Le second tour de la présidentielle malienne opposera, dimanche 12août, le président sortant, IbrahimBoubacar Keïta au chef de file de l'opposition,Soumaïla Cissé. Le second tour de la présidentielle malienne opposera, dimanche 12août, le président sortant, IbrahimBoubacar Keïta au chef de file de l'opposition,Soumaïla Cissé. Mais lesrésultats sont loin de faire l'unanimitédans le pays. Plusieurs candidats ont déposé des recours auprès de la Courconstitutionnelle. Signe de ce climat de défiance, 18 candidats de l'opposition ou leurs représentants ont réuni la presse ce lundi 6 août. "Un coup d'Etat électoral", c'est l'expressionqui a été utilisée au cours de la conférence de presse à Bamako. Lediscours se durcit parce que les18candidats ou leurs représentants ontégalement appelé à la démission duministre malien de l'Administrationterritoriale et de la décentralisation,Mohamed Ag Erlaf, principal organisateurdu scrutin. Un scrutin qu'ils qualifient également de "mascarade". Mais lesrésultats sont loin de faire l'unanimitédans le pays. Plusieurs candidats ont déposé des recours auprès de la Courconstitutionnelle. Signe de ce climat de défiance, 18 candidats de l'opposition ou leurs représentants ont réuni la presse ce lundi 6 août. "Un coup d'Etat électoral", c'est l'expressionqui a été utilisée au cours de la conférence de presse à Bamako. Lediscours se durcit parce que les18candidats ou leurs représentants ontégalement appelé à la démission duministre malien de l'Administrationterritoriale et de la décentralisation,Mohamed Ag Erlaf, principal organisateurdu scrutin. Un scrutin qu'ils qualifient également de "mascarade".