Malgré des désaccords, les grandes puissances désireuses d'en finir avec la guerre en Syrie ont fait adopter à l'Onu vendredi 18 décembre une résolution appelant à un cessez-le-feu et à des négociations de paix dès début janvier. Malgré des désaccords, les grandes puissances désireuses d'en finir avec la guerre en Syrie ont fait adopter à l'Onu vendredi 18 décembre une résolution appelant à un cessez-le-feu et à des négociations de paix dès début janvier. La résolution a été adoptée à l'unanimité des quinze membres du Conseil, y compris la Russie. Ces pays se sont réunis au niveau des chefs de la diplomatie sous la présidence de John Kerry. Le texte "envoie un message clair à tous pour dire qu'il est temps de mettre fin aux tueries en Syrie", a affirmé le secrétaire d'Etat américain. Il s'est dit "sans illusions" sur la difficulté de la tâche mais a salué l'"unité sans précédent" des grandes puissances. 250.000 morts et des millions de réfugiés Dans un nouvel effort pour mettre fin à un conflit qui a fait plus de 250.000 morts et des millions de réfugiés en quatre ans et demi, le Conseil a demandé au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon d'organiser entre le gouvernement syrien et l'opposition des "négociations officielles sur un processus de transition politique". L'objectif est que ces discussions commencent "au début janvier 2016" et coïncident avec un cessez-lefeu sur l'ensemble du territoire syrien, que l'Onu devra aider à mettre en place et à surveiller. "En janvier nous espérons être en mesure d'appliquer un cessez-le-feu complet, ce qui veut dire plus de largages de barils d'explosifs, plus de bombardements, plus de tirs ni d'attaques d'un côté comme de l'autre", a déclaré John Kerry à la presse après le vote Le médiateur de l'ONU en Syrie, Staffan de Mistura, s'est montré "réaliste" sur le calendrier, qui fixait initialement la date du 1er janvier. "Nous espérons (..) être capables de le faire en janvier", a-t-il dit. Le Conseil a "confirmé" son soutien au Communiqué de Genève de juin 2012 sur une transition politique en Syrie et "avalisé les déclarations de Vienne" où se sont réunies les grandes puissances... La résolution a été adoptée à l'unanimité des quinze membres du Conseil, y compris la Russie. Ces pays se sont réunis au niveau des chefs de la diplomatie sous la présidence de John Kerry. Le texte "envoie un message clair à tous pour dire qu'il est temps de mettre fin aux tueries en Syrie", a affirmé le secrétaire d'Etat américain. Il s'est dit "sans illusions" sur la difficulté de la tâche mais a salué l'"unité sans précédent" des grandes puissances. 250.000 morts et des millions de réfugiés Dans un nouvel effort pour mettre fin à un conflit qui a fait plus de 250.000 morts et des millions de réfugiés en quatre ans et demi, le Conseil a demandé au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon d'organiser entre le gouvernement syrien et l'opposition des "négociations officielles sur un processus de transition politique". L'objectif est que ces discussions commencent "au début janvier 2016" et coïncident avec un cessez-lefeu sur l'ensemble du territoire syrien, que l'Onu devra aider à mettre en place et à surveiller. "En janvier nous espérons être en mesure d'appliquer un cessez-le-feu complet, ce qui veut dire plus de largages de barils d'explosifs, plus de bombardements, plus de tirs ni d'attaques d'un côté comme de l'autre", a déclaré John Kerry à la presse après le vote Le médiateur de l'ONU en Syrie, Staffan de Mistura, s'est montré "réaliste" sur le calendrier, qui fixait initialement la date du 1er janvier. "Nous espérons (..) être capables de le faire en janvier", a-t-il dit. Le Conseil a "confirmé" son soutien au Communiqué de Genève de juin 2012 sur une transition politique en Syrie et "avalisé les déclarations de Vienne" où se sont réunies les grandes puissances...