Le lancement simultané pour la première fois par la PCH (Pharmacie centrale des hôpitaux) de deux appels d'offres 2015 pour l'approvisionnement en médicaments a été bien accueilli par les opérateurs de l'industrie pharmaceutique qui estiment que l'encouragement de la production nationale de médicaments se traduit par les actes et non de discours creux. Le lancement simultané pour la première fois par la PCH (Pharmacie centrale des hôpitaux) de deux appels d'offres 2015 pour l'approvisionnement en médicaments a été bien accueilli par les opérateurs de l'industrie pharmaceutique qui estiment que l'encouragement de la production nationale de médicaments se traduit par les actes et non de discours creux. Ainsi les producteurs locaux sont mis en avant avec le lancement pour la première fois d'un appel d'offre national qui vient s'inscrire dans la ligne de conduite des pouvoirs public qui consiste à développer, favoriser et à protéger la production locale. Bien au-delà des recommandations instaurées par l'autorité de santé dans le cadre de la politique de santé qui favorise et soutient la production locale, il est à noter que l'impact escompté de ce choix stratégique se tradsuira par, d'une part, une meilleure gestion des délais de livraisons et d'approvisionnement du fait de la proximité et de la flexibilité des producteurs locaux, et d'autre part, par de meilleurs coûts, sachant que le payement se fera localement en dinars, ce qui s'assimilera à une forme d'intégration économique entre opérateurs nationaux où le Trésor public en sera le principal bénéficiaire. Pour le directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) cette nouvelle approche adaptée à la conjoncture économique nationale permettra d'assurer une meilleure protection des produits fabriqués localement qui sont aujourd'hui interdits à l'importation. Le challenge du gouvernement a donner forme à une industrie pharmaceutique nationale s'exprime aujourd'hui par un engouement «exceptionnel» en matière d'investissements, avec pas moins de 151 unités de production en phase de construction, en plus des 80 qui sont déjà opérationnelles. Les pouvoirs publics sont disposés à accorder davantage de facilitations et de soutien aux opérateurs pharmaceutiques qui produiront localement des médicaments actuellement importés, et pour preuve, cet appel d'offre national qui formalise concrètement le soutien de l'autorité de santé aux producteurs locaux. Ainsi les producteurs locaux sont mis en avant avec le lancement pour la première fois d'un appel d'offre national qui vient s'inscrire dans la ligne de conduite des pouvoirs public qui consiste à développer, favoriser et à protéger la production locale. Bien au-delà des recommandations instaurées par l'autorité de santé dans le cadre de la politique de santé qui favorise et soutient la production locale, il est à noter que l'impact escompté de ce choix stratégique se tradsuira par, d'une part, une meilleure gestion des délais de livraisons et d'approvisionnement du fait de la proximité et de la flexibilité des producteurs locaux, et d'autre part, par de meilleurs coûts, sachant que le payement se fera localement en dinars, ce qui s'assimilera à une forme d'intégration économique entre opérateurs nationaux où le Trésor public en sera le principal bénéficiaire. Pour le directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) cette nouvelle approche adaptée à la conjoncture économique nationale permettra d'assurer une meilleure protection des produits fabriqués localement qui sont aujourd'hui interdits à l'importation. Le challenge du gouvernement a donner forme à une industrie pharmaceutique nationale s'exprime aujourd'hui par un engouement «exceptionnel» en matière d'investissements, avec pas moins de 151 unités de production en phase de construction, en plus des 80 qui sont déjà opérationnelles. Les pouvoirs publics sont disposés à accorder davantage de facilitations et de soutien aux opérateurs pharmaceutiques qui produiront localement des médicaments actuellement importés, et pour preuve, cet appel d'offre national qui formalise concrètement le soutien de l'autorité de santé aux producteurs locaux.