Les syndicats de l'Education qui n'ont cessé de protester depuis le début de l'année comptent maintenir leurmouvement de grève, en un délai jusqu'à la mi-février pour la ministre de l'Education. Un délai suffisant pour transmettre leurs doléances au gouvernement. Les syndicats de l'Education qui n'ont cessé de protester depuis le début de l'année comptent maintenir leurmouvement de grève, en un délai jusqu'à la mi-février pour la ministre de l'Education. Un délai suffisant pour transmettre leurs doléances au gouvernement. Le dialogue se casse entre la ministre et les 6 syndicats de l'éducation, avec unspectre de grève qui menace de planerà l'horizon. L'intersyndicale fait savoir denouveau, que "la ministre de l'Educationdoit adopter un dialogue sérieux sur tousles dossiers transmis à son instance avecdes réponses claires". Parmi les points exigés,l'intersyndicale souligne la nécessité"de la reclassification des corps communs,la prime de zone pour les enseignantsrecrutés avant juin 2012, et le maintien dela retraite sans conditions d'âge, ainsi quela promotion des professeurs formateurs".Ces dossiers qui traînent, selon une sourcede l'intersyndicale, n'ont pas trouvé une issue depuis des années alors que la ministreavait promis de faire mieux pour lesrégler. Cette dernière, qui a réussi momentanémentaux partenaires sociaux à surseoirà leur grève durant ce mois, évoquedans sa dernière déclaration à une chaîne deTV privée, que "son département oeuvre àun dialogue, selon un protocole établi parles deux parties". Réponse non convaincantepour les syndicats qui veulent inscrireleurs doléances au-delà du cadre socioprofessionnel.Les 6 syndicats veulent eneffet, que d'autres points pédagogiquessoient traités dans l'ensemble des revendications.Il s'agit entre autres, de la"l'amélioration du contenu pédagogiquepour le cycle primaire, la promotion de laqualité de la formation et la réduction des volumes horaires, pour les enseignants à tous les paliers". Les syndicalistes, qui veulent rompre avec l'aspect revendicatif corporatiste, veulent inscrire les soucis de l'école comme un enjeu principal, dans un contexte politique où l'Institution éducative traverse sa pire crise. Au moment même où le gouvernement est préoccupé par le contexte électoral, la ministre del'Education exhorte les syndicats à prendre en considération cet aspect, sans renier à un dialogue qui se fera dans les prochainsjours. Mais, pour les partenaires sociaux, c'est maintenant le tout ou rien. Une position qui se radicalise de plus en plus, suite aux promesses non tenues depuis au moins un an. Et suite à laquelle, les syndicats ont failli paralyser l'école, en optant pour la grève illimitée, et menaçant même de la reconduire pendant les périodes de scolaires. Une telle option n'est à écarter, si le gouvernement resteaphone à l'endroit de la corporation éducative. Il est à craindre qu'ellesoit autantet déborde de son cadre, alors quele gouvernement tient à valider la paix sociale comme approche, pour solutionnerles problèmes Le dialogue se casse entre la ministre et les 6 syndicats de l'éducation, avec unspectre de grève qui menace de planerà l'horizon. L'intersyndicale fait savoir denouveau, que "la ministre de l'Educationdoit adopter un dialogue sérieux sur tousles dossiers transmis à son instance avecdes réponses claires". Parmi les points exigés,l'intersyndicale souligne la nécessité"de la reclassification des corps communs,la prime de zone pour les enseignantsrecrutés avant juin 2012, et le maintien dela retraite sans conditions d'âge, ainsi quela promotion des professeurs formateurs".Ces dossiers qui traînent, selon une sourcede l'intersyndicale, n'ont pas trouvé une issue depuis des années alors que la ministreavait promis de faire mieux pour lesrégler. Cette dernière, qui a réussi momentanémentaux partenaires sociaux à surseoirà leur grève durant ce mois, évoquedans sa dernière déclaration à une chaîne deTV privée, que "son département oeuvre àun dialogue, selon un protocole établi parles deux parties". Réponse non convaincantepour les syndicats qui veulent inscrireleurs doléances au-delà du cadre socioprofessionnel.Les 6 syndicats veulent eneffet, que d'autres points pédagogiquessoient traités dans l'ensemble des revendications.Il s'agit entre autres, de la"l'amélioration du contenu pédagogiquepour le cycle primaire, la promotion de laqualité de la formation et la réduction des volumes horaires, pour les enseignants à tous les paliers". Les syndicalistes, qui veulent rompre avec l'aspect revendicatif corporatiste, veulent inscrire les soucis de l'école comme un enjeu principal, dans un contexte politique où l'Institution éducative traverse sa pire crise. Au moment même où le gouvernement est préoccupé par le contexte électoral, la ministre del'Education exhorte les syndicats à prendre en considération cet aspect, sans renier à un dialogue qui se fera dans les prochainsjours. Mais, pour les partenaires sociaux, c'est maintenant le tout ou rien. Une position qui se radicalise de plus en plus, suite aux promesses non tenues depuis au moins un an. Et suite à laquelle, les syndicats ont failli paralyser l'école, en optant pour la grève illimitée, et menaçant même de la reconduire pendant les périodes de scolaires. Une telle option n'est à écarter, si le gouvernement resteaphone à l'endroit de la corporation éducative. Il est à craindre qu'ellesoit autantet déborde de son cadre, alors quele gouvernement tient à valider la paix sociale comme approche, pour solutionnerles problèmes