Les partis de la majorité, c'est-à-dire ceux soutenant le président de la République, organisent la riposte à leurs pairs de l'opposition qui déploient une intense activité et qui revendiquent le changement à travers une période de transition. Les partis de la majorité, c'est-à-dire ceux soutenant le président de la République, organisent la riposte à leurs pairs de l'opposition qui déploient une intense activité et qui revendiquent le changement à travers une période de transition. C'est certainement dans ce cadre que s'inscrit la rencontre entre le FLN et le MPA que dirige Amara Benyounés. Les deux dirigeants de ces deux partis politiques, à savoir Amar Saïdani et Amara Benyounès, qui se sont en effet donnés rendez-vous hier au siège du FLN, ont fustigé à ce propos l'opposition qui réclame une transition démocratique. « Notre démarche s'inscrit dans le cadre des consultations des partis qui soutiennent le président de la République. Nous avons une identité de vue sur ce plan car nous avons réaffirmé notre soutien net et indéfectible au président » dira le chef de file du MPA, Amara Benyounès, lors d'un point de presse animé conjointement avec son homologue du vieux parti à l'issue de la rencontre qui a duré presque une heure de temps. Pour ce dernier « toutes les institutions du pays sont légitimes et ceux qui veulent occuper la place du président doivent attendre 2019 ». Le premier responsable du MPA fait ainsi allusion à la date de l'expiration du mandat du président Bouteflika et lance un message à l'opposition selon lequel il n'y aura pas de période de transition encore moins, par voie de conséquence, de l'élection présidentielle anticipées car le président, élu le 17 avril dernier, ira au terme de son mandat de cinq ans. Le secrétaire général du FLN lui donne de l'écho en soutenant à son tour, que « l'opposition qui veut le fauteuil du président est une opposition stérile. Le président, comme nous l'avions déjà dit , est une ligne rouge du moment qu'il a été élu par les Algériens ». Voila qui a le mérite d'être clair vis-à-vis des revendications de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) qui considère que le changement doit passer impérativement par une période de transition qui suppose, il va sans dire, l'annulation de facto de toutes les institutions du pays, y compris le président de la République. Cette réponse intervenait au moment où les dirigeants de la CNLTD se réunissaient au siège du MSP pour prendre officiellement position vis-à-vis de l'initiative du FFS qui appelle à la tenue d'une conférence nationale du consensus. Et à propos de cette initiative justement, les deux partis, le FLN et le MPA, ne se sont pas encore prononcés car leurs positions restent un tant soit peu réservé pour le moment « Nous sommes le premier parti à avoir rencontré le FFS et le premier parti aussi a avoir adressé une lettre à Hocine Aït Ahmed. Ce que fait le FFS aujourd'hui le concerne car on ne s'est mis d'accord sur aucune chose avec ce parti sauf qu'on s'est entendu sur la nécessité de dialoguer » a indiqué Amar Saïdani. Les deux partis se sont mis d'accord pour poursuivre leurs consultations et ont indiqué que des rencontrées seront organisées à l'avenir. « Il est tout a fait normal de rencontrer le FLN, le RND et le TAJ » a indiqué Amara Benyounès ajoutant que « si l'opposition s'attaque au pouvoir il est normal que les partis qui soutiennent le président réagissent contre ces attaques ». C'est certainement dans ce cadre que s'inscrit la rencontre entre le FLN et le MPA que dirige Amara Benyounés. Les deux dirigeants de ces deux partis politiques, à savoir Amar Saïdani et Amara Benyounès, qui se sont en effet donnés rendez-vous hier au siège du FLN, ont fustigé à ce propos l'opposition qui réclame une transition démocratique. « Notre démarche s'inscrit dans le cadre des consultations des partis qui soutiennent le président de la République. Nous avons une identité de vue sur ce plan car nous avons réaffirmé notre soutien net et indéfectible au président » dira le chef de file du MPA, Amara Benyounès, lors d'un point de presse animé conjointement avec son homologue du vieux parti à l'issue de la rencontre qui a duré presque une heure de temps. Pour ce dernier « toutes les institutions du pays sont légitimes et ceux qui veulent occuper la place du président doivent attendre 2019 ». Le premier responsable du MPA fait ainsi allusion à la date de l'expiration du mandat du président Bouteflika et lance un message à l'opposition selon lequel il n'y aura pas de période de transition encore moins, par voie de conséquence, de l'élection présidentielle anticipées car le président, élu le 17 avril dernier, ira au terme de son mandat de cinq ans. Le secrétaire général du FLN lui donne de l'écho en soutenant à son tour, que « l'opposition qui veut le fauteuil du président est une opposition stérile. Le président, comme nous l'avions déjà dit , est une ligne rouge du moment qu'il a été élu par les Algériens ». Voila qui a le mérite d'être clair vis-à-vis des revendications de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) qui considère que le changement doit passer impérativement par une période de transition qui suppose, il va sans dire, l'annulation de facto de toutes les institutions du pays, y compris le président de la République. Cette réponse intervenait au moment où les dirigeants de la CNLTD se réunissaient au siège du MSP pour prendre officiellement position vis-à-vis de l'initiative du FFS qui appelle à la tenue d'une conférence nationale du consensus. Et à propos de cette initiative justement, les deux partis, le FLN et le MPA, ne se sont pas encore prononcés car leurs positions restent un tant soit peu réservé pour le moment « Nous sommes le premier parti à avoir rencontré le FFS et le premier parti aussi a avoir adressé une lettre à Hocine Aït Ahmed. Ce que fait le FFS aujourd'hui le concerne car on ne s'est mis d'accord sur aucune chose avec ce parti sauf qu'on s'est entendu sur la nécessité de dialoguer » a indiqué Amar Saïdani. Les deux partis se sont mis d'accord pour poursuivre leurs consultations et ont indiqué que des rencontrées seront organisées à l'avenir. « Il est tout a fait normal de rencontrer le FLN, le RND et le TAJ » a indiqué Amara Benyounès ajoutant que « si l'opposition s'attaque au pouvoir il est normal que les partis qui soutiennent le président réagissent contre ces attaques ».