Le projet de loi sur la retraite continue de susciter la polémique. Ce projet de loi très controversé, qui est dénoncé par les syndicats autonomes, est actuellement examiné par la commission de la santé et des affaires sociales de l'APN. Le projet de loi sur la retraite continue de susciter la polémique. Ce projet de loi très controversé, qui est dénoncé par les syndicats autonomes, est actuellement examiné par la commission de la santé et des affaires sociales de l'APN. Et apparemment les députés de l'oppositionne sont pas du tout contents de la manière avec laquelle se déroule l'examen de ce texte de loi. Des députés de quatre groupes parlementaires de l'opposition, qui représentent le FFS, l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le Parti des travailleurs (PT) et le Front de la justice et du développement que préside Abdallah Djaballah, sont, à ce effet, montés hier au créneau. Ils dénoncent le non respect par la commission sus-citée des dispositions réglementaires énoncées par le règlement intérieur de la Chambre basse du Parlement. Par conséquent ils ont annoncé leur retrait des travaux de la commission de la santé. De quoi s'agit-il exactement ? "Au moment où nous nous attendions à la poursuite de l'ordre du jour de la commission relatif à l'examen et le débat du projet de loi sur la retraite conformément à la loi, au règlement intérieur et aux traditions de l'APN, on a été surpris, nous les membres, par la convocation du président de la commission pour la lecture du rapport préliminaire après trois semaines de gel des travaux de la commission et ce, sans justification aucune" indique le communiqué rendu public hier et signé par 8 députés représentant les 4 groupes parlementaires de l'opposition. C'est donc à cause de ces "violations" que ces députés ont décidé de se retirer, de protester et de décliner toute responsabilité par rapport à ce rapport, dont la paternité est inconnue. "On confirme à l'opinion publique que le projet de loi n'a fait l'objet d'aucun examen dans son contenu par les membres de la commission. De même que la commission a été privée de l'écoute des avis des experts et des syndicats comme c'était programmé" ajoutent les huit députés protestataires. A en croire donc ces députés de l'opposition, le projet de loi risque donc d'être présenté à la séance plénière sans avoir été examiné de fond en comble par la commission spécialisée comme cela est de coutume pour n'importe quel projet de loi. Autant dire qu'il s'agit, dans le cas où cela se confirme qu'il s'agit d'une véritable dérive. Car priver des représentants du peuple d'accomplir leur mission constitutionnelle est très loin d'être une mince affaire. En tout cas cela atteste, une fois encore, de la grande tension qui entoure ce projet de loi qui énonce dans une de ses dispositions l'annulation de la retraite anticipée. C'est d'ailleurs cette annulation de la retraite anticipée qui a été à l'origine d'une levée de boucliers des syndicats autonomes en particulier et du monde du travail en général. Car depuis l'annonce de cette mesure, décidée pour rappel par la tripartite, le front social est en ébullition et les syndicats autonomes sont sur le pied de guerre. Ainsi après quatre jours de grève ils vont revenir à la charge dans les prochains jours en initiant une autre grève de trois jours cyclique et ce, dans le but d'amener le gouvernement à revoir sa copie. Et apparemment les députés de l'oppositionne sont pas du tout contents de la manière avec laquelle se déroule l'examen de ce texte de loi. Des députés de quatre groupes parlementaires de l'opposition, qui représentent le FFS, l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le Parti des travailleurs (PT) et le Front de la justice et du développement que préside Abdallah Djaballah, sont, à ce effet, montés hier au créneau. Ils dénoncent le non respect par la commission sus-citée des dispositions réglementaires énoncées par le règlement intérieur de la Chambre basse du Parlement. Par conséquent ils ont annoncé leur retrait des travaux de la commission de la santé. De quoi s'agit-il exactement ? "Au moment où nous nous attendions à la poursuite de l'ordre du jour de la commission relatif à l'examen et le débat du projet de loi sur la retraite conformément à la loi, au règlement intérieur et aux traditions de l'APN, on a été surpris, nous les membres, par la convocation du président de la commission pour la lecture du rapport préliminaire après trois semaines de gel des travaux de la commission et ce, sans justification aucune" indique le communiqué rendu public hier et signé par 8 députés représentant les 4 groupes parlementaires de l'opposition. C'est donc à cause de ces "violations" que ces députés ont décidé de se retirer, de protester et de décliner toute responsabilité par rapport à ce rapport, dont la paternité est inconnue. "On confirme à l'opinion publique que le projet de loi n'a fait l'objet d'aucun examen dans son contenu par les membres de la commission. De même que la commission a été privée de l'écoute des avis des experts et des syndicats comme c'était programmé" ajoutent les huit députés protestataires. A en croire donc ces députés de l'opposition, le projet de loi risque donc d'être présenté à la séance plénière sans avoir été examiné de fond en comble par la commission spécialisée comme cela est de coutume pour n'importe quel projet de loi. Autant dire qu'il s'agit, dans le cas où cela se confirme qu'il s'agit d'une véritable dérive. Car priver des représentants du peuple d'accomplir leur mission constitutionnelle est très loin d'être une mince affaire. En tout cas cela atteste, une fois encore, de la grande tension qui entoure ce projet de loi qui énonce dans une de ses dispositions l'annulation de la retraite anticipée. C'est d'ailleurs cette annulation de la retraite anticipée qui a été à l'origine d'une levée de boucliers des syndicats autonomes en particulier et du monde du travail en général. Car depuis l'annonce de cette mesure, décidée pour rappel par la tripartite, le front social est en ébullition et les syndicats autonomes sont sur le pied de guerre. Ainsi après quatre jours de grève ils vont revenir à la charge dans les prochains jours en initiant une autre grève de trois jours cyclique et ce, dans le but d'amener le gouvernement à revoir sa copie.