Les intoxications alimentaires enregistrent chaque début d'été des milliers de victimes. En moyenne, il y a 5.000 cas durant l'année mais avec la chaleur le risque est doublé. Les intoxications alimentaires enregistrent chaque début d'été des milliers de victimes. En moyenne, il y a 5.000 cas durant l'année mais avec la chaleur le risque est doublé. Une information faisant état de 900 personnes intoxiquées parmi les enseignants a jeté l'émoi au sein des citoyens. La source de cette intoxication serait la consommation de poulet avarié livré par un traiteur qui n'avait pas pris le soin de contrôler la qualité de cet aliment. Il serait fastidieux de recenser des centaines de cas, voire des milliers qui font partie des lots de victimes. Les restaurateurs de fast food, les produits exposés trop longtemps au soleil et les viandes dont l'abattage est suspect sont les indices directs de ce phénomène qui devient récurrent surtout duran l'été. Le pire a été enregistré l'année dernière à Blida avec un bilan de 677 cas suite à la consommation de lait caillé avarié. D'autres cas sont signalés un peu partout où l'on déplore des hospitalisations d'urgence mobilisant ainsi les équipes médicales durant des jours. Signalons que des décès sont enregistrés très rarement mais le fait que des citoyens se retrouvent cloués au lit ou hospitalisés est déjà un signe que toute la qualité de la nourriture servie dans les restaurants et autres - gargotes - est douteuse. Il y a dans ce contexte beaucoup à dire sur les huiles frelatées utilisées par les restaurateurs de tous poils et certains n'hésitent pas à fourguer des plats dont l'hygiène est plus que jamais suspecte. La consommation de sodas et jus non conformes aux normes de la qualité est l'autre source dont sont victimes les consommateurs. En effet, selon des enquêtes du ministèredu Commerce, il a été constaté que le degré d'acidité et de colorant ainsi que les édulcorants (sucre de synthèse)dépassent les normes phytosanitairesfixées par la récente loi entrée en vigueur dès le début de l'année 2017. Les services de répression des fraudes vont devoir séviren cette période envers tous les établissementsde commerce où l'hygiène vient àmanquer, les ingrédients de l'alimentationsont périmés ou de qualité suspecte. Les directions du commerce qui mènent descampagnes de sensibilisation sur ce sujet depuis des mois, vont inscrire cet effortdans la continuité. Sur le site de la direction du commerce d'Alger, les recommandations conseillent d'éviter d'acheter des produits préemballés en veillant à vérifier la date de péremption et les conditions de conservation. Le conseil concerne les produits carnés congelés ou réfrigérées dont la vigilance devra être de mise et d'éviter l'achat des denrées alimentaires exposéessur la voie publique. Tout comme il est recommandé de procéder au nettoyage des ustensiles servant à la cuisson des aliments avec au préalable un lavage courant de tous les fruits ou légumes achetés. Il y a dans ce registre des gestes anodins quipeuvent contribuer à diminuer ou carrémentéviter les intoxications alimentaires résultant parfois aussi de négligence dans la manière de conserver et stocker les aiments chez soi. Une information faisant état de 900 personnes intoxiquées parmi les enseignants a jeté l'émoi au sein des citoyens. La source de cette intoxication serait la consommation de poulet avarié livré par un traiteur qui n'avait pas pris le soin de contrôler la qualité de cet aliment. Il serait fastidieux de recenser des centaines de cas, voire des milliers qui font partie des lots de victimes. Les restaurateurs de fast food, les produits exposés trop longtemps au soleil et les viandes dont l'abattage est suspect sont les indices directs de ce phénomène qui devient récurrent surtout duran l'été. Le pire a été enregistré l'année dernière à Blida avec un bilan de 677 cas suite à la consommation de lait caillé avarié. D'autres cas sont signalés un peu partout où l'on déplore des hospitalisations d'urgence mobilisant ainsi les équipes médicales durant des jours. Signalons que des décès sont enregistrés très rarement mais le fait que des citoyens se retrouvent cloués au lit ou hospitalisés est déjà un signe que toute la qualité de la nourriture servie dans les restaurants et autres - gargotes - est douteuse. Il y a dans ce contexte beaucoup à dire sur les huiles frelatées utilisées par les restaurateurs de tous poils et certains n'hésitent pas à fourguer des plats dont l'hygiène est plus que jamais suspecte. La consommation de sodas et jus non conformes aux normes de la qualité est l'autre source dont sont victimes les consommateurs. En effet, selon des enquêtes du ministèredu Commerce, il a été constaté que le degré d'acidité et de colorant ainsi que les édulcorants (sucre de synthèse)dépassent les normes phytosanitairesfixées par la récente loi entrée en vigueur dès le début de l'année 2017. Les services de répression des fraudes vont devoir séviren cette période envers tous les établissementsde commerce où l'hygiène vient àmanquer, les ingrédients de l'alimentationsont périmés ou de qualité suspecte. Les directions du commerce qui mènent descampagnes de sensibilisation sur ce sujet depuis des mois, vont inscrire cet effortdans la continuité. Sur le site de la direction du commerce d'Alger, les recommandations conseillent d'éviter d'acheter des produits préemballés en veillant à vérifier la date de péremption et les conditions de conservation. Le conseil concerne les produits carnés congelés ou réfrigérées dont la vigilance devra être de mise et d'éviter l'achat des denrées alimentaires exposéessur la voie publique. Tout comme il est recommandé de procéder au nettoyage des ustensiles servant à la cuisson des aliments avec au préalable un lavage courant de tous les fruits ou légumes achetés. Il y a dans ce registre des gestes anodins quipeuvent contribuer à diminuer ou carrémentéviter les intoxications alimentaires résultant parfois aussi de négligence dans la manière de conserver et stocker les aiments chez soi.