La date du prochain congrès du FLN n'a pas encore été fixée. La direction du vieux parti, le secrétaire général en tête, est très peu diserte sur la question du prochain congrès. Cette situation énigmatique soulève moult questionnements, car à part l'annonce par le secrétaire général, Amar Saïdani de la tenue de conclave dans le courant du premier semestre de l'année 2015, les observatoires restent perplexes. La date du prochain congrès du FLN n'a pas encore été fixée. La direction du vieux parti, le secrétaire général en tête, est très peu diserte sur la question du prochain congrès. Cette situation énigmatique soulève moult questionnements, car à part l'annonce par le secrétaire général, Amar Saïdani de la tenue de conclave dans le courant du premier semestre de l'année 2015, les observatoires restent perplexes. Rien, en effet, n'a été fait jusqu'à présent par la direction politique de ce parti qui puisse servir d'indice aux observateurs. Motus et bouche cousue semble être la seule parade pour les responsables du parti afin d'éviter les questions gênantes. Ainsi, et alors que l'année 2014 s'achève aujourd'hui aucune action n'a été entreprise par Amar Saïdani. Depuis l'installation, le 24 juin dernier, de la commission de préparation du prochain congrès, c'est en effet le black out qui prévaut. Pour rappel, cette commission a été installée lors d'une session houleuse du comité central (CC) où les membres de cette instance fidèles à l'ancien secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, ont été empêchés d'accéder à la salle des conférences. Depuis, cette commission, au sein de laquelle siègent tous les membres du comité central, est aux abonnés absents puisqu'elle ne s'est jamais réunie. Aucune sous-commission n'a, du reste, été installée en vue d'élaborer les avant-projets de résolutions devant, en principe, être débattus et enrichis par la base militante avant d'être, finalement, soumis aux congressistes. Cette énigmatique situation a amené le chef de file du mouvement de redressement du FLN, Abdelkrim Abada, à monter au créneau pour demander l'installation d'un bureau de cette commission de réparation du congrès ainsi d'ailleurs que des sous commissions. Mais en vain puisque Amar Saïdani fait le dos rond en évitant soigneusement d'évoquer ce sujet. Pour de nombreux observateurs, si Saïdani campe sur cette position c'est tout simplement qu'il n'a pas encore reçu le feu vert « d'en haut». Il est admis que rien ne se fera sans l'aval du président de la République qui est, faut-il encore le rappeler le président d'honneur du FLN. C'est certainement pour cette raison que le secrétaire général du vieux parti n'a pas encore engagé le processus devant conduire à la tenue du prochain congrès. Un congrès qui revêt une importance cruciale et c'est pourquoi il est au centre de grands enjeux politiques propres aux tenants du pouvoir. Abderahmane Belayat, qui dénie toute légitimité à Amar Saïdani, veut lui aussi organiser un congrès parallèle et il, à cet effet, installé une commission de préparation. Il a de même mis en garde contre toute reconnaissance par l'administration de la légitimité de Saïdani. C'est dire que le plus vieux parti n'arrive pas à se défaire de ses tiraillements internes. Des tiraillements qui vont certainement aller en s'accélérant au fur et à mesure que se rapproche l'échéance du prochain congrès. Car en plus du refus de larges pans de militants et cadres de la restructuration organique à travers la création de nouvelles mouhafadhas, la contestation a aussi gagné les rangs des députés de l'APN. Rien, en effet, n'a été fait jusqu'à présent par la direction politique de ce parti qui puisse servir d'indice aux observateurs. Motus et bouche cousue semble être la seule parade pour les responsables du parti afin d'éviter les questions gênantes. Ainsi, et alors que l'année 2014 s'achève aujourd'hui aucune action n'a été entreprise par Amar Saïdani. Depuis l'installation, le 24 juin dernier, de la commission de préparation du prochain congrès, c'est en effet le black out qui prévaut. Pour rappel, cette commission a été installée lors d'une session houleuse du comité central (CC) où les membres de cette instance fidèles à l'ancien secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, ont été empêchés d'accéder à la salle des conférences. Depuis, cette commission, au sein de laquelle siègent tous les membres du comité central, est aux abonnés absents puisqu'elle ne s'est jamais réunie. Aucune sous-commission n'a, du reste, été installée en vue d'élaborer les avant-projets de résolutions devant, en principe, être débattus et enrichis par la base militante avant d'être, finalement, soumis aux congressistes. Cette énigmatique situation a amené le chef de file du mouvement de redressement du FLN, Abdelkrim Abada, à monter au créneau pour demander l'installation d'un bureau de cette commission de réparation du congrès ainsi d'ailleurs que des sous commissions. Mais en vain puisque Amar Saïdani fait le dos rond en évitant soigneusement d'évoquer ce sujet. Pour de nombreux observateurs, si Saïdani campe sur cette position c'est tout simplement qu'il n'a pas encore reçu le feu vert « d'en haut». Il est admis que rien ne se fera sans l'aval du président de la République qui est, faut-il encore le rappeler le président d'honneur du FLN. C'est certainement pour cette raison que le secrétaire général du vieux parti n'a pas encore engagé le processus devant conduire à la tenue du prochain congrès. Un congrès qui revêt une importance cruciale et c'est pourquoi il est au centre de grands enjeux politiques propres aux tenants du pouvoir. Abderahmane Belayat, qui dénie toute légitimité à Amar Saïdani, veut lui aussi organiser un congrès parallèle et il, à cet effet, installé une commission de préparation. Il a de même mis en garde contre toute reconnaissance par l'administration de la légitimité de Saïdani. C'est dire que le plus vieux parti n'arrive pas à se défaire de ses tiraillements internes. Des tiraillements qui vont certainement aller en s'accélérant au fur et à mesure que se rapproche l'échéance du prochain congrès. Car en plus du refus de larges pans de militants et cadres de la restructuration organique à travers la création de nouvelles mouhafadhas, la contestation a aussi gagné les rangs des députés de l'APN.