Le militant Messaoud Leftissi a étécondamné par la Cour de Skikda à 6 mois de prison avec sursis et 100.000 Dad'amende, pour "incitation à attroupementarmé", a-t-on appris auprès de sa famille. Le militant Messaoud Leftissi a étécondamné par la Cour de Skikda à 6 mois de prison avec sursis et 100.000 Dad'amende, pour "incitation à attroupementarmé", a-t-on appris auprès de sa famille. La Cour de Skikda a rendu son verdict, en l'absence du détenu, placé sous mandat de dépôt à la prison El Harrach à Alger, pour "avoir porté le drapeau amazigh" lors du vendredi 21 juin. Il a été convoqué le 06 mai à une audienceprogrammée le 02 juin, avant d'être reportée pour le 23 du même mois, puis pour le 14 juillet. Messaoud Leftissi est accusé "d'incitation à attroupement armé", selon,le paragraphe 2 de l'article 100 du Code pénal. Il s'est notamment fait remarqué durant les marches pacifiques, qui se déroulent chaque vendredi contre le pouvoir. Sa convocation avait suscité de vives réactions chez les citoyens et des associations de défense des droits de l'Homme. Les avocats de la défense ont 10 jours pour faire appel de cette décision, selon la même source. Vendredi 21 juin, il a été interpellé devant la Grande-Poste puis placé sous mandat de dépôt par le tribunal de Sidi M'Hamed. Il est accusé, avec plusieurs autres manifestants, de "porter atteinte à l'unité nationale", car il avait en sa possession un drapeau amazigh. La Cour de Skikda a rendu son verdict, en l'absence du détenu, placé sous mandat de dépôt à la prison El Harrach à Alger, pour "avoir porté le drapeau amazigh" lors du vendredi 21 juin. Il a été convoqué le 06 mai à une audienceprogrammée le 02 juin, avant d'être reportée pour le 23 du même mois, puis pour le 14 juillet. Messaoud Leftissi est accusé "d'incitation à attroupement armé", selon,le paragraphe 2 de l'article 100 du Code pénal. Il s'est notamment fait remarqué durant les marches pacifiques, qui se déroulent chaque vendredi contre le pouvoir. Sa convocation avait suscité de vives réactions chez les citoyens et des associations de défense des droits de l'Homme. Les avocats de la défense ont 10 jours pour faire appel de cette décision, selon la même source. Vendredi 21 juin, il a été interpellé devant la Grande-Poste puis placé sous mandat de dépôt par le tribunal de Sidi M'Hamed. Il est accusé, avec plusieurs autres manifestants, de "porter atteinte à l'unité nationale", car il avait en sa possession un drapeau amazigh.