Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), ne mâche désormais plus ses mots. Elle n'arrête pas de fustiger les politiques que mène le gouvernement et , pour ce faire, n'hésite pas à user des mots les plus crus pour exprimer l'opposition de son parti Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), ne mâche désormais plus ses mots. Elle n'arrête pas de fustiger les politiques que mène le gouvernement et , pour ce faire, n'hésite pas à user des mots les plus crus pour exprimer l'opposition de son parti Hier encore la patronne du PT n'est pas allée par le dos de la cuillère en tirant à boulets rouges sur l'Exécutif en estimant que le président de la République est le seul a même de stopper cette politique anti- sociale. A ce titre, elle a directement interpellé le premier magistrat du pays en l'invitant solennellement à intervenir directement en vue de mettre fin à ces politiques dangereuses prônées par le gouvernement. Lors de la conférence de presse qu'elle a animée hier au siège de son parti Louisa Hanoune s'est longuement attardée, actualité oblige, sur la grève à partir d'hier par pas moins de 17 syndicats autonomes pour dire non au projet de loi gouvernemental portant sur l'annulation de la retraite anticipée. Mais Louisa Hanoune, qui a soutenu à fond cette action de protestation des syndicats, est aussi revenu sur l'autre sujet qui préoccupe le plus la scène sociopolitique nationale, à savoir le projet de loi de finances 2017. Un projet de loi qui semble marquer une rupture avec une certaine politique sociale et économique de l''Exécutif puisque il est désormais question de l'introduction de nombreuses taxes qui ne manqueront pas d'avoir une incidence directe sur le pouvoir d'achat des Algériens déjà fort malmené puisque les prix de plusieurs produits et services vont considérablement augmenter. « La situation est trop précaire et ne peut supporter d'avantage de coups. Plus nous approfondissons la lecture du projet de Loi de finances 2017 et plus la terreur nous saisit» dira la conférencière. Pour mieux illustrer ses propos Louisa Haroun a évoqué quelques taxes qu'elle a qualifiées de "destructives du pouvoir d'achat". Ace propos elle a notamment citée la taxe sur la location des habitations collectives qui va connaitre une augmentation de 7%. « Le gouvernement est prêt à pousser le pays dans l'abîme et ne pas toucher à une minorité», a-t-elle indiqué. Elle poursuit donc son offensive contre ce projet de loi puisque il y a quelques jours sénilement elle a mis en gare contre les mesures qu'il contient. «Aucun Algérien n'ignore que si la majorité est accablée par l'austérité une minorité parmi les nouveaux riches ne paie même pas ses impôts » a-t-elle affirmé. Pour elle , de plus, ce texte de loi «offre l'Algérie sur un plateau d'argent aux groupes internationaux». En plus donc de ce qu'elle a qualifié «d'appauvrissement du peuple algérien» elle a fait montre de ses craintes à propos des facilités qu'offre ce projet de loi aux investisseurs étrangers. Et sur ce plan, elle a clairement indiqué qu'il risque même de détruire l'immunité du pays puisque il constitue un véritable danger sur « la souveraineté nationale ». Hier encore la patronne du PT n'est pas allée par le dos de la cuillère en tirant à boulets rouges sur l'Exécutif en estimant que le président de la République est le seul a même de stopper cette politique anti- sociale. A ce titre, elle a directement interpellé le premier magistrat du pays en l'invitant solennellement à intervenir directement en vue de mettre fin à ces politiques dangereuses prônées par le gouvernement. Lors de la conférence de presse qu'elle a animée hier au siège de son parti Louisa Hanoune s'est longuement attardée, actualité oblige, sur la grève à partir d'hier par pas moins de 17 syndicats autonomes pour dire non au projet de loi gouvernemental portant sur l'annulation de la retraite anticipée. Mais Louisa Hanoune, qui a soutenu à fond cette action de protestation des syndicats, est aussi revenu sur l'autre sujet qui préoccupe le plus la scène sociopolitique nationale, à savoir le projet de loi de finances 2017. Un projet de loi qui semble marquer une rupture avec une certaine politique sociale et économique de l''Exécutif puisque il est désormais question de l'introduction de nombreuses taxes qui ne manqueront pas d'avoir une incidence directe sur le pouvoir d'achat des Algériens déjà fort malmené puisque les prix de plusieurs produits et services vont considérablement augmenter. « La situation est trop précaire et ne peut supporter d'avantage de coups. Plus nous approfondissons la lecture du projet de Loi de finances 2017 et plus la terreur nous saisit» dira la conférencière. Pour mieux illustrer ses propos Louisa Haroun a évoqué quelques taxes qu'elle a qualifiées de "destructives du pouvoir d'achat". Ace propos elle a notamment citée la taxe sur la location des habitations collectives qui va connaitre une augmentation de 7%. « Le gouvernement est prêt à pousser le pays dans l'abîme et ne pas toucher à une minorité», a-t-elle indiqué. Elle poursuit donc son offensive contre ce projet de loi puisque il y a quelques jours sénilement elle a mis en gare contre les mesures qu'il contient. «Aucun Algérien n'ignore que si la majorité est accablée par l'austérité une minorité parmi les nouveaux riches ne paie même pas ses impôts » a-t-elle affirmé. Pour elle , de plus, ce texte de loi «offre l'Algérie sur un plateau d'argent aux groupes internationaux». En plus donc de ce qu'elle a qualifié «d'appauvrissement du peuple algérien» elle a fait montre de ses craintes à propos des facilités qu'offre ce projet de loi aux investisseurs étrangers. Et sur ce plan, elle a clairement indiqué qu'il risque même de détruire l'immunité du pays puisque il constitue un véritable danger sur « la souveraineté nationale ».