Une clinique privée a été fermée à Blida pour la réalisation "non autorisée" d'un bloc opératoire et l'extension non règlementaire des activités médicochirurgicales, note la même source. Dans la wilaya de M'sila, une autre clinique a connu le même sort pour "mise en danger de mort d'un nouveau-né. Une clinique privée a été fermée à Blida pour la réalisation "non autorisée" d'un bloc opératoire et l'extension non règlementaire des activités médicochirurgicales, note la même source. Dans la wilaya de M'sila, une autre clinique a connu le même sort pour "mise en danger de mort d'un nouveau-né. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a procédé à la fermeture définitive de certains établissements de santé privés et a adressé des avertissements et des mises en garde à d'autres structures toujours de santa, à la suite de l'opération "inopinée" d'inspection initiée par le ministre Abdelmalek Boudiaf à travers le territoire national. Les premiers résultats, "wilaya par wilaya, commencent à tomber suite à l'opération inopinée d'inspection des différents établissements privés activant dans le secteur de la santé. En attendant la synthèse de tous les résultats, certaines wilayas ont livré leur verdict", a précisé mardi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans un communiqué rendu public. Ainsi, une clinique privée a été définitivement fermée dans la wilaya de Blida pour la réalisation "non autorisée" d'un bloc opératoire et l'extension "non règlementaire" des activités médicochirurgicales, note le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Dans la wilaya de M'sila, une autre clinique a connu le même sort pour "mise en danger de mort d'un nouveau-né évacué sans respect des mesures de sécurité (absence d'assistance respiratoire, d'accompagnement médical ou paramédical...)", explique le ministère qui informe que le propriétaire de l'établissement employait "au noir" du personnel paramédical et qu'il a même eu la "velléité d'interdire l'accès de son établissement aux praticiens inspecteurs". Dana la wilaya de Tissemsilt, une officine pharmaceutique a été définitivement empêchée de rouvrir pour "vente de médicaments périmés", relève le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalièrequi a également procédé à la fermeture provisoire pour une quinzaine (15) jours de la clinique médicochirurgicale d'Oran pour "manquement aux règles d'hygiène". "Le bilan exhaustif de l'opération d'inspection sera rendu public dès sa finalisation", souligne le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Abdelmalek Boudiaf estime que les "premiers enseignements à en tirer interpellent sur l'urgence d'actualiser le corpus règlementaire régissant le secteur privé de la santé notamment le cahier des charges ainsi que l'indispensable mise en place d'organes de contrôle à vocation régionale". Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a procédé à la fermeture définitive de certains établissements de santé privés et a adressé des avertissements et des mises en garde à d'autres structures toujours de santa, à la suite de l'opération "inopinée" d'inspection initiée par le ministre Abdelmalek Boudiaf à travers le territoire national. Les premiers résultats, "wilaya par wilaya, commencent à tomber suite à l'opération inopinée d'inspection des différents établissements privés activant dans le secteur de la santé. En attendant la synthèse de tous les résultats, certaines wilayas ont livré leur verdict", a précisé mardi le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans un communiqué rendu public. Ainsi, une clinique privée a été définitivement fermée dans la wilaya de Blida pour la réalisation "non autorisée" d'un bloc opératoire et l'extension "non règlementaire" des activités médicochirurgicales, note le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Dans la wilaya de M'sila, une autre clinique a connu le même sort pour "mise en danger de mort d'un nouveau-né évacué sans respect des mesures de sécurité (absence d'assistance respiratoire, d'accompagnement médical ou paramédical...)", explique le ministère qui informe que le propriétaire de l'établissement employait "au noir" du personnel paramédical et qu'il a même eu la "velléité d'interdire l'accès de son établissement aux praticiens inspecteurs". Dana la wilaya de Tissemsilt, une officine pharmaceutique a été définitivement empêchée de rouvrir pour "vente de médicaments périmés", relève le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalièrequi a également procédé à la fermeture provisoire pour une quinzaine (15) jours de la clinique médicochirurgicale d'Oran pour "manquement aux règles d'hygiène". "Le bilan exhaustif de l'opération d'inspection sera rendu public dès sa finalisation", souligne le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Abdelmalek Boudiaf estime que les "premiers enseignements à en tirer interpellent sur l'urgence d'actualiser le corpus règlementaire régissant le secteur privé de la santé notamment le cahier des charges ainsi que l'indispensable mise en place d'organes de contrôle à vocation régionale".