Dans le cadre de ses visites de travail, le ministre de la Communication, Hamid Grine, a encore une fois insisté sur la formation des journalistes qu'ils soient dépendants du secteur public ou privé. Dès le début de sa prise de fonctions, Hamid Grine avait annoncé la couleur en frappant fort en matière de déclarations à l'encontre, non seulement des éditeurs, mais également de l'ensemble des acteurs impliqués dans la chaîne de l'information. Dans le cadre de ses visites de travail, le ministre de la Communication, Hamid Grine, a encore une fois insisté sur la formation des journalistes qu'ils soient dépendants du secteur public ou privé. Dès le début de sa prise de fonctions, Hamid Grine avait annoncé la couleur en frappant fort en matière de déclarations à l'encontre, non seulement des éditeurs, mais également de l'ensemble des acteurs impliqués dans la chaîne de l'information. Il avait d'ailleurs annoncé l'envoi d'une correspondance aux éditeurs en vue de consacrer 2 % de leurs profits à des programmes de formation destinés aux journalistes. M. Grine, qui inspectait le siège et les installations de la station régionale de la Radio nationale à Oum-El- Bouaghi, a souligné que le volet de la formation est d'autant plus important que la presse algérienne est appelée à accompagner les transformations en cours dans le pays, dans tous les domaines. Le ministre qui s'est entretenu avec les journalistes et les travailleurs de la station, a rappelé que son département a prévu un programme de formation ambitieux, avec des sessions consacrées à divers domaines de la profession, en particulier l'éthique et la déontologie, afin de permettre au journaliste de traiter l'information de manière objective, neutre et crédible. La première session, at- il également rappelé, aura lieu à Oran, le 20 octobre prochain, encadrée par des professeurs d'université étrangers, et la seconde est prévue à Constantine un mois plus tard. Il a également fait savoir, dans ce contexte, que d'autres sessions auront lieu à Ouargla et à Béchar. Le ministre a visité le premier étage de l'immeuble de la radio, aménagé en centre régional de formation pour les journalistes de ce média activant dans les wilayas de l'est du pays. Insistant sur place sur l'entretien de ce siège à l'architecture avenante, fonctionnelle et aérée, il a souligné que ce média de proximité se doit d'être est un trait d'union entre les citoyens et les autorités locales. Il a ensuite inspecté le centre de diffusion de TDA, situé dans la commune de Fkirina. Un équipement qui couvre, sur un rayon de 350 km, plusieurs wilayas du nord et de l'est du pays, ainsi qu'une partie de la Tunisie, a-t-on indiqué. Le ministre, visitant cette structure de diffusion, a instruit ses responsables à l'effet de veiller à sa maintenance. Quant a sa visite à Constantine, Hamid Grine a instruit les journalistes de la presse publique dont le professionnalisme n'est pas en cause, de se ‘‘décomplexer'' et avoir davantage de punch. ‘‘Il n'y a pas de censure, mais plutôt de l'autocensure dans l'esprit de nombre de journalistes exerçant dans les médias publics'', a indiqué le ministre qui a imagé ses propos en soulignant qu'un ‘‘boxeur poids lourds ne doit pas boxer comme un poids plumes''. Il est édifiant de constater, a ajouté en substance M. Grine au cours d'une rencontre au siège du quotidien An-Nasr qui a organisé un forum exceptionnel, que des journalistes affirmés de la presse privée, parfois de grandes plumes, demandent à intégrer la presse publique qui jouit de considération et qui offre des salaires convenables et la sécurité de l'emploi. Le ministre de la Communication a par ailleurs insisté sur l'objectivité qui a présidé, malgré ce qui a pu être écrit, à la désignation de Miloud Chorfi à la tête de l'autorité de régulation de l'audiovisuel. Une autorité, a-t-il rappelé, constituée de neuf membres nommés par décret présidentiel. S'agissant de l'autorité de régulation de la presse écrite, M. Grine a souligné que son élection et son installation dépendent des journalistes eux-mêmes qui doivent préalablement être recensés et identifiés au moyen de la carte professionnelle qui leur sera délivrée sur présentation d'un dossier. Cela devrait se faire dans 3 ou 4 mois, peut-être dans 7 ou 8 mois, voire un peu plus mais ‘‘nous n'attendrons pas indéfiniment'', d'autant que la sous-commission actuellement chargée de cette carte de journaliste sera suivie d'une ‘‘commission permanente qui demeurera ouverte''. La balle est, en fait, "dans le camp des journalistes qui doivent hâter la formalisation de leur dossier auprès de l'actuelle sous-commission'', a conclu le ministre à ce propos, après avoir affirmé qu'il n'existe, au ministère de la Communication, aucune volonté de distinction entre presse publique et presse privée. Le forum d'An- Nasr a donné lieu à la signature, en présence du ministre de la Communication et de la délégation qui l'accompagne, d'une convention entre le quotidien et une école privée en vue de la formation des journalistes en langue anglaise. Il avait d'ailleurs annoncé l'envoi d'une correspondance aux éditeurs en vue de consacrer 2 % de leurs profits à des programmes de formation destinés aux journalistes. M. Grine, qui inspectait le siège et les installations de la station régionale de la Radio nationale à Oum-El- Bouaghi, a souligné que le volet de la formation est d'autant plus important que la presse algérienne est appelée à accompagner les transformations en cours dans le pays, dans tous les domaines. Le ministre qui s'est entretenu avec les journalistes et les travailleurs de la station, a rappelé que son département a prévu un programme de formation ambitieux, avec des sessions consacrées à divers domaines de la profession, en particulier l'éthique et la déontologie, afin de permettre au journaliste de traiter l'information de manière objective, neutre et crédible. La première session, at- il également rappelé, aura lieu à Oran, le 20 octobre prochain, encadrée par des professeurs d'université étrangers, et la seconde est prévue à Constantine un mois plus tard. Il a également fait savoir, dans ce contexte, que d'autres sessions auront lieu à Ouargla et à Béchar. Le ministre a visité le premier étage de l'immeuble de la radio, aménagé en centre régional de formation pour les journalistes de ce média activant dans les wilayas de l'est du pays. Insistant sur place sur l'entretien de ce siège à l'architecture avenante, fonctionnelle et aérée, il a souligné que ce média de proximité se doit d'être est un trait d'union entre les citoyens et les autorités locales. Il a ensuite inspecté le centre de diffusion de TDA, situé dans la commune de Fkirina. Un équipement qui couvre, sur un rayon de 350 km, plusieurs wilayas du nord et de l'est du pays, ainsi qu'une partie de la Tunisie, a-t-on indiqué. Le ministre, visitant cette structure de diffusion, a instruit ses responsables à l'effet de veiller à sa maintenance. Quant a sa visite à Constantine, Hamid Grine a instruit les journalistes de la presse publique dont le professionnalisme n'est pas en cause, de se ‘‘décomplexer'' et avoir davantage de punch. ‘‘Il n'y a pas de censure, mais plutôt de l'autocensure dans l'esprit de nombre de journalistes exerçant dans les médias publics'', a indiqué le ministre qui a imagé ses propos en soulignant qu'un ‘‘boxeur poids lourds ne doit pas boxer comme un poids plumes''. Il est édifiant de constater, a ajouté en substance M. Grine au cours d'une rencontre au siège du quotidien An-Nasr qui a organisé un forum exceptionnel, que des journalistes affirmés de la presse privée, parfois de grandes plumes, demandent à intégrer la presse publique qui jouit de considération et qui offre des salaires convenables et la sécurité de l'emploi. Le ministre de la Communication a par ailleurs insisté sur l'objectivité qui a présidé, malgré ce qui a pu être écrit, à la désignation de Miloud Chorfi à la tête de l'autorité de régulation de l'audiovisuel. Une autorité, a-t-il rappelé, constituée de neuf membres nommés par décret présidentiel. S'agissant de l'autorité de régulation de la presse écrite, M. Grine a souligné que son élection et son installation dépendent des journalistes eux-mêmes qui doivent préalablement être recensés et identifiés au moyen de la carte professionnelle qui leur sera délivrée sur présentation d'un dossier. Cela devrait se faire dans 3 ou 4 mois, peut-être dans 7 ou 8 mois, voire un peu plus mais ‘‘nous n'attendrons pas indéfiniment'', d'autant que la sous-commission actuellement chargée de cette carte de journaliste sera suivie d'une ‘‘commission permanente qui demeurera ouverte''. La balle est, en fait, "dans le camp des journalistes qui doivent hâter la formalisation de leur dossier auprès de l'actuelle sous-commission'', a conclu le ministre à ce propos, après avoir affirmé qu'il n'existe, au ministère de la Communication, aucune volonté de distinction entre presse publique et presse privée. Le forum d'An- Nasr a donné lieu à la signature, en présence du ministre de la Communication et de la délégation qui l'accompagne, d'une convention entre le quotidien et une école privée en vue de la formation des journalistes en langue anglaise.