Le 6e Festival international du conte, qui se tiendra du 22 au 26 octobre au Théâtre régional de Constantine, s'ouvrira par "Le prince de Timbouctou", un spectacle de conte et de musique ethnique conçu par la conteuse algérienne Sihem Kennouche. Le 6e Festival international du conte, qui se tiendra du 22 au 26 octobre au Théâtre régional de Constantine, s'ouvrira par "Le prince de Timbouctou", un spectacle de conte et de musique ethnique conçu par la conteuse algérienne Sihem Kennouche. Le spectacle consiste en un conte qui retrace la tragédie d'un prince de Tombouctou, un périple extraordinaire mis en valeur par le chant des "wasfane" (ancienne appellation donnée aux hommes de couleur à Constantine). Sihem Kennouche, qui a déjà conçu "Semaa Enda", un spectacle à l'honneur de la poésie ancienne du Maghreb regroupant des chanteurs des différentes régions maghrébines, sera accompagnée, cette fois-ci sur scène, par des airs et rythmes propres à la communauté des Noirs d'antan exécutés par des tambours, gumbri et des kerkabou, notamment. Pour le mot "Timbouctou" et non "Tombouctou" qui désigne la ville malienne célèbre par ses vestiges et son riche patrimoine, l'auteure du conte, également animatrice à la radio, estime que tout "le mystère" y réside et que "c'est dans l'histoire que cela se comprendra" sans trop vouloir s'étaler. Organisé par l'Association Ken ya ma ken (Il était une fois), le Festival international du conte verra chaque soir à partir de 19h00 des conteurs qui se succéderont sur scène pour emporter le public vers un monde imaginaire, de rêves et de sagesse. Le public constantinois pourra ainsi apprécier le passage de Shirine Al Ansary (Egypte), Amal Boutebba (Tunisie), Hala Jalloul (Syrie), Sabah Maache (Maroc), Halima Hamdane (Maroc), Sytchkov Marianne (Russie) et Amine Hamlili (Algérie). Créée en 2010, l'association Ken ya ma ken oeuvre à perpétuer l'art de l'oralité et à ressusciter des contes universels, héritage de plusieurs cultures, selon son président Fayçal Ahmed- Raïs. Le spectacle consiste en un conte qui retrace la tragédie d'un prince de Tombouctou, un périple extraordinaire mis en valeur par le chant des "wasfane" (ancienne appellation donnée aux hommes de couleur à Constantine). Sihem Kennouche, qui a déjà conçu "Semaa Enda", un spectacle à l'honneur de la poésie ancienne du Maghreb regroupant des chanteurs des différentes régions maghrébines, sera accompagnée, cette fois-ci sur scène, par des airs et rythmes propres à la communauté des Noirs d'antan exécutés par des tambours, gumbri et des kerkabou, notamment. Pour le mot "Timbouctou" et non "Tombouctou" qui désigne la ville malienne célèbre par ses vestiges et son riche patrimoine, l'auteure du conte, également animatrice à la radio, estime que tout "le mystère" y réside et que "c'est dans l'histoire que cela se comprendra" sans trop vouloir s'étaler. Organisé par l'Association Ken ya ma ken (Il était une fois), le Festival international du conte verra chaque soir à partir de 19h00 des conteurs qui se succéderont sur scène pour emporter le public vers un monde imaginaire, de rêves et de sagesse. Le public constantinois pourra ainsi apprécier le passage de Shirine Al Ansary (Egypte), Amal Boutebba (Tunisie), Hala Jalloul (Syrie), Sabah Maache (Maroc), Halima Hamdane (Maroc), Sytchkov Marianne (Russie) et Amine Hamlili (Algérie). Créée en 2010, l'association Ken ya ma ken oeuvre à perpétuer l'art de l'oralité et à ressusciter des contes universels, héritage de plusieurs cultures, selon son président Fayçal Ahmed- Raïs.