Alger était sous le choc, hier! Un premier bilan vient de tomber, suite àl'incroyable effondrement d'un immeuble de quatre étages, Alger était sous le choc, hier! Un premier bilan vient de tomber, suite àl'incroyable effondrement d'un immeuble de quatre étages, situéau niveau de la rue Tamglit (exRue Boutin à la basse Casbah), vers 6h du matin. Au moment oùnous mettons sous presse, selonnos informations, cinq personnesétaient toujours sous lesdécombres. Mais, selon laProtection civile, on dénombre deux victimes sorties par les éléments de la Protection civile quiassure que "les recherches sont en cours". Il s'agit d'un enfant de 3 ans et son père d'une trentaine d'années. L'horreur est à son comble! La colère des habitant a poussés à chasser lewali d'Alger, AbdelkaderZoukh, qui a dû être évacué par les forces de l'ordre. Les habitants de la rue Ali-Tameghlit avaient lancé plusieurs S.O.SLes habitants du quartier d'Ali- ont lancé à maintereprises, des appels de détresse les autorités régionales et ilsdemandaient et demandentencore un relogement, leurs viesétant sous le risque. Les catastrophes naturelles et les sinistres, tels les incendies et les explosions de gaz, ont dégradé davantage l'état des immeubles qui datent du 19e siècle. Les autorités ont fait la sourde oreille à ses habitants, malgré plusieurs articles médiatiques qui ont dénoncé les conditions de viedes habitants de La Casbah. On cite un témoignage récolté par le quotidien Liberté et publié dans un article en 2009 : "Je suis un habitant d'un immeuble construit au XIXe siècle, il a été expertisé et classé, après le séisme de 2003, en orange (catégorie4)". "Nous lançons un SOS où nous demandons juste un recasement. Le président de l'APC de La Casbah nousrépond qu'il faut attendre comme tout le monde. Est-ce que nous avons le choix d'attendre une situation pareille ?" L'appel a été lancé par un habitant, de la rue Ali-Tameglit, nommé Bensaâda Fouad, en 2009, dix ans après et toujours aucune réponse de la part des autorités.L'incroyable explication de wilaya d'Alger À travers un communiqué publiésur sa page officielleFacebook, le deuxième de la journée, lawilaya d'Alger a donné plus d'informations sur la bâtisse quis'est effondrée, causant la mort d'au moins deux personnes. Cette dernière informe que "selon les données enregistrées au niveau du contrôle technique de la construction, l'immeuble en question a été classé Orange 4 en 2003, après le tremblement terre de Boumerdès". La wilaya d'Alger affirme avoir entrepris, à l'époque, des démarches pour le relogement familles qui occupent l'immeuble, sis 2 rue Tamglit à la nbasse Casbah, mais que ces dernières ont refusé de rejoindre les chalets provisoires. La wilaya d'Alger révèle, par ailleurs, que "cet immeuble a subi un autre contrôle en 2016, suite auquel il a été demandé aux occupants de quitter les lieux, mais une desdeux familles a refusé, ce qui a rendu impossible l'opération derelogement". On apprend, donc, de la part de la wilaya d'Alger, que cette bâtisse menaçait ruine depuis plus de quinze années. Cequi devait arriver arriva, un certain 22 avril 2019. Résultat : Au moins deux morts et trois autres corps seraient toujours sous les décombres. situéau niveau de la rue Tamglit (exRue Boutin à la basse Casbah), vers 6h du matin. Au moment oùnous mettons sous presse, selonnos informations, cinq personnesétaient toujours sous lesdécombres. Mais, selon laProtection civile, on dénombre deux victimes sorties par les éléments de la Protection civile quiassure que "les recherches sont en cours". Il s'agit d'un enfant de 3 ans et son père d'une trentaine d'années. L'horreur est à son comble! La colère des habitant a poussés à chasser lewali d'Alger, AbdelkaderZoukh, qui a dû être évacué par les forces de l'ordre. Les habitants de la rue Ali-Tameghlit avaient lancé plusieurs S.O.SLes habitants du quartier d'Ali- ont lancé à maintereprises, des appels de détresse les autorités régionales et ilsdemandaient et demandentencore un relogement, leurs viesétant sous le risque. Les catastrophes naturelles et les sinistres, tels les incendies et les explosions de gaz, ont dégradé davantage l'état des immeubles qui datent du 19e siècle. Les autorités ont fait la sourde oreille à ses habitants, malgré plusieurs articles médiatiques qui ont dénoncé les conditions de viedes habitants de La Casbah. On cite un témoignage récolté par le quotidien Liberté et publié dans un article en 2009 : "Je suis un habitant d'un immeuble construit au XIXe siècle, il a été expertisé et classé, après le séisme de 2003, en orange (catégorie4)". "Nous lançons un SOS où nous demandons juste un recasement. Le président de l'APC de La Casbah nousrépond qu'il faut attendre comme tout le monde. Est-ce que nous avons le choix d'attendre une situation pareille ?" L'appel a été lancé par un habitant, de la rue Ali-Tameglit, nommé Bensaâda Fouad, en 2009, dix ans après et toujours aucune réponse de la part des autorités.L'incroyable explication de wilaya d'Alger À travers un communiqué publiésur sa page officielleFacebook, le deuxième de la journée, lawilaya d'Alger a donné plus d'informations sur la bâtisse quis'est effondrée, causant la mort d'au moins deux personnes. Cette dernière informe que "selon les données enregistrées au niveau du contrôle technique de la construction, l'immeuble en question a été classé Orange 4 en 2003, après le tremblement terre de Boumerdès". La wilaya d'Alger affirme avoir entrepris, à l'époque, des démarches pour le relogement familles qui occupent l'immeuble, sis 2 rue Tamglit à la nbasse Casbah, mais que ces dernières ont refusé de rejoindre les chalets provisoires. La wilaya d'Alger révèle, par ailleurs, que "cet immeuble a subi un autre contrôle en 2016, suite auquel il a été demandé aux occupants de quitter les lieux, mais une desdeux familles a refusé, ce qui a rendu impossible l'opération derelogement". On apprend, donc, de la part de la wilaya d'Alger, que cette bâtisse menaçait ruine depuis plus de quinze années. Cequi devait arriver arriva, un certain 22 avril 2019. Résultat : Au moins deux morts et trois autres corps seraient toujours sous les décombres.