Des syndicats, dont celui des communaux, le Snateg et le SNPPS déplorent des entraves aux libertés syndicales. Ils dénoncent ces pratiques en promettant "de revenir à la protesta". Des syndicats, dont celui des communaux, le Snateg et le SNPPS déplorent des entraves aux libertés syndicales. Ils dénoncent ces pratiques en promettant "de revenir à la protesta". Selon un des porte-paroles du Syndicat des travailleurs de la commune, "il sera indiqué prochainement des journées de protesta pour signifier notre désapprobation aux entraves à notre action syndicale". Ce syndicat, qui est sous l'aile du Snapap, a estimé que "la plateforme revendicative est ignorée par la tutelle et que des points touchant à la refonte du statut général de la Fonction publique et les statuts particuliers de tous les travailleurs de la commune sont les revendications essentielles qui doivent trouver une solution". Ces derniers qui n'ont cessé, depuis un an, de sortir dans la rue, estiment que "dès qu'il y a une grève c'est la panique des autorités". De son côté, le Syndicat des praticiens publics de la santé (SNPPS) déplore que "des pratiques pourdéstabiliser les mouvements de grève sont agissantes". Le président de ce syndicat, Lyes Merabet, estime à juste titre que "les pressions s'ajoutent de la part de la tutelle pour nous interdire de se réunir pour protester" mais sans qu'il y ait une signification officielle de ces agissements. Le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique a également crié aux "entraves du travail syndical suite à la dénonciation de la situation qui pourrit dans le secteur" souligne la chargée de communication de ce syndicat, Zakia Djelti. Dans son communiqué, les syndicat appelle "à la cessation de ces intimidations" exercées à l'encontre des secrétaires de section syndicale dans plusieurs wilayas. Même pour entamer une grève d'une journée, ce syndicat est confronté à des pressions de sa tutelle pour l'ajourner. Sans compter que des personnes sont arrêtées, bousculées dans les sit-in programmés ou carrément interdits. La plupart des syndicats considèrent que ces pratiques sont en violation de la Constitution qui a consacré pleinement le travail syndical libre de toute gène et pression. Elle reconnaît également le droit de grève comme un droit pour toute corporation syndicale ou assemblée de travailleurs dans un cadre légal. Même les décrets d'application reconnaissent le droit inaliénable à la contestation des travailleurs dans leurs secteurs respectifs. Mais face à l'intransigeance des autorités qui veulent maintenir l'étau serré sur les activités syndicales en jouant sur l'argument "sécuritaire" comme menace pour le pays, les principaux syndicats comptent saisir les plus hautes autorités, dont le Premier ministre et le président de la République, pour protester sur ces comportements des responsables officiels qui veulent revenir aux pratiques révolues de la pensée unique. Selon un des porte-paroles du Syndicat des travailleurs de la commune, "il sera indiqué prochainement des journées de protesta pour signifier notre désapprobation aux entraves à notre action syndicale". Ce syndicat, qui est sous l'aile du Snapap, a estimé que "la plateforme revendicative est ignorée par la tutelle et que des points touchant à la refonte du statut général de la Fonction publique et les statuts particuliers de tous les travailleurs de la commune sont les revendications essentielles qui doivent trouver une solution". Ces derniers qui n'ont cessé, depuis un an, de sortir dans la rue, estiment que "dès qu'il y a une grève c'est la panique des autorités". De son côté, le Syndicat des praticiens publics de la santé (SNPPS) déplore que "des pratiques pourdéstabiliser les mouvements de grève sont agissantes". Le président de ce syndicat, Lyes Merabet, estime à juste titre que "les pressions s'ajoutent de la part de la tutelle pour nous interdire de se réunir pour protester" mais sans qu'il y ait une signification officielle de ces agissements. Le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique a également crié aux "entraves du travail syndical suite à la dénonciation de la situation qui pourrit dans le secteur" souligne la chargée de communication de ce syndicat, Zakia Djelti. Dans son communiqué, les syndicat appelle "à la cessation de ces intimidations" exercées à l'encontre des secrétaires de section syndicale dans plusieurs wilayas. Même pour entamer une grève d'une journée, ce syndicat est confronté à des pressions de sa tutelle pour l'ajourner. Sans compter que des personnes sont arrêtées, bousculées dans les sit-in programmés ou carrément interdits. La plupart des syndicats considèrent que ces pratiques sont en violation de la Constitution qui a consacré pleinement le travail syndical libre de toute gène et pression. Elle reconnaît également le droit de grève comme un droit pour toute corporation syndicale ou assemblée de travailleurs dans un cadre légal. Même les décrets d'application reconnaissent le droit inaliénable à la contestation des travailleurs dans leurs secteurs respectifs. Mais face à l'intransigeance des autorités qui veulent maintenir l'étau serré sur les activités syndicales en jouant sur l'argument "sécuritaire" comme menace pour le pays, les principaux syndicats comptent saisir les plus hautes autorités, dont le Premier ministre et le président de la République, pour protester sur ces comportements des responsables officiels qui veulent revenir aux pratiques révolues de la pensée unique.