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Un taux de suivi de 57,56%
Greve dans l'education nationale
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 01 - 2019

Finalement comme prévu, le secteur de l'Education nationale a été secoué par une grève d'une journée. La coordination des syndicats du secteur a mis à exécution son préavis de grève et ce, malgré les pressionsdu ministère de l‘Education
Finalement comme prévu, le secteur de l'Education nationale a été secoué par une grève d'une journée. La coordination des syndicats du secteur a mis à exécution son préavis de grève et ce, malgré les pressionsdu ministère de l‘Education
nationale qui atout fait pour briser ce mouvement de protestation.Et c'est sans doute pour cetteraison, que le taux de suivi n'a pas étémassif. En effet, selon le communiqué dela coordination, il a été de 57,56%, soitloin des taux enregistrés lors des dernièresgrèves et qui frôlait souvent les 80%.Mais malgré cela, la coordination n'a paspu s'empêcher d'afficher son satisfecit. Selon le communiqué,
ce taux de suivivarie d'une wilaya à une autre, et c'estainsi que le pus fort taux, avec 78%, a étéenregistré à Alger ouest. Pour les grévistes,ce résultat a été enregistré malgré"la terrible campagne qui a précédée cetteaction de protestation, à travers laquellel'administration et le ministère del'Education ont essayé de briser la grève,avec tous les moyens et ce, en utilisant lesmoyens de persuasion et de peur et la propagationde fausses
informations".Seulement, la famille de l'éducation arépondu avec force à ces manouvres, euégard à la légitimité de ses revendications,énoncées dans le préavis de grève. Cettegrève a été initiée par six syndicats del'Education nationale. Il s'agit en effet, du Cnapeste, du snapest, l'UNpef, le Satef, le Cela et le SNTE. Il semble qu'à la dernière minute, le Snapest a fait faux bond à sespartenaires, puisque il n'a pas participé àce mouvement de grève. Les syndicats revendiquent l'ouverture d'un dialoguesérieux avec la tutelle, la reforme du statut particulier des travailleurs de l'Education, le dossier des oeuvres sociales etant lui aussi remis sur la table, le pouvoir d'achat, ainsi que les libertés syndicales. Les syndicats n'ont eu de cesse d'accuser le ministère, d'entraver les libertés syndcales.
Le harcèlement des syndicalistes est devenu monnaie courante, et les syndicats ont initié plusieurs mouvements de protestation,pour dénoncer ces pratiques. Notons que, ce mouvement de grève est intervenu après que l'intersyndicale ait décidé de se retirer en décembre dernier, de la charte d'éthique signée il y'a trois ans et qui a permis durant cette période, d'assurer au secteur une certaine stabilité. Les syndicats ont annoncé également, le boycot de toutes les rencontres officielles organisées par la tutelle, aux niveaux national et local.
Cette décision extrême a été prise pour protester contre le mode de gouvernance du secteur, adopté par la tutelle qui, selon un communiqué des syndicats, n'a pas respecté ses engagements. Notons que le ministère a ouvert un dialogue avec les syndicats, mais sans parvenir à un résultat."Les réponses du ministère ont étésuperficielles, notamment en ce qui concerne les dossiers pédagogiques et socio-professionnels. Les responsables duministère se sont contentés de promesses, et n'ont fourni aucun calendrier pour les concrétiser", explique l'Intersyndicale, suite au dialogue de dernière minute. Lessyndicats grevistes ont prévu de tenir des sit-in aujourd'hui, devant les directions de l'Education nationale de wilayas
nationale qui atout fait pour briser ce mouvement de protestation.Et c'est sans doute pour cetteraison, que le taux de suivi n'a pas étémassif. En effet, selon le communiqué dela coordination, il a été de 57,56%, soitloin des taux enregistrés lors des dernièresgrèves et qui frôlait souvent les 80%.Mais malgré cela, la coordination n'a paspu s'empêcher d'afficher son satisfecit. Selon le communiqué,
ce taux de suivivarie d'une wilaya à une autre, et c'estainsi que le pus fort taux, avec 78%, a étéenregistré à Alger ouest. Pour les grévistes,ce résultat a été enregistré malgré"la terrible campagne qui a précédée cetteaction de protestation, à travers laquellel'administration et le ministère del'Education ont essayé de briser la grève,avec tous les moyens et ce, en utilisant lesmoyens de persuasion et de peur et la propagationde fausses
informations".Seulement, la famille de l'éducation arépondu avec force à ces manouvres, euégard à la légitimité de ses revendications,énoncées dans le préavis de grève. Cettegrève a été initiée par six syndicats del'Education nationale. Il s'agit en effet, du Cnapeste, du snapest, l'UNpef, le Satef, le Cela et le SNTE. Il semble qu'à la dernière minute, le Snapest a fait faux bond à sespartenaires, puisque il n'a pas participé àce mouvement de grève. Les syndicats revendiquent l'ouverture d'un dialoguesérieux avec la tutelle, la reforme du statut particulier des travailleurs de l'Education, le dossier des oeuvres sociales etant lui aussi remis sur la table, le pouvoir d'achat, ainsi que les libertés syndicales. Les syndicats n'ont eu de cesse d'accuser le ministère, d'entraver les libertés syndcales.
Le harcèlement des syndicalistes est devenu monnaie courante, et les syndicats ont initié plusieurs mouvements de protestation,pour dénoncer ces pratiques. Notons que, ce mouvement de grève est intervenu après que l'intersyndicale ait décidé de se retirer en décembre dernier, de la charte d'éthique signée il y'a trois ans et qui a permis durant cette période, d'assurer au secteur une certaine stabilité. Les syndicats ont annoncé également, le boycot de toutes les rencontres officielles organisées par la tutelle, aux niveaux national et local.
Cette décision extrême a été prise pour protester contre le mode de gouvernance du secteur, adopté par la tutelle qui, selon un communiqué des syndicats, n'a pas respecté ses engagements. Notons que le ministère a ouvert un dialogue avec les syndicats, mais sans parvenir à un résultat."Les réponses du ministère ont étésuperficielles, notamment en ce qui concerne les dossiers pédagogiques et socio-professionnels. Les responsables duministère se sont contentés de promesses, et n'ont fourni aucun calendrier pour les concrétiser", explique l'Intersyndicale, suite au dialogue de dernière minute. Lessyndicats grevistes ont prévu de tenir des sit-in aujourd'hui, devant les directions de l'Education nationale de wilayas


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