Rien n'est impossible en politique, mais rien n'est facile quand il s'agit de construire une union entre deux entités politiques. Rien n'est impossible en politique, mais rien n'est facile quand il s'agit de construire une union entre deux entités politiques. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) et le Front du changement (FC) le constatent tous les jours sur le terrain. Le MSP et le FC, qui ont décidé de confectionner des listes communes pour les élections législatives du 4 mai prochain avant de fusionner dans une deuxième étape, rencontrent des difficultés pour aller de l'avant dans cette quête d'union. En effet, si tout semble un tant soit peu parfait entre les états-majors de ces deux partis politiques islamistes, il en est autrement à l'échelle locale. A ce niveau les ambitions des uns et des autres font que la confection de listes communes ne s'est pas avérée être une simple sinécure. Loin s'en faut, car chaque formation se vante d'être mieux implantée que l'autre et disposant donc de plus de chances de rafler des sièges à l'APN si la liste électorale est conduite par son protégé. Ces couacs ont donné, apparemment, des soucis aux directions politiques au point d'intervenir pour aplanir les divergences. C'est ainsi que Abderazak Makri, le président du MSP, est intervenu pour instruire les bureaux de wilaya du Mouvement à l'effet de faire preuve de souplesse et par voie de conséquence de sauver le projet d'union. On ne sait pas encore quel effet a eu cette instruction de Makri cela sachant que lesbureaux de wilaya du MSP se montrent jaloux de leurs prérogatives. Face à ce même problème Abdelmadjid, Menasra, le président du FC a, lui, convoqué le week-end dernier le Conseil national de son parti pour une session extraordinaire. Par cette action, Menasra entendait rappeler aux dirigeants du MSP leurs engagements pour cette union scellés dans l'accord signé par les deux partis. Un accord qui laisse aux bureaux de wilaya des deux partis le soin de confectionner ces listes communes, mais ce n'est qu'en cas de difficulté que les directions nationales interviennent. Il semble que ce sont les bases militantes du MSP qui, s'estimant plus représentatives et mieux implantées et disposant donc d'un plus grand capital populaire, qui ne veulent pas de sacrifices et faire des cadeaux au FC. Ce d'autant que l'expérience de l'Alliance de l'Algérie verte a laissé d'indélébiles traces. Rappelons que le MSP, comme le stipule l'accord, va intégrer dans ses rangs le FC. Ce dernier, formé il y a quelques années de cela par Abdelmadjid Menasra, va en effet rejoindre le MSP pour ne faire qu'un seul mouvement. En somme, c'est Abdelmadjid Menasra, qui a fait dissension du MSP en 2008, qui rejoint avec armes et bagages la maison-mère. Ce projet de fusion des deux mouvements en discussion depuis des mois, a été scellé il y a quelques semaines de cela. Les instances dirigeantes du MSP et du FC, ont entériné cet accord de fusion. En récupérant ses anciens dissidents, le MSP sort, incontestablement, renforcé et peut entrevoir l'avenir sous de meilleurs auspices. Cela se vérifiera dès les prochaines élections législatives. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) et le Front du changement (FC) le constatent tous les jours sur le terrain. Le MSP et le FC, qui ont décidé de confectionner des listes communes pour les élections législatives du 4 mai prochain avant de fusionner dans une deuxième étape, rencontrent des difficultés pour aller de l'avant dans cette quête d'union. En effet, si tout semble un tant soit peu parfait entre les états-majors de ces deux partis politiques islamistes, il en est autrement à l'échelle locale. A ce niveau les ambitions des uns et des autres font que la confection de listes communes ne s'est pas avérée être une simple sinécure. Loin s'en faut, car chaque formation se vante d'être mieux implantée que l'autre et disposant donc de plus de chances de rafler des sièges à l'APN si la liste électorale est conduite par son protégé. Ces couacs ont donné, apparemment, des soucis aux directions politiques au point d'intervenir pour aplanir les divergences. C'est ainsi que Abderazak Makri, le président du MSP, est intervenu pour instruire les bureaux de wilaya du Mouvement à l'effet de faire preuve de souplesse et par voie de conséquence de sauver le projet d'union. On ne sait pas encore quel effet a eu cette instruction de Makri cela sachant que lesbureaux de wilaya du MSP se montrent jaloux de leurs prérogatives. Face à ce même problème Abdelmadjid, Menasra, le président du FC a, lui, convoqué le week-end dernier le Conseil national de son parti pour une session extraordinaire. Par cette action, Menasra entendait rappeler aux dirigeants du MSP leurs engagements pour cette union scellés dans l'accord signé par les deux partis. Un accord qui laisse aux bureaux de wilaya des deux partis le soin de confectionner ces listes communes, mais ce n'est qu'en cas de difficulté que les directions nationales interviennent. Il semble que ce sont les bases militantes du MSP qui, s'estimant plus représentatives et mieux implantées et disposant donc d'un plus grand capital populaire, qui ne veulent pas de sacrifices et faire des cadeaux au FC. Ce d'autant que l'expérience de l'Alliance de l'Algérie verte a laissé d'indélébiles traces. Rappelons que le MSP, comme le stipule l'accord, va intégrer dans ses rangs le FC. Ce dernier, formé il y a quelques années de cela par Abdelmadjid Menasra, va en effet rejoindre le MSP pour ne faire qu'un seul mouvement. En somme, c'est Abdelmadjid Menasra, qui a fait dissension du MSP en 2008, qui rejoint avec armes et bagages la maison-mère. Ce projet de fusion des deux mouvements en discussion depuis des mois, a été scellé il y a quelques semaines de cela. Les instances dirigeantes du MSP et du FC, ont entériné cet accord de fusion. En récupérant ses anciens dissidents, le MSP sort, incontestablement, renforcé et peut entrevoir l'avenir sous de meilleurs auspices. Cela se vérifiera dès les prochaines élections législatives.