La facture globale des importations des produits alimentaires a connu une baisse deprès de 14% en janvier 2019, tirée essentiellementpar le sucre, le lait, les légumes secset les céréales, La facture globale des importations des produits alimentaires a connu une baisse deprès de 14% en janvier 2019, tirée essentiellementpar le sucre, le lait, les légumes secset les céréales, a appris l'APS auprès desDouanes algériennes. La facture globaled'importation du Groupe des produits alimentairesa atteint 733 millions de dollars(usd) en janvier 2019 contre 851 millionsusd en janvier 2018, en baisse de 118 millionsusd (-13,87%), précise le Centrenational des transmissions et du systèmed'information des Douanes (CNTSID). Parcatégories de produits, la facture d'importationdes céréales-semoule-farine a reculé à250,5 millions usd en janvier 2019 contre265,6 millions usd en janvier 2018 (-5,7%). Le lait et les produits laitiers ont étéimportés pour 130,03 millions usd contre154,76 millions usd (-16%). Concernant les sucres et sucreries, ils ontété importés pour 61,07 millions usdcontre114,67 millions usd (-46,74%).Les légumes secs ont été importés pour47,5 millions usd contre 56,66 millions usd (-16,2%).Par contre, les importationsdu café-thé ont augmenté à 33,74 millionsusd contre 29,52 millions usd (+14,3%).Les importations des viandes ont égalementgrimpé à 18,53 millions usd contre 6,7millions usd (+178%). Ces six (6) principauxproduits alimentaires ont ainsi été importés pour un montant de 541,35 millions usd contre 627,88 millions usd (- 13,8%). En plus de ces six (6) principaux produits, le reste des biens alimentaires ont été importés pour 191,65 millions usd contre 223,12 millions (-14,1%). Concernant les huiles destinées à l'industrie alimentaire (classées dans le Groupe des biens destinés au fonctionnement de l'outil de production), leurs importations ontconnu une hausse en s'établissant à 63 millions usd en janvier 2019 contre 43 millions usdau mêmemois de 2018 (+46,6%). Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l'industrie alimentaire s'est chiffrée à 796 millions usd en janvier 2019 contre 894 millions usd en janvier 2018, en baisse de 98 millions usd (-11%). ce qui concerne les médicaments (classés dans le Groupe des biens de consommation non alimentaires), leur facture d'importation a enregistré une baisse en s'établissant à 59,93 millions en janvier 2019 contre 133,44 millions usd en janvier 2018, en baisse de 73,51 millions usd (-55,1 %). Pour rappel,de nouveaux mécanismes d'encadrement des importations de marchandises, dont des produits alimentaires (hors produits alimentaires stratégiques), avaient été mis en place dès le début de l'année 2018 dans le but de réduire le déficit commercial et de promouvoir la production nationale.Dans une première phase, il avait ainsi été décidé de la suspension provisoire d'importationde plus de 800 produits et l'instauration de mesures à caractère tarifaire prévues par les dispositions de la loi de finances pour 2018, à travers l'élargissement de la liste des marchandises soumises à la Taxe intérieure de consommation (TIC) au taux de 30 % et le relèvement des droits de douane pour des produits alimentaires. Par la suite, cette suspension provisoire a été levée pour être remplacée par l'instauration du Droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS), prévu par la loi de finances complémentaire 2018, quiest fixé entre 30 % et 200 % de la valeur la marchandise importée. Son décret exécutif, promulgué en janvier 2019, a fixé la liste des marchandises concernées(1.095 produits) qui peuvent être importéesmais qui sont soumises au DAPS. a appris l'APS auprès desDouanes algériennes. La facture globaled'importation du Groupe des produits alimentairesa atteint 733 millions de dollars(usd) en janvier 2019 contre 851 millionsusd en janvier 2018, en baisse de 118 millionsusd (-13,87%), précise le Centrenational des transmissions et du systèmed'information des Douanes (CNTSID). Parcatégories de produits, la facture d'importationdes céréales-semoule-farine a reculé à250,5 millions usd en janvier 2019 contre265,6 millions usd en janvier 2018 (-5,7%). Le lait et les produits laitiers ont étéimportés pour 130,03 millions usd contre154,76 millions usd (-16%). Concernant les sucres et sucreries, ils ontété importés pour 61,07 millions usdcontre114,67 millions usd (-46,74%).Les légumes secs ont été importés pour47,5 millions usd contre 56,66 millions usd (-16,2%).Par contre, les importationsdu café-thé ont augmenté à 33,74 millionsusd contre 29,52 millions usd (+14,3%).Les importations des viandes ont égalementgrimpé à 18,53 millions usd contre 6,7millions usd (+178%). Ces six (6) principauxproduits alimentaires ont ainsi été importés pour un montant de 541,35 millions usd contre 627,88 millions usd (- 13,8%). En plus de ces six (6) principaux produits, le reste des biens alimentaires ont été importés pour 191,65 millions usd contre 223,12 millions (-14,1%). Concernant les huiles destinées à l'industrie alimentaire (classées dans le Groupe des biens destinés au fonctionnement de l'outil de production), leurs importations ontconnu une hausse en s'établissant à 63 millions usd en janvier 2019 contre 43 millions usdau mêmemois de 2018 (+46,6%). Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l'industrie alimentaire s'est chiffrée à 796 millions usd en janvier 2019 contre 894 millions usd en janvier 2018, en baisse de 98 millions usd (-11%). ce qui concerne les médicaments (classés dans le Groupe des biens de consommation non alimentaires), leur facture d'importation a enregistré une baisse en s'établissant à 59,93 millions en janvier 2019 contre 133,44 millions usd en janvier 2018, en baisse de 73,51 millions usd (-55,1 %). Pour rappel,de nouveaux mécanismes d'encadrement des importations de marchandises, dont des produits alimentaires (hors produits alimentaires stratégiques), avaient été mis en place dès le début de l'année 2018 dans le but de réduire le déficit commercial et de promouvoir la production nationale.Dans une première phase, il avait ainsi été décidé de la suspension provisoire d'importationde plus de 800 produits et l'instauration de mesures à caractère tarifaire prévues par les dispositions de la loi de finances pour 2018, à travers l'élargissement de la liste des marchandises soumises à la Taxe intérieure de consommation (TIC) au taux de 30 % et le relèvement des droits de douane pour des produits alimentaires. Par la suite, cette suspension provisoire a été levée pour être remplacée par l'instauration du Droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS), prévu par la loi de finances complémentaire 2018, quiest fixé entre 30 % et 200 % de la valeur la marchandise importée. Son décret exécutif, promulgué en janvier 2019, a fixé la liste des marchandises concernées(1.095 produits) qui peuvent être importéesmais qui sont soumises au DAPS.