Le premier secrétaire du FFS a tenu, hier à rassurer les militants et sympathisants de son parti suite à l'exclusion de Rachid Halet de l'instance présidentielle du parti. Le premier secrétaire du FFS a tenu, hier à rassurer les militants et sympathisants de son parti suite à l'exclusion de Rachid Halet de l'instance présidentielle du parti. "Je veux rassurer tous les militantes et militants, les sympathisants et tout le peuple algérien, le FFS va bien !", a déclaré Abdelmalek Bouchafa dans un très court point de presse tenu avant l'ouverture de la réunion du Conseil national qui se tient à huis clos. "On est encore fidèle aux principes fondamentaux et les premiers objectifs tracés par le moudjahid Hocine Aït Ahmed", a-t-il ajouté. Le Premier secrétaire du FFS a rappelé qu'il "s'agit d'une session ordinaire du conseil national consacrée notamment au débat sur la participation ou non du parti aux prochaines élections législatives. Le débat sera libre et démocratique", a précisé M. Bouchafa. Le 6 décembre, Rachid Halet a été exclu du parti par la commission nationale de médiation du FFS. Dans son communiqué signé par son premier secrétaire, le parti n'avait pas expliqué les raisons à l'origine de cette décision. Rachid Halet avait dénoncé le jour même unputsch mené par certains membres de l'instance présidentielle. "Je veux rassurer tous les militantes et militants, les sympathisants et tout le peuple algérien, le FFS va bien !", a déclaré Abdelmalek Bouchafa dans un très court point de presse tenu avant l'ouverture de la réunion du Conseil national qui se tient à huis clos. "On est encore fidèle aux principes fondamentaux et les premiers objectifs tracés par le moudjahid Hocine Aït Ahmed", a-t-il ajouté. Le Premier secrétaire du FFS a rappelé qu'il "s'agit d'une session ordinaire du conseil national consacrée notamment au débat sur la participation ou non du parti aux prochaines élections législatives. Le débat sera libre et démocratique", a précisé M. Bouchafa. Le 6 décembre, Rachid Halet a été exclu du parti par la commission nationale de médiation du FFS. Dans son communiqué signé par son premier secrétaire, le parti n'avait pas expliqué les raisons à l'origine de cette décision. Rachid Halet avait dénoncé le jour même unputsch mené par certains membres de l'instance présidentielle.