Malédiction ? Peut-être ? L'école algérienne n'en finit pas de manger son pain noir. A peine entamée, la nouvelle année scolaire 2015-2016 démarre comme les précédentes : à la surcharge des classes est venu cette année s'ajouter le problème du manque d'enseignants. Malédiction ? Peut-être ? L'école algérienne n'en finit pas de manger son pain noir. A peine entamée, la nouvelle année scolaire 2015-2016 démarre comme les précédentes : à la surcharge des classes est venu cette année s'ajouter le problème du manque d'enseignants. De nombreux établissements à travers le territoire national continuent de connaître un manque d'encadrement. "Un manque flagrant qui va mettre en péril le programme", jugent les parents d'élèves qui s'alarment du "laxisme" de la tutelle pour prendre en charge ce problème "récurrent". Et cela "sans parler de la qualité de l'enseignement", ajoutent-ils. Pour rappel, les syndicats de l'Education ont déjà tiré la sonnette d'alarme à propos de ce volet, qui engendrera sans doute, selon eux, "une véritable anarchie". Ceci malgré les concours de recrutement des enseignants, organisés par le ministère de l'Education nationale. Un nombre de nouvelles recrues qui semble "insuffisant" et très inférieur aux besoins du secteur. Un constat vite démontré sur le terrain puisqu'au premier jour de la rentrée, le résultat est effarant. Les écoliers sont retournés chez eux dans de nombreux établissements scolaires du pays. Ce manque d'effectif semble difficile à combler. Ainsi pour s'en sortir, le département de l'Education a fait appel à des enseignants sans aucune formation pédagogique, non spécialisés dans la matière, recrutés en tant que vacataires ou contractuels. Alors que les formations et recyclages sont indispensables à tout changement et particulièrement dans un renouvellement de la fonction. Ces conditions insuffisantes, voire inexistantes, expliquent la faiblesse de l'impact de la réforme sur les pratiques enseignantes, y compris les pratiques d'évaluation. Certains établissements, par manque d'enseignants, ont même recouru à la surcharge des classes. Pourtant, la pénurie aiguë d'enseignants a été identifiée comme l'un des plus grands défis. Selon les syndicats de l'Education, en plus des départs à la retraite recensés l'année dernière, plusieurs départs sont prévus encore cette année. Ce qui a causé ce manque flagrant d'enseignants. On estime qu'actuellement, le besoin en nouveaux enseignants s'impose. Il est également impératif de perfectionner et professionnaliser les enseignants contractuels afin de rendre à l'école sa noblesse ! Donc, le ministère de l'Education et la direction de la Fonction publique doivent impérativement revoir, pour la énième fois, leur stratégie, pour le bien de nos enfants qui seront les hommes de demain. De nombreux établissements à travers le territoire national continuent de connaître un manque d'encadrement. "Un manque flagrant qui va mettre en péril le programme", jugent les parents d'élèves qui s'alarment du "laxisme" de la tutelle pour prendre en charge ce problème "récurrent". Et cela "sans parler de la qualité de l'enseignement", ajoutent-ils. Pour rappel, les syndicats de l'Education ont déjà tiré la sonnette d'alarme à propos de ce volet, qui engendrera sans doute, selon eux, "une véritable anarchie". Ceci malgré les concours de recrutement des enseignants, organisés par le ministère de l'Education nationale. Un nombre de nouvelles recrues qui semble "insuffisant" et très inférieur aux besoins du secteur. Un constat vite démontré sur le terrain puisqu'au premier jour de la rentrée, le résultat est effarant. Les écoliers sont retournés chez eux dans de nombreux établissements scolaires du pays. Ce manque d'effectif semble difficile à combler. Ainsi pour s'en sortir, le département de l'Education a fait appel à des enseignants sans aucune formation pédagogique, non spécialisés dans la matière, recrutés en tant que vacataires ou contractuels. Alors que les formations et recyclages sont indispensables à tout changement et particulièrement dans un renouvellement de la fonction. Ces conditions insuffisantes, voire inexistantes, expliquent la faiblesse de l'impact de la réforme sur les pratiques enseignantes, y compris les pratiques d'évaluation. Certains établissements, par manque d'enseignants, ont même recouru à la surcharge des classes. Pourtant, la pénurie aiguë d'enseignants a été identifiée comme l'un des plus grands défis. Selon les syndicats de l'Education, en plus des départs à la retraite recensés l'année dernière, plusieurs départs sont prévus encore cette année. Ce qui a causé ce manque flagrant d'enseignants. On estime qu'actuellement, le besoin en nouveaux enseignants s'impose. Il est également impératif de perfectionner et professionnaliser les enseignants contractuels afin de rendre à l'école sa noblesse ! Donc, le ministère de l'Education et la direction de la Fonction publique doivent impérativement revoir, pour la énième fois, leur stratégie, pour le bien de nos enfants qui seront les hommes de demain.