L'Algérie verra la création d'un observatoire contre l'extrémisme religieux. Ce projet sera incessamment soumis au gouvernement pour approbation. Le but étant de contrecarrer, par tous les moyens, les idées portant atteinte aux vraies valeurs de l'Islam en Algérie. L'Algérie verra la création d'un observatoire contre l'extrémisme religieux. Ce projet sera incessamment soumis au gouvernement pour approbation. Le but étant de contrecarrer, par tous les moyens, les idées portant atteinte aux vraies valeurs de l'Islam en Algérie. C'est le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui en a fait l'annonce. Ce projet en question était inscrit depuis longtemps. Mais cette fois face à la menace que présentent de nouveau les groupes de Daech sur le Maghreb et l'Algérie en particulier, les autorités semblent maintenant disposées à mener le combat contre le radicalisme religieux quelle que soit sa forme. Le département de Mohamed Aïssa veut allier pour ce projet plusieurs ministères dont ceux de l'Education nationale, l'Enseignement supérieur, la Formation professionnelle et celui de l'Intérieur. Les forces de sécurité et surtout la défense nationale feront partie de cet organisme pour le quel des cadres spécialisés dans la prévention contre le phénomène de radicalisation religieuse devront plancher sur les moyens de sensibiliser les citoyens sur les dangers du « salafisme » religieux. Pour Mohamed Aïssa qui a, maintes fois dénoncé ces pratiques religieuses fondées sur « une fausse idéologie » trouve maintenant un appui du gouvernement à ce projet. « Nous travaillons pour pousser les uns et les autres à revenir vers l'Islam de référent national, celui de nos ancêtres » a souligné le ministre dans une déclaration à TSA. Il faut mentionner que dans nos précédentes éditions, le ministre avait promis d'assainir toutes les institutions religieuses dont les mosquées de ces groupes sectaires qui font des prêches enflammés à l'encontre de la voie de modération dont font preuve les imams malékites en Algérie. Ce référent religieux national est mis dans l'embarras puisque le département de Mohamed Aïssa évoquait l'existence de certaines moquées contrôlées par les groupes salafistes. Aujourd'hui, le ministre fait son bilan autour d'une reprise de contrôle sur les écoles coraniques, les mosquées et les instituts d'enseignements théologiques. Il compte sur le soutien de l'institut d'études religieuses d'El-Azhar en Egypte pour établir des passerelles pour la formation et le recyclage des imams algériens. Selon des sources concordantes, le nombre de djihadistes algériens recrutés par le groupe Daech ne dépasserait pas 63 personnes. C'est peu par rapport à ces centaines, voire des milliers de « combattants » qui ont rejoint l'organisation terroriste en Syrie. Les autorités qui étudient avec soin les menaces de ces groupes sont parvenues, jusque-là, à renforcer le contrôle et la sécurité au niveau des frontières surtout celle avec le voisin libyen. Mais du reste, il existe des sympathisants à la cause de Daech qui profitent des réseaux sociaux pour lancer leurs campagnes de propagande. C'est là que les autorités pensent mieux saisir l'occasion pour contrôler certains comptes Twitter ou Facebook qui présentent le profil adéquat de certains prêcheurs radicaux qui tentent de déstabiliser le pays. Le ministre des Affaires religieuses considère que c'est là où il faut intervenir en déjouant tous les complots possibles qui se trament contre l'Algérie. Dans ce volet, les instructions pour former plus d'imams muftis sont l'une des priorités des autorités religieuses. Il y en a déjà 50 et ils sont universitaires en plus des « mourchidates » au nombre de 300. Ces cadres formés dans des instituts théologiques de premier plan, sont placés dans la plupart des mosquées. Leur rôle est de diffuser les valeurs d'ouverture et de tolérance de l'Islam qui s'inscrivent dans le sillage du malékisme. D'autre part, il y a lieu d'indiquer que le plan de réforme de Mohamed Aïssa est de faire « fleurir la culture musulmane algérienne à travers colloques, séminaires et rencontres entre scientifiques et éminents spécialistes ». Les chaînes TV privées ont donné leurs accords pour ne plus diffuser de prêches virulents et de soigneusement « filtrer » les orateurs religieux qui n'ont pas le profil d'universitaires sortis des écoles islamiques attitrés ou ayant des formations de théologiens issus d'instituts reconnus. C'est le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui en a fait l'annonce. Ce projet en question était inscrit depuis longtemps. Mais cette fois face à la menace que présentent de nouveau les groupes de Daech sur le Maghreb et l'Algérie en particulier, les autorités semblent maintenant disposées à mener le combat contre le radicalisme religieux quelle que soit sa forme. Le département de Mohamed Aïssa veut allier pour ce projet plusieurs ministères dont ceux de l'Education nationale, l'Enseignement supérieur, la Formation professionnelle et celui de l'Intérieur. Les forces de sécurité et surtout la défense nationale feront partie de cet organisme pour le quel des cadres spécialisés dans la prévention contre le phénomène de radicalisation religieuse devront plancher sur les moyens de sensibiliser les citoyens sur les dangers du « salafisme » religieux. Pour Mohamed Aïssa qui a, maintes fois dénoncé ces pratiques religieuses fondées sur « une fausse idéologie » trouve maintenant un appui du gouvernement à ce projet. « Nous travaillons pour pousser les uns et les autres à revenir vers l'Islam de référent national, celui de nos ancêtres » a souligné le ministre dans une déclaration à TSA. Il faut mentionner que dans nos précédentes éditions, le ministre avait promis d'assainir toutes les institutions religieuses dont les mosquées de ces groupes sectaires qui font des prêches enflammés à l'encontre de la voie de modération dont font preuve les imams malékites en Algérie. Ce référent religieux national est mis dans l'embarras puisque le département de Mohamed Aïssa évoquait l'existence de certaines moquées contrôlées par les groupes salafistes. Aujourd'hui, le ministre fait son bilan autour d'une reprise de contrôle sur les écoles coraniques, les mosquées et les instituts d'enseignements théologiques. Il compte sur le soutien de l'institut d'études religieuses d'El-Azhar en Egypte pour établir des passerelles pour la formation et le recyclage des imams algériens. Selon des sources concordantes, le nombre de djihadistes algériens recrutés par le groupe Daech ne dépasserait pas 63 personnes. C'est peu par rapport à ces centaines, voire des milliers de « combattants » qui ont rejoint l'organisation terroriste en Syrie. Les autorités qui étudient avec soin les menaces de ces groupes sont parvenues, jusque-là, à renforcer le contrôle et la sécurité au niveau des frontières surtout celle avec le voisin libyen. Mais du reste, il existe des sympathisants à la cause de Daech qui profitent des réseaux sociaux pour lancer leurs campagnes de propagande. C'est là que les autorités pensent mieux saisir l'occasion pour contrôler certains comptes Twitter ou Facebook qui présentent le profil adéquat de certains prêcheurs radicaux qui tentent de déstabiliser le pays. Le ministre des Affaires religieuses considère que c'est là où il faut intervenir en déjouant tous les complots possibles qui se trament contre l'Algérie. Dans ce volet, les instructions pour former plus d'imams muftis sont l'une des priorités des autorités religieuses. Il y en a déjà 50 et ils sont universitaires en plus des « mourchidates » au nombre de 300. Ces cadres formés dans des instituts théologiques de premier plan, sont placés dans la plupart des mosquées. Leur rôle est de diffuser les valeurs d'ouverture et de tolérance de l'Islam qui s'inscrivent dans le sillage du malékisme. D'autre part, il y a lieu d'indiquer que le plan de réforme de Mohamed Aïssa est de faire « fleurir la culture musulmane algérienne à travers colloques, séminaires et rencontres entre scientifiques et éminents spécialistes ». Les chaînes TV privées ont donné leurs accords pour ne plus diffuser de prêches virulents et de soigneusement « filtrer » les orateurs religieux qui n'ont pas le profil d'universitaires sortis des écoles islamiques attitrés ou ayant des formations de théologiens issus d'instituts reconnus.