Le directeur général de la sécurité sociale au ministèredu Travail, de l'Emploi et de laSécurité sociale, DjaouadBourkaib, a annoncé, àAlger,la mise à contribution deslaboratoires pharmaceutiquesfabricants des médicamentsinnovants coûteux et destinésaux patients atteints depathologies chroniques, danslesystème de remboursementappliqué par les deux caissesde sécurité sociale Le directeur général de la sécurité sociale au ministèredu Travail, de l'Emploi et de laSécurité sociale, DjaouadBourkaib, a annoncé, àAlger,la mise à contribution deslaboratoires pharmaceutiquesfabricants des médicamentsinnovants coûteux et destinésaux patients atteints depathologies chroniques, danslesystème de remboursementappliqué par les deux caissesde sécurité sociale affirmé que, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale "s'employaità l'élaboration de textes d'application,en vue de la conclusion de contrats deperformance, au cours de l'année 2019,avec les laboratoires pharmaceutiques producteurs des médicaments innovants coûteuxqui ciblent les pathologies chroniqueset ce, en vue de faire contribuer ces mêmeslaboratoires, au système de remboursementappliqué par les deux caisses de sécuritésociale, à savoir, la CNAS (Caissenationale des assurances sociales des travailleurs salariés) et la CASNOS(Caissenationale des non-salariés)".Le même responsable a précisé, dans cecontexte, que ces remboursements serontsoumis "aux dispositifs de contrôle et desuivi, des patients qui bénéficieront de cesmédicaments innovants coûteux pris encharge, au début, par les caisses de sécuritésociale et qui, par la suite, seront rembourséspar les laboratoires pharmaceutiquesfabricants de ces médicaments, qui s'acquitterontde cette mission". En cas de non efficacité avérée de ces médicaments ou d'apparition de quelquessymptômesindésirables nuisibles à la santé dupatient, ou d'arrêt de ces médicaments parle patient pour d'autres raisons, leslaboratoires pharmaceutiques mondiaux fabricantsde ces médicaments s'engagent,selon Dr.Bourkaib, "à reverser aux deuxcaisses de sécurité sociale, la CNAS et laCASNOS, le remboursement des médicamentspris par le patient".Le Dr. Bourkaib a misen relief, l'importance de cette opération qui contribuera à"faire bénéficier les patients atteints demaladies chroniques, desmédicamentsinnovants coûteux, d'une part, et de rationaliser les dépensesdesCaissesnationalesde la sécurité sociale, de préserver leurpérennité et de se mettre au diapason desprogrès scientifiques accomplis, de par lemonde, en matière de fourniture de meilleurstypes de traitement, d'autre part".Le Directeur général a également annoncé,la conclusion d'un contrat de performance avant la fin de l'année 2018, avec un laboratoire qui s'est engagé à reverser une partie des médicaments innovants coûteuxremboursés,aux caisses de sécurité sociale, touten réduisant le tarif de cesmédicaments. A ce titre, le Dr. Bourkaibn'a pas fournide détails précis, concernant cette opération qui sera lancée avec plusieurs laboratoires,au cours de l'année 2019.Le mêmeresponsable a ajouté, dans cecadre, que les médicaments innovants coûteux,"n'avaient pas été inclus dans la listedes médicaments remboursables parlescaisses de sécurité sociale", relevant à cet égard, que l'opération inhérente àleur remboursement,a été déjà entamée, à traversdes contrats de performance, dans les paysdéveloppés. De son côté, le président de la Fédération algérienne de pharmacie, le Pr.RedaDidjik, a mis en exergue, lors du 3ème Congrès national de la Fédération, qui est organisé autour du thème "laresponsabilitédu pharmacien pour une meilleuresanté", le rôle du pharmacien, en tant que"maillonessentiel", faisant partie de lachaîne thérapeutique, parmi les deux systèmes,desécurité sociale et de la santé.Le président de la Fédération a mis enavant, la nécessité d'aborder le sujet del'inclusion des médicaments innovants coûteux, et de débattre des expériences despays qui ont procédé à l'application decette opération.Le Pr. Didjik, qui est également chefdeservice du laboratoire auCentrehospitalouniversitaire(CHU) Issaad Hassani deBéni Messous àAlger, a mis l'accent, d'autrepart, sur le rôle du pharmacien et sacontribution dans l'opération de vaccination,à l'image de ce qui se fait dans lespays européens et ce, après que le pharmaciennait bénéficié d'une formation, dans lecadre de sa carrière scientifique au sein desFacultés nationales de médecine, ainsi quesa responsabilité dans la recherche clinique, l'éducation sanitaire concernant lespatients atteints des maladies chroniques.Pour ce qui est du rôle du pharmacien au titre de la nouvelle loi sanitaire, le mêmespécialiste a indiqué qu'ilseradéterminéavec précision, à travers la promulgationdes textes d'application y afférents, notamment en ce qui a trait au bonnespratiques de cette profession, qui contribue, dans unelarge mesure, à la santé publique. affirmé que, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale "s'employaità l'élaboration de textes d'application,en vue de la conclusion de contrats deperformance, au cours de l'année 2019,avec les laboratoires pharmaceutiques producteurs des médicaments innovants coûteuxqui ciblent les pathologies chroniqueset ce, en vue de faire contribuer ces mêmeslaboratoires, au système de remboursementappliqué par les deux caisses de sécuritésociale, à savoir, la CNAS (Caissenationale des assurances sociales des travailleurs salariés) et la CASNOS(Caissenationale des non-salariés)".Le même responsable a précisé, dans cecontexte, que ces remboursements serontsoumis "aux dispositifs de contrôle et desuivi, des patients qui bénéficieront de cesmédicaments innovants coûteux pris encharge, au début, par les caisses de sécuritésociale et qui, par la suite, seront rembourséspar les laboratoires pharmaceutiquesfabricants de ces médicaments, qui s'acquitterontde cette mission". En cas de non efficacité avérée de ces médicaments ou d'apparition de quelquessymptômesindésirables nuisibles à la santé dupatient, ou d'arrêt de ces médicaments parle patient pour d'autres raisons, leslaboratoires pharmaceutiques mondiaux fabricantsde ces médicaments s'engagent,selon Dr.Bourkaib, "à reverser aux deuxcaisses de sécurité sociale, la CNAS et laCASNOS, le remboursement des médicamentspris par le patient".Le Dr. Bourkaib a misen relief, l'importance de cette opération qui contribuera à"faire bénéficier les patients atteints demaladies chroniques, desmédicamentsinnovants coûteux, d'une part, et de rationaliser les dépensesdesCaissesnationalesde la sécurité sociale, de préserver leurpérennité et de se mettre au diapason desprogrès scientifiques accomplis, de par lemonde, en matière de fourniture de meilleurstypes de traitement, d'autre part".Le Directeur général a également annoncé,la conclusion d'un contrat de performance avant la fin de l'année 2018, avec un laboratoire qui s'est engagé à reverser une partie des médicaments innovants coûteuxremboursés,aux caisses de sécurité sociale, touten réduisant le tarif de cesmédicaments. A ce titre, le Dr. Bourkaibn'a pas fournide détails précis, concernant cette opération qui sera lancée avec plusieurs laboratoires,au cours de l'année 2019.Le mêmeresponsable a ajouté, dans cecadre, que les médicaments innovants coûteux,"n'avaient pas été inclus dans la listedes médicaments remboursables parlescaisses de sécurité sociale", relevant à cet égard, que l'opération inhérente àleur remboursement,a été déjà entamée, à traversdes contrats de performance, dans les paysdéveloppés. De son côté, le président de la Fédération algérienne de pharmacie, le Pr.RedaDidjik, a mis en exergue, lors du 3ème Congrès national de la Fédération, qui est organisé autour du thème "laresponsabilitédu pharmacien pour une meilleuresanté", le rôle du pharmacien, en tant que"maillonessentiel", faisant partie de lachaîne thérapeutique, parmi les deux systèmes,desécurité sociale et de la santé.Le président de la Fédération a mis enavant, la nécessité d'aborder le sujet del'inclusion des médicaments innovants coûteux, et de débattre des expériences despays qui ont procédé à l'application decette opération.Le Pr. Didjik, qui est également chefdeservice du laboratoire auCentrehospitalouniversitaire(CHU) Issaad Hassani deBéni Messous àAlger, a mis l'accent, d'autrepart, sur le rôle du pharmacien et sacontribution dans l'opération de vaccination,à l'image de ce qui se fait dans lespays européens et ce, après que le pharmaciennait bénéficié d'une formation, dans lecadre de sa carrière scientifique au sein desFacultés nationales de médecine, ainsi quesa responsabilité dans la recherche clinique, l'éducation sanitaire concernant lespatients atteints des maladies chroniques.Pour ce qui est du rôle du pharmacien au titre de la nouvelle loi sanitaire, le mêmespécialiste a indiqué qu'ilseradéterminéavec précision, à travers la promulgationdes textes d'application y afférents, notamment en ce qui a trait au bonnespratiques de cette profession, qui contribue, dans unelarge mesure, à la santé publique.