apporté son soutien aux thèses de Belkhadem et de Belayat. « C'est immoral de parler au nom du président de la République parce que ce dernier n'intervient pas dans la gestion des affaires du parti lesquelles sont régies par les statuts et le règlement intérieur » a déclaré Sade Bougataya, membre du bureau politique du FLN . Il y a quelques jours seulement Abdelaziz Belkhadem a révélé que le président du parti est favorable à la tenue d'une session du comité central pour élire un nouveau secrétaire général. Selon l'ex-secrétaire général du vieux parti des instructions ont été données dans ce sens. Quelques jours après ces déclarations Abderahmane Belayat, un partisan du retour de Belkhadem au secrétariat général, enfonce le clou en soulignant que pas moins de 257 membres du comité central sont eux aussi favorables à cette session. Pour Bouguetaya «le secrétaire général Amar Saïdani était membre de la direction de campagne du candidat Bouteflika et les correspondances adressées au parti concernant les consultations sur la révision de la Constitution lui parviennent directement. Cela prouve qu'il est reconnu par toutes institutions comme étant un secrétaire général légitime ». Et d'ajouter, comme pour clore définitivement cette parenthèse, que « le président du parti n'a pas chargé Belkhadem de réunir une session du comité central ». De son côté Tahar Khaoua, chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN, a indiqué que des cadres du parti menacent de saisir la justice contre Belayat. « Il dit avoir l'appui de 250 membres du Comité central. Pourquoi alors n'a-t-il pas convoqué encore cette réunion ? Belayat ment .Il n'a l'appui de personne, surtout pas celui du président Bouteflika » a affirmé Khaoua dans une déclaration à un site électronique. Le 24 juin dernier les deux camps se sont affrontés et Belkhadem et ses partisans n'ont pu participer à la session du comité central au cours de laquelle a été installée la commission de préparation du prochain congrès , prévu au premier semestre de l'année prochaine . Mais malgré ce qui s'est passé Belkhadem n'a pas pour autant désarmé et ne s'est pas avoué vaincu dans sa quête de reprendre les rênes alors qu'il a été destitué le 31 janvier 2013 par le comité central. Il continue ainsi de clamer qu'il a le soutien du président du parti. Mais Saïdani et ses partisans ne l'entendent pas de cette oreille et ne vont pas céder le terrain aux ambitions de Belkhadem et ses amis.