Dorénavant aucun imam ne sera installé dans ses fonctions avant d'avoir confirmé son diplôme de licence en théologie islamique de l'université algérienne. Dorénavant aucun imam ne sera installé dans ses fonctions avant d'avoir confirmé son diplôme de licence en théologie islamique de l'université algérienne. Le Syndicat national des imams est déterminé à mener la lutte contre l'idéologie extrémiste dans les mosquées. Cette instance va mener un front de lutte pour le retour aux valeurs de l'islam tolérant et ouvert. Le SG du syndicat des imams algériens, Djelloul Hadjimi, a considéré que l'objectif des réunions entre les imams s'inscrivent dans la démarche défendre un "Islam algérien", Ce dernier réitère dans une plate-forme récente que "l'imam doit d'être protégé par tous les moyens légaux de toute manipulation, qu'elle soit d'ordre politique ou idéologique. L'imam doit être libre et indépendant de tout courant de pensée. Il doit servir son pays, en faisant barrage à tout courant entriste". Ces derniers temps, des échauffourées dans certaines mosquées de l'intérieur du pays ont été provoquées entre imams qui défendent l'option du fikh malékite et des poignées de prêcheurs qui eux se réclament du salafisme, un courant proche du wahabisme selon des témoins. Mais suite à ces incidents, le ministère des Affaires religieuses a décidé d'appuyer les imams, qui sont le SG de leur syndicat, et qui ne doivent plus reculer face à la "pieuvre de l'idéologie wahabite" importée d'ailleurs. Cheikh Djelloul Hadjimi, qui officie également comme imam à la mosquée de Télemly d'Alger, explique : "Nous devons être nous-mêmes, nous n'avons rien à apprendre de l'extérieur. Nous devons oeuvrer à répandre la bonne parole et à extirper les Algériens des méfaits et les éloigner de toute idée obscurantiste". Il faut rappeler à ce sujet que la première plateforme où sont consignées les recommandations du Syndicat des imams remonte à mars dernier. Le syndicat qui se réunit régulièrement depuis veut mettre un terme à certains prêches virulents émanant de cercles étroits de pseudo-imams qui arrivent à s'infiltrer dans certaines mosquées. Actuellement, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs a recensé plus de 20.000 mosquées et entame la réhabilitation des autres en désignant selon le nouvel organigramme un imam de "khotba" et un imam "muezzin" conformément au nouveau statut qui régule la fonction d'imam. Toutefois, les données du même ministère, durant cette année, évoquent un point insidieux où près de 80 % des mosquées seraient sous le contrôle des salafistes. Loin de démentir cette information, le Syndicat des imams ne veut pas rester les poings liés. Selon cette instance, l'Etat doit libérer les lieux de prière de ces "hordes". Dans la foulée, il est à indiquer que dorénavant aucun imam ne sera installé dans ses fonctions avant d'avoir confirmé son diplôme de licence en théologie islamique de l'université algérienne. De plus, il doit confirmer posséder une culture générale et doit se conformer au rite malékite dans sa pratique religieuse. Rappelons que le ministère des Affaires religieuses a opté pour des stages de recyclage dans de prestigieuses universités islamiques dont El Azhar en Egypte et la grande école de Zaitouna en Tunisie. Le Syndicat national des imams est déterminé à mener la lutte contre l'idéologie extrémiste dans les mosquées. Cette instance va mener un front de lutte pour le retour aux valeurs de l'islam tolérant et ouvert. Le SG du syndicat des imams algériens, Djelloul Hadjimi, a considéré que l'objectif des réunions entre les imams s'inscrivent dans la démarche défendre un "Islam algérien", Ce dernier réitère dans une plate-forme récente que "l'imam doit d'être protégé par tous les moyens légaux de toute manipulation, qu'elle soit d'ordre politique ou idéologique. L'imam doit être libre et indépendant de tout courant de pensée. Il doit servir son pays, en faisant barrage à tout courant entriste". Ces derniers temps, des échauffourées dans certaines mosquées de l'intérieur du pays ont été provoquées entre imams qui défendent l'option du fikh malékite et des poignées de prêcheurs qui eux se réclament du salafisme, un courant proche du wahabisme selon des témoins. Mais suite à ces incidents, le ministère des Affaires religieuses a décidé d'appuyer les imams, qui sont le SG de leur syndicat, et qui ne doivent plus reculer face à la "pieuvre de l'idéologie wahabite" importée d'ailleurs. Cheikh Djelloul Hadjimi, qui officie également comme imam à la mosquée de Télemly d'Alger, explique : "Nous devons être nous-mêmes, nous n'avons rien à apprendre de l'extérieur. Nous devons oeuvrer à répandre la bonne parole et à extirper les Algériens des méfaits et les éloigner de toute idée obscurantiste". Il faut rappeler à ce sujet que la première plateforme où sont consignées les recommandations du Syndicat des imams remonte à mars dernier. Le syndicat qui se réunit régulièrement depuis veut mettre un terme à certains prêches virulents émanant de cercles étroits de pseudo-imams qui arrivent à s'infiltrer dans certaines mosquées. Actuellement, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs a recensé plus de 20.000 mosquées et entame la réhabilitation des autres en désignant selon le nouvel organigramme un imam de "khotba" et un imam "muezzin" conformément au nouveau statut qui régule la fonction d'imam. Toutefois, les données du même ministère, durant cette année, évoquent un point insidieux où près de 80 % des mosquées seraient sous le contrôle des salafistes. Loin de démentir cette information, le Syndicat des imams ne veut pas rester les poings liés. Selon cette instance, l'Etat doit libérer les lieux de prière de ces "hordes". Dans la foulée, il est à indiquer que dorénavant aucun imam ne sera installé dans ses fonctions avant d'avoir confirmé son diplôme de licence en théologie islamique de l'université algérienne. De plus, il doit confirmer posséder une culture générale et doit se conformer au rite malékite dans sa pratique religieuse. Rappelons que le ministère des Affaires religieuses a opté pour des stages de recyclage dans de prestigieuses universités islamiques dont El Azhar en Egypte et la grande école de Zaitouna en Tunisie.