Pour protester contre le mépris envers les femmes affiché régulièrement par Donald Trump devenu officiellement 45e président des Etats-Unis vendredi, des centaines de manifestations se sont organisées hier à travers le monde. Pour protester contre le mépris envers les femmes affiché régulièrement par Donald Trump devenu officiellement 45e président des Etats-Unis vendredi, des centaines de manifestations se sont organisées hier à travers le monde. Au moment où nous mettons sous presse, d'autres marches sont prévues dans plus de quatre cents villes des Etats-Unis et dans soixante-six autres pays, dont le Canada (où des manifestations sont prévues dans vingtsept villes), le Mexique (dixsept villes), la Grande-Bretagne (quatorze villes) mais aussi en France (neuf villes). A Paris, plusieurs centaines de personnes s'étaient réunies en début d'après-midi au Trocadéro. Plus tôt dans la matinée hier, de premiers rassemblements ont eu lieu à Sydney et à Melbourne, en Australie, et à Wellington et à Auckland, en Nouvelle- Zélande. "Nous ne sommes pas seulement inquiets pour les femmes", dit l'une des organisatrices de la marche de Sydney, Mindy Freiband. "Nous pensons que de nombreuses personnes sont menacées par le genre de mesures" évoquées par M. Trump au cours de sa campagne. Ces marches des femmes se sont organisées en réponse à un appel posté sur Facebook par Teresa Shook, avocate à la retraite, vivant jusqu'ici dans un anonymat paisible à Hawaï. La manifestation la plus importante est à Washington, où plus de deux cent mille personnes sont attendues sur la vaste esplanade devant le Capitole, l'endroit même où Donald Trump a prêté serment et a été intronisé vendredi 45eprésident des Etats-Unis. Le cinéaste Michael Moore, l'actrice Scarlett Johansson ou la militante des droits civiques Angela Davies ont prévu de s'exprimer à l'occasion de ce rassemblement. Des poètes et écrivains ont par ailleurs annoncé qu'ils participeraient à des lectures publiques en dénonciation de Donald Trump dans une trentaine d'Etats d'Amérique. "À partir d'aujourd'hui, ce sera l'Amérique d'abord" Le 45e président des Etats-unis Donald Trump, investi avanthier, a affirmé que "ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique". "Nous sommes une seule nation, une nation unie", tout en dénonçant un "carnage" ayant conduit à laisser de côté des millions d'Américains. Sur l'économie, il a défendu une politique protectionniste, afin que la croissance ne profite plus aux groupes étrangers. "Chaque décision sera désormais prise en tenant d'abord compte des Américains", a-t-il lancé. En citant l'industrie, l'immigration ou encore la politique étrangère. "Nous allons retrouver nos richesses, nos frontières, notre rêve", a-t-il poursuivi. "C'est le droit de toute nation que de placer ses intérêts en priorité", a-t-il encore déclaré. En assurant ne pas vouloir imposer son modèle aux autres pays. "Notre pays va de nouveau rayonner", a assuré Donald Trump, dans un discours associant tout Américain, "quelle que soit sa couleur de peau, quel que soit son lieu de naissance. Ensemble, nous allons faire en sorte que l'Amérique soit fière de nouveau et qu'elle redevienne une grande nation", a-t-il souligné sous les ovations des participants. "Ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique" "Nous nous sommes réunis aujourd'hui et nous décrétons pour être entendus dans chaque ville, chaque capitale étrangère et dans chaque lieu de pouvoir qu'à compter d'aujourd'hui une nouvelle vision prévaudra dans notre pays : ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique", a-il martelé. "Ensemble nous allons rendre à l'Amérique sa force. Nous allons rendre à l'Amérique sa prospérité. Nous allons rendre à l'Amérique sa fierté. Nous allons rendre à l'Amérique sa sécurité. Et oui, ensemble, nous allons rendre à l'Amérique sa grandeur" a martelé le nouveau président américain. "Une nouvelle fierté nationale va élever nos regards et guérir nos divisions", a-t-il encore déclaré. Au plan économique, "nous allons suivre deux règles simples: acheter américain, embaucher américain", a souligné M. Trump. "Nous allons éradiquer le terrorisme islamique radical" Le 45e président des Etats-Unis a également promis de "renforcer les vieilles alliances et d'en forger de nouvelles", tout en déplorant que depuis des années l'Amérique ait "subventionné les armées d'autres pays", sans dire toutefois à quels Etats étrangers il faisait référence. Le milliardaire républicain a par ailleurs promis d'"éradiquer le "terrorisme islamique radical. "Nous allons unifier le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous allons éradiquer complètement de la surface de la Terre", a-t-il déclaré sous les applaudissements de plusieurs centaines de milliers de personnes. Au moment où nous mettons sous presse, d'autres marches sont prévues dans plus de quatre cents villes des Etats-Unis et dans soixante-six autres pays, dont le Canada (où des manifestations sont prévues dans vingtsept villes), le Mexique (dixsept villes), la Grande-Bretagne (quatorze villes) mais aussi en France (neuf villes). A Paris, plusieurs centaines de personnes s'étaient réunies en début d'après-midi au Trocadéro. Plus tôt dans la matinée hier, de premiers rassemblements ont eu lieu à Sydney et à Melbourne, en Australie, et à Wellington et à Auckland, en Nouvelle- Zélande. "Nous ne sommes pas seulement inquiets pour les femmes", dit l'une des organisatrices de la marche de Sydney, Mindy Freiband. "Nous pensons que de nombreuses personnes sont menacées par le genre de mesures" évoquées par M. Trump au cours de sa campagne. Ces marches des femmes se sont organisées en réponse à un appel posté sur Facebook par Teresa Shook, avocate à la retraite, vivant jusqu'ici dans un anonymat paisible à Hawaï. La manifestation la plus importante est à Washington, où plus de deux cent mille personnes sont attendues sur la vaste esplanade devant le Capitole, l'endroit même où Donald Trump a prêté serment et a été intronisé vendredi 45eprésident des Etats-Unis. Le cinéaste Michael Moore, l'actrice Scarlett Johansson ou la militante des droits civiques Angela Davies ont prévu de s'exprimer à l'occasion de ce rassemblement. Des poètes et écrivains ont par ailleurs annoncé qu'ils participeraient à des lectures publiques en dénonciation de Donald Trump dans une trentaine d'Etats d'Amérique. "À partir d'aujourd'hui, ce sera l'Amérique d'abord" Le 45e président des Etats-unis Donald Trump, investi avanthier, a affirmé que "ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique". "Nous sommes une seule nation, une nation unie", tout en dénonçant un "carnage" ayant conduit à laisser de côté des millions d'Américains. Sur l'économie, il a défendu une politique protectionniste, afin que la croissance ne profite plus aux groupes étrangers. "Chaque décision sera désormais prise en tenant d'abord compte des Américains", a-t-il lancé. En citant l'industrie, l'immigration ou encore la politique étrangère. "Nous allons retrouver nos richesses, nos frontières, notre rêve", a-t-il poursuivi. "C'est le droit de toute nation que de placer ses intérêts en priorité", a-t-il encore déclaré. En assurant ne pas vouloir imposer son modèle aux autres pays. "Notre pays va de nouveau rayonner", a assuré Donald Trump, dans un discours associant tout Américain, "quelle que soit sa couleur de peau, quel que soit son lieu de naissance. Ensemble, nous allons faire en sorte que l'Amérique soit fière de nouveau et qu'elle redevienne une grande nation", a-t-il souligné sous les ovations des participants. "Ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique" "Nous nous sommes réunis aujourd'hui et nous décrétons pour être entendus dans chaque ville, chaque capitale étrangère et dans chaque lieu de pouvoir qu'à compter d'aujourd'hui une nouvelle vision prévaudra dans notre pays : ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique", a-il martelé. "Ensemble nous allons rendre à l'Amérique sa force. Nous allons rendre à l'Amérique sa prospérité. Nous allons rendre à l'Amérique sa fierté. Nous allons rendre à l'Amérique sa sécurité. Et oui, ensemble, nous allons rendre à l'Amérique sa grandeur" a martelé le nouveau président américain. "Une nouvelle fierté nationale va élever nos regards et guérir nos divisions", a-t-il encore déclaré. Au plan économique, "nous allons suivre deux règles simples: acheter américain, embaucher américain", a souligné M. Trump. "Nous allons éradiquer le terrorisme islamique radical" Le 45e président des Etats-Unis a également promis de "renforcer les vieilles alliances et d'en forger de nouvelles", tout en déplorant que depuis des années l'Amérique ait "subventionné les armées d'autres pays", sans dire toutefois à quels Etats étrangers il faisait référence. Le milliardaire républicain a par ailleurs promis d'"éradiquer le "terrorisme islamique radical. "Nous allons unifier le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous allons éradiquer complètement de la surface de la Terre", a-t-il déclaré sous les applaudissements de plusieurs centaines de milliers de personnes.