Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a rompu le silence ce vendredi en s'exprimant sur la situation socio-politique du pays à l'occasion de la tenue de l'Université d'été de la jeunesse libre du parti à Souk el- Thenine dans la wilaya de Béjaïa. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a rompu le silence ce vendredi en s'exprimant sur la situation socio-politique du pays à l'occasion de la tenue de l'Université d'été de la jeunesse libre du parti à Souk el- Thenine dans la wilaya de Béjaïa. Dans son allocution d'ouverture, le président du RCD, Mohcine Belabbas a qualifié la situation prévalant dans les plus "hautes sphères de l'Etat de cacophonie" marquée par une "relance médiatique de l'application de l'article 102 de la nouvelle Constitution ; une disposition légale qui peut permettre au Conseil constitutionnel d'initier un processus d'empêchement du chef de l'Etat. C'est l'équivalent de l'article 88 de l'ancienne constitution."Pour lui, l'Algérie vit une situation de"blocage historique à cause de la dilapidationde son potentiel symboliquehérité des luttes victorieuses de notrepeuple".Abordant la santé du chef de l'Etat, il arappelé que "lors de mon allocutiond'ouverture au conseil national dedécembre 2012, j'avais indiqué que sonétat de santé, qui n'est pas pour l'excuser,le rend incapable de gouverner etsa destitution, en vertu de l'article 88 dela Constitution, est une urgence si onveut freiner la précipitation et l'aggravationde la crise institutionnelle et politique. "Pour le président du RCD, "la régressiondes libertés ne cesse de s'aggraverdepuis le viol de la Constitution en 2008. La répression opposée à l'actionassociative est désormais assumée auplus haut niveau de l'Etat et à traversson nouveau plan d'action, le gouvernementcherche à rendre systématique lerefus d'autorisation aux manifestationspubliques par la caution d'une majorité parlementaire aux ordres." Dans son allocution d'ouverture, le président du RCD, Mohcine Belabbas a qualifié la situation prévalant dans les plus "hautes sphères de l'Etat de cacophonie" marquée par une "relance médiatique de l'application de l'article 102 de la nouvelle Constitution ; une disposition légale qui peut permettre au Conseil constitutionnel d'initier un processus d'empêchement du chef de l'Etat. C'est l'équivalent de l'article 88 de l'ancienne constitution."Pour lui, l'Algérie vit une situation de"blocage historique à cause de la dilapidationde son potentiel symboliquehérité des luttes victorieuses de notrepeuple".Abordant la santé du chef de l'Etat, il arappelé que "lors de mon allocutiond'ouverture au conseil national dedécembre 2012, j'avais indiqué que sonétat de santé, qui n'est pas pour l'excuser,le rend incapable de gouverner etsa destitution, en vertu de l'article 88 dela Constitution, est une urgence si onveut freiner la précipitation et l'aggravationde la crise institutionnelle et politique. "Pour le président du RCD, "la régressiondes libertés ne cesse de s'aggraverdepuis le viol de la Constitution en 2008. La répression opposée à l'actionassociative est désormais assumée auplus haut niveau de l'Etat et à traversson nouveau plan d'action, le gouvernementcherche à rendre systématique lerefus d'autorisation aux manifestationspubliques par la caution d'une majorité parlementaire aux ordres."