Le Syndicat national autonome des personnels de l'Administration publique (Snapap), affilié à la Confédération générale autonome des Travailleurs en Algérie (CGATA), entamera aujourd'hui, une grève de trois jours qui durera jusqu'au 22 mars prochain, a annoncé la CGATA dans un communiqué. Le Syndicat national autonome des personnels de l'Administration publique (Snapap), affilié à la Confédération générale autonome des Travailleurs en Algérie (CGATA), entamera aujourd'hui, une grève de trois jours qui durera jusqu'au 22 mars prochain, a annoncé la CGATA dans un communiqué. La grève survient suite à plusieurs problèmes qui touchent le secteur, notamment l'annulation de la loi permettant aux employés de se porter candidats aux élections et appeler à la participation des syndicats aux réunions tripartites. A cet effet, un rassemblement national pacifique avec sit-in devant le siège de la wilaya de Béjaïa, demain mardi, afin de revendiquer, entre autres, l'assurance de salaires de 12 mois sans retard à tous les travailleurs, révision du statut général de la Fonction publique, révision et uniformisation de tous les statuts particuliers des fonctionnaires communaux, respect des libertés syndicales et le droit de grève, l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en poste, révision des régimes indemnitaires, ouverture des formations spéciales pour les corps techniques pour bénéficier des promotions, en addition des revendications ultérieurement mentionnées. La grève survient suite à plusieurs problèmes qui touchent le secteur, notamment l'annulation de la loi permettant aux employés de se porter candidats aux élections et appeler à la participation des syndicats aux réunions tripartites. A cet effet, un rassemblement national pacifique avec sit-in devant le siège de la wilaya de Béjaïa, demain mardi, afin de revendiquer, entre autres, l'assurance de salaires de 12 mois sans retard à tous les travailleurs, révision du statut général de la Fonction publique, révision et uniformisation de tous les statuts particuliers des fonctionnaires communaux, respect des libertés syndicales et le droit de grève, l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en poste, révision des régimes indemnitaires, ouverture des formations spéciales pour les corps techniques pour bénéficier des promotions, en addition des revendications ultérieurement mentionnées.