21h44 (heure locale) : des blindés militaires prennent position à l'aéroport d'Istanbul, sur les ponts qui enjambent le Bosphore ainsi que dans les environs du palais présidentiel de la capitale Ankara. Dans le même temps, l'agence Reuters rapporte que des hélicoptères et des avions militaires survolent la capitale à basse altitude. 21h44 (heure locale) : des blindés militaires prennent position à l'aéroport d'Istanbul, sur les ponts qui enjambent le Bosphore ainsi que dans les environs du palais présidentiel de la capitale Ankara. Dans le même temps, l'agence Reuters rapporte que des hélicoptères et des avions militaires survolent la capitale à basse altitude. 21h55 : des fusillades ont éclaté dans la capitale. Des explosions sont entendues. La confusion s'installe. 22h : le Premier ministre, Binali Yildirim, évoque sur Twitter une tentative de coup de force menée par un petit groupe de militaires. "Certains individus ont entrepris une action illégale sans l'aval de la chaîne de commandement", écrit-il. De leur côté, les médias turcs et internationaux parlent de "tentative de coup d'Etat". 22h30 : après s'être emparés des locaux de la chaîne publique TRT, les militaires putschistes publient un communiqué. Ils annoncent avoir pris le pouvoir, expliquant que leur but était de "restaurer l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits de l'Homme et les libertés". En parallèle, l'agence officielle Anatolie rapporte que "le général Hulusi Akar, chef d'état-major des armées, est pris en otage par un groupe de militaires" au siège de l'armée. 23h30 : le président, Recep Tayyip Erdogan, qui se trouvait en vacances dans le sud-ouest du pays, s'exprime sur la chaîne CNN Turk via l'application Facetime. Il explique qu'il s'agit "d'un soulèvement d'une petite minorité au sein de l'armée", exhortant la population à investir les rues du pays pour résister à "la tentative de coup d'Etat". Après cette apparition, la tension s'installe. La chaîne publique TRT cesse d'émettre. Pendant ce temps, à Istanbul, des manifestants se rassemblent à la Place Taksim pour dénoncer le putsch, tandis que d'autres essayent de braver l'interdiction de traverser les ponts du Bosphore. Les putschistes ont ouvert le feu sur la foule, causant un mort et plusieurs blessés selon les médias locaux. La police appuie les manifestants dans plusieurs endroits. 00h20 : les autorités turques annoncent que les forces pro-gouvernementales avaient pris le dessus sur les putschistes. Elles reconnaissent toutefois faire face à une résistance dans certaines zones à Istanbul et Ankara. 00h30 : des sources gouvernementales indiquent qu'un avion de chasse F-16 avait abattu un hélicoptère sans préciser le lieu. Par ailleurs, les combats se poursuivaient entre loyalistes et putschistes notamment à Istanbul et Ankara. 02h : Alors que les réactions internationales s'enchaînent, les renseignements turcs annoncent "un retour à la normale". Le président Erdogan annonce que la situation est maîtrisée. "C'est une initiative idiote vouée à l'échec et elle est largement sous contrôle", a déclaré le Premier ministre turc. 02h30 : Recep Tayyip Edrogan arrive à Istanbul. À son arrivée à l'aéroport, il déclare à la presse que l'hôtel où il se trouvait en vacances, sur la côte de Marmaris, a été bombardé après son départ. Le président turc, qui a qualifié ce coup de force de "trahison", accuse les partisans de Fethullah Gulen d'être les exécutants. Ce dernier dément. 04h30 : des coups de feu sporadiques retentissaient toujours près d'Ankara. La situation est toujours tendue. 05h30 : des avions de chasse bombardent les chars des insurgés déployés aux alentours du palais présidentiel d'Ankara. 06h : un nouveau chef d'état-major par intérim est nommé par le Premier ministre, Binali Yildirim. Plusieurs putschistes se rendent à Instanbul et Ankara où 200 soldats s'étaient retranchés dans le siège de l'état-major des armées, selon l'agence Anatolie. 12h : le Premier ministre turc annonce que la situation "est désormais pleinement sous contrôle des autorités". Plusieurs mesures ont été prises. À noter que les arrestations sont toujours en cours. 21h55 : des fusillades ont éclaté dans la capitale. Des explosions sont entendues. La confusion s'installe. 22h : le Premier ministre, Binali Yildirim, évoque sur Twitter une tentative de coup de force menée par un petit groupe de militaires. "Certains individus ont entrepris une action illégale sans l'aval de la chaîne de commandement", écrit-il. De leur côté, les médias turcs et internationaux parlent de "tentative de coup d'Etat". 22h30 : après s'être emparés des locaux de la chaîne publique TRT, les militaires putschistes publient un communiqué. Ils annoncent avoir pris le pouvoir, expliquant que leur but était de "restaurer l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits de l'Homme et les libertés". En parallèle, l'agence officielle Anatolie rapporte que "le général Hulusi Akar, chef d'état-major des armées, est pris en otage par un groupe de militaires" au siège de l'armée. 23h30 : le président, Recep Tayyip Erdogan, qui se trouvait en vacances dans le sud-ouest du pays, s'exprime sur la chaîne CNN Turk via l'application Facetime. Il explique qu'il s'agit "d'un soulèvement d'une petite minorité au sein de l'armée", exhortant la population à investir les rues du pays pour résister à "la tentative de coup d'Etat". Après cette apparition, la tension s'installe. La chaîne publique TRT cesse d'émettre. Pendant ce temps, à Istanbul, des manifestants se rassemblent à la Place Taksim pour dénoncer le putsch, tandis que d'autres essayent de braver l'interdiction de traverser les ponts du Bosphore. Les putschistes ont ouvert le feu sur la foule, causant un mort et plusieurs blessés selon les médias locaux. La police appuie les manifestants dans plusieurs endroits. 00h20 : les autorités turques annoncent que les forces pro-gouvernementales avaient pris le dessus sur les putschistes. Elles reconnaissent toutefois faire face à une résistance dans certaines zones à Istanbul et Ankara. 00h30 : des sources gouvernementales indiquent qu'un avion de chasse F-16 avait abattu un hélicoptère sans préciser le lieu. Par ailleurs, les combats se poursuivaient entre loyalistes et putschistes notamment à Istanbul et Ankara. 02h : Alors que les réactions internationales s'enchaînent, les renseignements turcs annoncent "un retour à la normale". Le président Erdogan annonce que la situation est maîtrisée. "C'est une initiative idiote vouée à l'échec et elle est largement sous contrôle", a déclaré le Premier ministre turc. 02h30 : Recep Tayyip Edrogan arrive à Istanbul. À son arrivée à l'aéroport, il déclare à la presse que l'hôtel où il se trouvait en vacances, sur la côte de Marmaris, a été bombardé après son départ. Le président turc, qui a qualifié ce coup de force de "trahison", accuse les partisans de Fethullah Gulen d'être les exécutants. Ce dernier dément. 04h30 : des coups de feu sporadiques retentissaient toujours près d'Ankara. La situation est toujours tendue. 05h30 : des avions de chasse bombardent les chars des insurgés déployés aux alentours du palais présidentiel d'Ankara. 06h : un nouveau chef d'état-major par intérim est nommé par le Premier ministre, Binali Yildirim. Plusieurs putschistes se rendent à Instanbul et Ankara où 200 soldats s'étaient retranchés dans le siège de l'état-major des armées, selon l'agence Anatolie. 12h : le Premier ministre turc annonce que la situation "est désormais pleinement sous contrôle des autorités". Plusieurs mesures ont été prises. À noter que les arrestations sont toujours en cours.