Les rumeurs autour de la présidence vont bon train. Le départ de Larbi Ould Khelifa laisse déjà une guerre intestine sur une nomination qui revêt un caractère éminemment politique. Les rumeurs autour de la présidence vont bon train. Le départ de Larbi Ould Khelifa laisse déjà une guerre intestine sur une nomination qui revêt un caractère éminemment politique. Les spéculations sur cette éventuelle nomination font croire à plusieurs prétendants. Pour le FLN avec ces 161 sièges conserve la majorité, il fera en sorte que ces éléments soient intronisés. On parle dés lors de Ghalia Eddalia qui est actuellement ministre des relations avec le parlement qui a les chances d'occuper le siège de la présidence. Mais cette femme discrète et qui ne se met pas sous les feux de la rampe aurat- elle le soutien des autres partis tels que le RND ? C'est à savoir quand on sait aussi que d'autres noms circulent à savoir le député de Skikda Saïd Bouhadja fraîchement élu et qui a été l'homme de communication au FLN pendant une longue période. On évoque également le nom de Hadj Laib un élu FLN de Batna dont on dit qu'il a des chances à se voir élire pour ce poste. Mais les autres partis ont aussi leur mot à dire. Le parti d'Ouyahia va néanmoins tenter d'imposer un des ces élus qu'il verra le mieux pour présider la 8e législature. On dit que Seddik Chihab, élu d'Alger est l'un des concernés surtout que ce dernier a déjà occupé le poste de viceprésident de l'APN auparavant. Les autres formations tentent également d'introduire un nom de leurs élus. On pense notamment au TAJ et MPA qui vont entamer des tractations pour ce poste. Cela dit, le dernier mot reviendra au Président de la République pour concilier un choix qui reste pour l'heure inconnu. La nomination à ce poste pourrait surprendre tant est l'imbroglio sur cette question. On souhaiterait une personnalité connue et qui fasse l'unanimité des choix. Un futur président de l'Assemblée devra bénéficier d'une aura de sympathie et d'un capital d'expérience politique avéré. Le poste a été toujours perçu comme une nomination hautement politique et toujours issue de la majorité FLN. Les expériences passées l'ont démontré avec Amar Saâdani et Larbi Ould Khelifa. Cela étant, le nom ne sera dévoilé qu'après l'installation de la nouvelle assemblée et la proclamation du nouveau gouvernement. Là également, on suppute et on spécule sur le maintien de Sellal et le départ de 15 ministres de son staff. On dit que les ministres de souveraineté ne seraient pas touchés. Le nouveau gouvernement devra pourvoir les postes restants où il est indiqué qu'un ministre ANR et un autre de TAJ sont inclus dans l'agenda. Amar Ghoul qui compte actuellement 20 élus, pourrait se voir confier un portefeuille. On avance aussi l'idée que le futur gouvernement ne devra pas dépasser les 30 portefeuilles et qu'il ne faudra pas s'attendre à une « révolution » au stade où le plan de réduction des dépenses publiques est toujours en vigueur. Mais rien n'est sûr car à l'évidence, c'est le Chef de l'Etat qui a la prérogative de nommer ou de reconduire un gouvernement ou de l'élargir en fonction de la nouvelle configuration actuelle. Les spéculations sur cette éventuelle nomination font croire à plusieurs prétendants. Pour le FLN avec ces 161 sièges conserve la majorité, il fera en sorte que ces éléments soient intronisés. On parle dés lors de Ghalia Eddalia qui est actuellement ministre des relations avec le parlement qui a les chances d'occuper le siège de la présidence. Mais cette femme discrète et qui ne se met pas sous les feux de la rampe aurat- elle le soutien des autres partis tels que le RND ? C'est à savoir quand on sait aussi que d'autres noms circulent à savoir le député de Skikda Saïd Bouhadja fraîchement élu et qui a été l'homme de communication au FLN pendant une longue période. On évoque également le nom de Hadj Laib un élu FLN de Batna dont on dit qu'il a des chances à se voir élire pour ce poste. Mais les autres partis ont aussi leur mot à dire. Le parti d'Ouyahia va néanmoins tenter d'imposer un des ces élus qu'il verra le mieux pour présider la 8e législature. On dit que Seddik Chihab, élu d'Alger est l'un des concernés surtout que ce dernier a déjà occupé le poste de viceprésident de l'APN auparavant. Les autres formations tentent également d'introduire un nom de leurs élus. On pense notamment au TAJ et MPA qui vont entamer des tractations pour ce poste. Cela dit, le dernier mot reviendra au Président de la République pour concilier un choix qui reste pour l'heure inconnu. La nomination à ce poste pourrait surprendre tant est l'imbroglio sur cette question. On souhaiterait une personnalité connue et qui fasse l'unanimité des choix. Un futur président de l'Assemblée devra bénéficier d'une aura de sympathie et d'un capital d'expérience politique avéré. Le poste a été toujours perçu comme une nomination hautement politique et toujours issue de la majorité FLN. Les expériences passées l'ont démontré avec Amar Saâdani et Larbi Ould Khelifa. Cela étant, le nom ne sera dévoilé qu'après l'installation de la nouvelle assemblée et la proclamation du nouveau gouvernement. Là également, on suppute et on spécule sur le maintien de Sellal et le départ de 15 ministres de son staff. On dit que les ministres de souveraineté ne seraient pas touchés. Le nouveau gouvernement devra pourvoir les postes restants où il est indiqué qu'un ministre ANR et un autre de TAJ sont inclus dans l'agenda. Amar Ghoul qui compte actuellement 20 élus, pourrait se voir confier un portefeuille. On avance aussi l'idée que le futur gouvernement ne devra pas dépasser les 30 portefeuilles et qu'il ne faudra pas s'attendre à une « révolution » au stade où le plan de réduction des dépenses publiques est toujours en vigueur. Mais rien n'est sûr car à l'évidence, c'est le Chef de l'Etat qui a la prérogative de nommer ou de reconduire un gouvernement ou de l'élargir en fonction de la nouvelle configuration actuelle.