Les quatre élues démocrates issues de minorités attaquées par DonaldTrump dans une série de tweets xénophobes ont répondu au Présidentaméricain, Les quatre élues démocrates issues de minorités attaquées par DonaldTrump dans une série de tweets xénophobes ont répondu au Présidentaméricain, lors d'une conférence depresse commune à Washington."On ne nous fera pas taire", a affirmél'élue noire du MassachusettsAyanna Pressley, qui a accuséDonald Trump de manquer "de la grâce, de l'empathie, de la compassionet de l'intégrité qu'exigent lafonction" présidentielle. Egalement visée par les tweets, Ilhan Omar, a accusé de son côté Trump, auteur, selon elle, d'une "attaque ouvertement raciste à l'encontre de quatre élues de couleur", de promouvoir les idées des nationalistes blancs. "Nous avons un président qui a mis sur le même plan les néo-nazis et ceux qui manifestaient contre eux de Charlottesville. Nous avons un président qui a ouvertement violé la valeur même que notre pays aspire à porter : l'égalité dans la loi, la liberté religieuse, l'égalité de protection et la protection face à la persécution", a-t-elle dit. "Nous avons le choix: nous pouvons continuer de laisser ses pouvoirs à ce président et parler de toutes les ordures qui sortent de sa bouche, ou bien nous pouvons le porter responsable de ses délits (...) Il est temps pour nous d'arrêter ce président qui se moque de notre Constitution. Il est temps pour nous de destituer ce président", a poursuivi Ilhan Omar, premièrefemme musulmane élue au Congrès américain avec Rashida Tlaib. lors d'une conférence depresse commune à Washington."On ne nous fera pas taire", a affirmél'élue noire du MassachusettsAyanna Pressley, qui a accuséDonald Trump de manquer "de la grâce, de l'empathie, de la compassionet de l'intégrité qu'exigent lafonction" présidentielle. Egalement visée par les tweets, Ilhan Omar, a accusé de son côté Trump, auteur, selon elle, d'une "attaque ouvertement raciste à l'encontre de quatre élues de couleur", de promouvoir les idées des nationalistes blancs. "Nous avons un président qui a mis sur le même plan les néo-nazis et ceux qui manifestaient contre eux de Charlottesville. Nous avons un président qui a ouvertement violé la valeur même que notre pays aspire à porter : l'égalité dans la loi, la liberté religieuse, l'égalité de protection et la protection face à la persécution", a-t-elle dit. "Nous avons le choix: nous pouvons continuer de laisser ses pouvoirs à ce président et parler de toutes les ordures qui sortent de sa bouche, ou bien nous pouvons le porter responsable de ses délits (...) Il est temps pour nous d'arrêter ce président qui se moque de notre Constitution. Il est temps pour nous de destituer ce président", a poursuivi Ilhan Omar, premièrefemme musulmane élue au Congrès américain avec Rashida Tlaib.