Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a mis les points sur les "I" sur de nombreuses questions brûlantes de l'actualité nationale. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a mis les points sur les "I" sur de nombreuses questions brûlantes de l'actualité nationale. Il a ainsi démenti de manière catégorique toutes les informations selon lesquelles le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, serait inapte à gouverner le pays. "C'est le président Bouteflika qui dirige le pays. Il jouit de toutes ses facultés pour assumer ses fonctions" a en effet indiqué hier soir Ahmed Ouyahia lors d'une interview accordée à la chaîne de télévision "Dzair News". Et d'ajouter, sans ambages , que "le président se porte bien et c'est lui qui dirige le pays, à la tête du gouvernement sur le plan politique, en tant que chef suprême des forces armées au volet militaire, mais aussi en veillant à la souveraineté de l'Algérie à l'étranger sur le plan diplomatique". Ahmed Ouyahia, qui est également ministre d'Etat , directeur de cabinet de la présidence de la République, répond ainsi tout particulièrement au groupe des "19-4". Ce groupe, composé de nombreuses personnalités dont, entres autres, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, de l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, de l'ancien moudjahid, Lakhdar Bouragaa et de la sénatrice et ancienne moudjahida, Zohra Drif, a rendu publique une lettre dans laquelle il demande une audience au chef de l'Etat et laisse clairement entendre que le président Bouteflika ne dirige plus le pays. Cette mise au point d'Ahmed Ouyahia intervient moins de 24 heures après les propos du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans lesquels il confirme lui aussi que le chef de l'Etat gouverne bel et bien le pays. "Le pays est dirigé par Bouteflika, je le sais parce que je suis son Premier ministre" a déclaré Sellal dans un entretien accordé au journal français du soir le Monde. Interrogé sur le projet de révision constitutionnelle, Ahmed Ouyahia a indiqué qu'il sera bientôt rendu public. "Le président de la République annoncera, par la suite, la voie par laquelle devra passer ledit projet : par voie référendaire ou via le Parlement" a-t-il précisé en ne s'avançant point sur la date que choisira le chef de l'Etat pour faire cette annonce. Il laisse ainsi l'opinion publique sur sa faim. Il faut juste dire que le président Bouteflika a annoncé il y a quelques temps que ce projet, mis en chantier depuis des années déjà, verra le jour bientôt. Le secrétaire général du FLN, plus précis, a déclaré, quant à lui, que l'Algérie abordera l'année 2016 avec une nouvelle Constitution, Ouyahia n'a pas, par ailleurs, raté cette occasion pour égratigner l'opposition. Cette dernière, notamment la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), n'a pas "tenu compte du fait que le peuple a élu le président pour un mandat de cinq ans qui expire en 2019". Le chef de file du RND est aussi revenu sur les changements opérés au sein du DRS et, à ce propos, il a souligné qu'il s'agit de "changements ordinaires". Il a aussi révélé que le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, "était malade, mais se rétablit peu à peu. Il reprendra ses activités à la chambre haute 25.000 enfants sont exposés à la délinquance, à la drogue et à la mendicité, Interrogé sur le Sahara occidental, Ouyahia a indiqué que la position de l'Algérie repose sur le respect du droit des peuples à l'autodermination et le rejet de tout changement de frontière par la force. "L'Algérie, dont la position dérange le Maroc, n'abandonnera jamais le peuple sahraoui qui doit exercer son droit à l'autodétermination". Il a ainsi démenti de manière catégorique toutes les informations selon lesquelles le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, serait inapte à gouverner le pays. "C'est le président Bouteflika qui dirige le pays. Il jouit de toutes ses facultés pour assumer ses fonctions" a en effet indiqué hier soir Ahmed Ouyahia lors d'une interview accordée à la chaîne de télévision "Dzair News". Et d'ajouter, sans ambages , que "le président se porte bien et c'est lui qui dirige le pays, à la tête du gouvernement sur le plan politique, en tant que chef suprême des forces armées au volet militaire, mais aussi en veillant à la souveraineté de l'Algérie à l'étranger sur le plan diplomatique". Ahmed Ouyahia, qui est également ministre d'Etat , directeur de cabinet de la présidence de la République, répond ainsi tout particulièrement au groupe des "19-4". Ce groupe, composé de nombreuses personnalités dont, entres autres, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, de l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, de l'ancien moudjahid, Lakhdar Bouragaa et de la sénatrice et ancienne moudjahida, Zohra Drif, a rendu publique une lettre dans laquelle il demande une audience au chef de l'Etat et laisse clairement entendre que le président Bouteflika ne dirige plus le pays. Cette mise au point d'Ahmed Ouyahia intervient moins de 24 heures après les propos du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans lesquels il confirme lui aussi que le chef de l'Etat gouverne bel et bien le pays. "Le pays est dirigé par Bouteflika, je le sais parce que je suis son Premier ministre" a déclaré Sellal dans un entretien accordé au journal français du soir le Monde. Interrogé sur le projet de révision constitutionnelle, Ahmed Ouyahia a indiqué qu'il sera bientôt rendu public. "Le président de la République annoncera, par la suite, la voie par laquelle devra passer ledit projet : par voie référendaire ou via le Parlement" a-t-il précisé en ne s'avançant point sur la date que choisira le chef de l'Etat pour faire cette annonce. Il laisse ainsi l'opinion publique sur sa faim. Il faut juste dire que le président Bouteflika a annoncé il y a quelques temps que ce projet, mis en chantier depuis des années déjà, verra le jour bientôt. Le secrétaire général du FLN, plus précis, a déclaré, quant à lui, que l'Algérie abordera l'année 2016 avec une nouvelle Constitution, Ouyahia n'a pas, par ailleurs, raté cette occasion pour égratigner l'opposition. Cette dernière, notamment la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), n'a pas "tenu compte du fait que le peuple a élu le président pour un mandat de cinq ans qui expire en 2019". Le chef de file du RND est aussi revenu sur les changements opérés au sein du DRS et, à ce propos, il a souligné qu'il s'agit de "changements ordinaires". Il a aussi révélé que le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, "était malade, mais se rétablit peu à peu. Il reprendra ses activités à la chambre haute 25.000 enfants sont exposés à la délinquance, à la drogue et à la mendicité, Interrogé sur le Sahara occidental, Ouyahia a indiqué que la position de l'Algérie repose sur le respect du droit des peuples à l'autodermination et le rejet de tout changement de frontière par la force. "L'Algérie, dont la position dérange le Maroc, n'abandonnera jamais le peuple sahraoui qui doit exercer son droit à l'autodétermination".