Les partis politiques font l'objet actuellement de consultations pour le prochain gouvernement. Les tractations se déroulent à huis clos où certains ne cachent pas leur ambition d'y figurer dans un avenir proche. Les partis politiques font l'objet actuellement de consultations pour le prochain gouvernement. Les tractations se déroulent à huis clos où certains ne cachent pas leur ambition d'y figurer dans un avenir proche. Il est entendu que le Président de la République est le seul garant de nommer un nouveau gouvernement. Mais avant même l'installation de la nouvelle APN, les partis politiques se livrent à une bataille de communication où chacun veut prendre part dans un gouvernement élargi. Si le FLN qui a obtenu une majorité relative est à l'aise dans ces consultations, tout indique selon une source du parti que « le prochain gouvernement ne se fera pas au détriment du parti en majorité ». L'avantage du FLN réside dans le fait que beaucoup de ses nouveaux élus ne doivent pas céder aux pressions qui consisteraient à réduire leur nombre. Pour l'heure, les rangs se resserrent chez le vieux parti où on attend les directives du Président. Djamel Ould Abbès semble cultiver le silence face une « contestation » sur le choix des futurs ministres et même sur la présidence de l'APN. Mais au bout, aucun nom n'est avancé. Du côté du RND, les choses ne sont pas aussi bousculées selon les dernières déclarations de son chef Ahmed Ouyahia. Mais là où une turbulence est entrain de secouer le parti, c'est celui du MSP qui entre dans une crise avérée. Si Abderezak Makri se montre réticent à composer avec le nouveau gouvernement selon la dernière déclaration à un journal privé, il menace de démissionner du conseil du parti, lui,qui est décidé à ne pas faire dans l'entrisme. S'ensuit une guéguerre entre Makri et Soltani autour de cette question. Mais des indiscrétions font état d'un enthousiasme du parti à proposer ces élus pour le nouveau gouvernement. L'autre donnée est celle du président du FC, Abdelmadjid Menasra qui n'est pas contre d'être allié au nouveau gouvernement. Le but de sa campagne était de revenir au gouvernement qu'il a quitté lorsqu'il était membre influent au MSP. Le reste des partis est divisé L'autre camp est, en parallèle, en querelle sur sa participation ou non au prochain gouvernement. Sellal qui joue à fond la carte des consultations veut avoir un deal autour d'un gouvernement hétéroclite selon la dernière recomposition du champ parlementaire. S'il doit rester, le Premier ministre doit impérativement convaincre. Mais certains résistent parfois à cette offre. Le FFS qui n'a pas dit son dernier mot, n'est pas contre un gouvernement de coalition. Mais tout peut changer à la dernière minute pour ceux qui connaissent les coulisses du vieux parti de l'opposition. Quant au RCD, sa participation ou non est tributaire de ce que annoncera officiellement son président dans les prochains jours. Mais on dit que rien n'empêche le parti à y participer. Le PT est quant à lui, sur des esquives. Louisa Hanoune qui a été approchée par le Premier ministre, va-t-elle intégrer ou non le prochain gouvernement ? Pas de réponse claire. Avec ces élus qui se montrent toujours récalcitrants et beaucoup critiques sur le bilan gouvernemental, offrent une piste de non-recevoir. Mais là encore, la décision sera débattue à l'issue de l'installation prochaine de l'Assemblée. Du reste, le parti TAJ et le MPA, eux, ont d'emblée affiché leur participation. Ce qui n'est nullement une surprise pour les observateurs. Au point où certains spéculent sur l'intronisation de Amar Ghoul comme futur Premier ministre. Mais là, ce ne sont que des supputations sur une nomination qui reste délicatement entretenue et particulièrement lorsqu'on sait que ce poste est hautement politique. Dés lors, le gouvernement qui sera constitué prochainement sera-t-il politique ou technocrate ? Cela dépendra de beaucoup de paramètres dont l'état de la crise économique actuelle et des projets qui restent à achever. Mais cela dépend du profil des personnalités qui vont composer le nouveau gouvernement avec leurs jeux d'alliances et d'ententes entre blocs. Il est entendu que le Président de la République est le seul garant de nommer un nouveau gouvernement. Mais avant même l'installation de la nouvelle APN, les partis politiques se livrent à une bataille de communication où chacun veut prendre part dans un gouvernement élargi. Si le FLN qui a obtenu une majorité relative est à l'aise dans ces consultations, tout indique selon une source du parti que « le prochain gouvernement ne se fera pas au détriment du parti en majorité ». L'avantage du FLN réside dans le fait que beaucoup de ses nouveaux élus ne doivent pas céder aux pressions qui consisteraient à réduire leur nombre. Pour l'heure, les rangs se resserrent chez le vieux parti où on attend les directives du Président. Djamel Ould Abbès semble cultiver le silence face une « contestation » sur le choix des futurs ministres et même sur la présidence de l'APN. Mais au bout, aucun nom n'est avancé. Du côté du RND, les choses ne sont pas aussi bousculées selon les dernières déclarations de son chef Ahmed Ouyahia. Mais là où une turbulence est entrain de secouer le parti, c'est celui du MSP qui entre dans une crise avérée. Si Abderezak Makri se montre réticent à composer avec le nouveau gouvernement selon la dernière déclaration à un journal privé, il menace de démissionner du conseil du parti, lui,qui est décidé à ne pas faire dans l'entrisme. S'ensuit une guéguerre entre Makri et Soltani autour de cette question. Mais des indiscrétions font état d'un enthousiasme du parti à proposer ces élus pour le nouveau gouvernement. L'autre donnée est celle du président du FC, Abdelmadjid Menasra qui n'est pas contre d'être allié au nouveau gouvernement. Le but de sa campagne était de revenir au gouvernement qu'il a quitté lorsqu'il était membre influent au MSP. Le reste des partis est divisé L'autre camp est, en parallèle, en querelle sur sa participation ou non au prochain gouvernement. Sellal qui joue à fond la carte des consultations veut avoir un deal autour d'un gouvernement hétéroclite selon la dernière recomposition du champ parlementaire. S'il doit rester, le Premier ministre doit impérativement convaincre. Mais certains résistent parfois à cette offre. Le FFS qui n'a pas dit son dernier mot, n'est pas contre un gouvernement de coalition. Mais tout peut changer à la dernière minute pour ceux qui connaissent les coulisses du vieux parti de l'opposition. Quant au RCD, sa participation ou non est tributaire de ce que annoncera officiellement son président dans les prochains jours. Mais on dit que rien n'empêche le parti à y participer. Le PT est quant à lui, sur des esquives. Louisa Hanoune qui a été approchée par le Premier ministre, va-t-elle intégrer ou non le prochain gouvernement ? Pas de réponse claire. Avec ces élus qui se montrent toujours récalcitrants et beaucoup critiques sur le bilan gouvernemental, offrent une piste de non-recevoir. Mais là encore, la décision sera débattue à l'issue de l'installation prochaine de l'Assemblée. Du reste, le parti TAJ et le MPA, eux, ont d'emblée affiché leur participation. Ce qui n'est nullement une surprise pour les observateurs. Au point où certains spéculent sur l'intronisation de Amar Ghoul comme futur Premier ministre. Mais là, ce ne sont que des supputations sur une nomination qui reste délicatement entretenue et particulièrement lorsqu'on sait que ce poste est hautement politique. Dés lors, le gouvernement qui sera constitué prochainement sera-t-il politique ou technocrate ? Cela dépendra de beaucoup de paramètres dont l'état de la crise économique actuelle et des projets qui restent à achever. Mais cela dépend du profil des personnalités qui vont composer le nouveau gouvernement avec leurs jeux d'alliances et d'ententes entre blocs.