Rien ne va plus au Front des forces socialistes (FFS). Le plus vieux parti de l'opposition n'arrive pas à connaître de stabilité. Rien ne va plus au Front des forces socialistes (FFS). Le plus vieux parti de l'opposition n'arrive pas à connaître de stabilité. En effet, de crise en crise, le parti cher au Zaïm peine à trouver une certainequiétude. Ainsi, le FFS est de nouveausecoué par une nouvelle crise interne ! Après des limogeages en cascade, cettefois-ci, c'est le premier secrétaire national,en l'occurrence, Mohamed Djilani,qui vient d'être démis de ses fonctions, aindiqué un communiqué du parti. En effet,"l'Instance présidentielle en date du 8mars 2019, a mis fin aux fonctions dupremier secrétaire national MohamedHadjDjilani et nomme le camarade MehanniHaddadou premier secrétaire national parintérim", précise la même source. Pourdésigner un nouveau premier secrétaire,l'instance présidentielle va se réunir dansles plus brefs délais. Aussi, un conseilnational va se tenir dans un délai nedépassant pas 1 mois, conclut le mêmedocument. Ce changement intervient enpleine crise que traverse le pays.D'ailleurs, des affrontements se sont produitsau niveau du siège national, entreles partisans d'Ali Laskri et ceux qui sontcontre lui. Il est à souligner que le groupeparlementaire du parti a rejeté la décision"unilatérale" d'Ali Laskri de retirer les députés de l'APN sans même les consulter. Que se passe-t-il donc au sein du plus vieux parti d'opposition ? Depuis son dernier congrès extraordinaire, ce parti a connu des mutations et des changements en profondeur dont les militants de la basene savent plus ce qui se passe dans les hautes sphères et peinent à saisir la portée. Le FFS, certes, n'est pas défunt, mais affronte une énième crise interne qui risque de lui en coûter encore. Une pédagogie de la tension neutralise l'appareil. Dans cette ambiance de purges et de coupsbas, la vulgate partisane serait encline à évoquer un travail de sape mené par "la police politique", comme à chaque foisque le parti a vu sa direction se déchirerentre clans dont les contours, les ambitionset les intérêts n'ont pas toujours été clairs. Mais une chose est claire : le dernier congrès extraordinaire a redistribuéles cartes au sein de la direction du parti… A qui profite cette situation ? En effet, de crise en crise, le parti cher au Zaïm peine à trouver une certainequiétude. Ainsi, le FFS est de nouveausecoué par une nouvelle crise interne ! Après des limogeages en cascade, cettefois-ci, c'est le premier secrétaire national,en l'occurrence, Mohamed Djilani,qui vient d'être démis de ses fonctions, aindiqué un communiqué du parti. En effet,"l'Instance présidentielle en date du 8mars 2019, a mis fin aux fonctions dupremier secrétaire national MohamedHadjDjilani et nomme le camarade MehanniHaddadou premier secrétaire national parintérim", précise la même source. Pourdésigner un nouveau premier secrétaire,l'instance présidentielle va se réunir dansles plus brefs délais. Aussi, un conseilnational va se tenir dans un délai nedépassant pas 1 mois, conclut le mêmedocument. Ce changement intervient enpleine crise que traverse le pays.D'ailleurs, des affrontements se sont produitsau niveau du siège national, entreles partisans d'Ali Laskri et ceux qui sontcontre lui. Il est à souligner que le groupeparlementaire du parti a rejeté la décision"unilatérale" d'Ali Laskri de retirer les députés de l'APN sans même les consulter. Que se passe-t-il donc au sein du plus vieux parti d'opposition ? Depuis son dernier congrès extraordinaire, ce parti a connu des mutations et des changements en profondeur dont les militants de la basene savent plus ce qui se passe dans les hautes sphères et peinent à saisir la portée. Le FFS, certes, n'est pas défunt, mais affronte une énième crise interne qui risque de lui en coûter encore. Une pédagogie de la tension neutralise l'appareil. Dans cette ambiance de purges et de coupsbas, la vulgate partisane serait encline à évoquer un travail de sape mené par "la police politique", comme à chaque foisque le parti a vu sa direction se déchirerentre clans dont les contours, les ambitionset les intérêts n'ont pas toujours été clairs. Mais une chose est claire : le dernier congrès extraordinaire a redistribuéles cartes au sein de la direction du parti… A qui profite cette situation ?