Le retour à l'importation de véhicules de moins de trois ans semble inéluctable. Les pouvoirs publics l'ont, partouches successives, laissésclairement entendre cesderniers temps. Le retour à l'importation de véhicules de moins de trois ans semble inéluctable. Les pouvoirs publics l'ont, partouches successives, laissésclairement entendre cesderniers temps. Hier encore un haut responsable est en effet allé un peu plus dans ce sens. En effet, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a confirmé leretour à l'importation des véhicules de moins de trois ans, en expliquant que la mesure "est en bonne voie"."Nous sommes en train de mettre en place le dispositif technique et juridique pour soumettre le dossier au Premier ministère et la mesure sera probablement intégrée dans le projet de loi de finance 2020", a-tilexpliqué lundi. "Comme déjà annoncé auparavant, on attend seulement laconception des mécanismes juridiquespermettant au citoyen d'importer les véhiculesd'occasion" a-t-il encore précisé nelaissant pratiquement aucun doute sur leretour à l'importation des voitures demoins de trois ans dès le début de l'année prochaine. En juillet dernier le ministreavait affirmé que le retour de l'importationdes véhicules d'occasion, permettra de "faire pression" sur le marché des véhicules assemblés localement. Une annonce qui a réjoui plus d'un Algérien, eu égard à la cherté excessive du prix de l'automobile. Il y a quelques semaines un haut responsable du ministère de l'Industrie et des Mines a affirmé que le "groupe intersectoriel chargé de l'examen d'un éventuelretour de ce mécanisme, n'est pas parvenu encore à une conclusion". "Il y a un groupe de travail qui a été installé, dont nous (ministère de l'Industrie) faisons partie. Mais pour le moment il n'y a pas encore de conclusion", a expliqué le directeur général du développement industriel et technologique, Mustapha Hamoudi. Concernant l'impact négatif que peut avoir ce retour sur l'économie nationale, ce responsable s'est contenté de répondre qu'"aucune conclusion n'a été établie sur cette éventualité". Pour rappel, les ministres des Finances et du Commerce ont été chargés, lors d'un Conseil interministériel, tenu en mai dernier, d'élaborer une "conception sur les mécanismes juridiques permettant au citoyen d'importer les véhicules d' ccasion". Hier encore un haut responsable est en effet allé un peu plus dans ce sens. En effet, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a confirmé leretour à l'importation des véhicules de moins de trois ans, en expliquant que la mesure "est en bonne voie"."Nous sommes en train de mettre en place le dispositif technique et juridique pour soumettre le dossier au Premier ministère et la mesure sera probablement intégrée dans le projet de loi de finance 2020", a-tilexpliqué lundi. "Comme déjà annoncé auparavant, on attend seulement laconception des mécanismes juridiquespermettant au citoyen d'importer les véhiculesd'occasion" a-t-il encore précisé nelaissant pratiquement aucun doute sur leretour à l'importation des voitures demoins de trois ans dès le début de l'année prochaine. En juillet dernier le ministreavait affirmé que le retour de l'importationdes véhicules d'occasion, permettra de "faire pression" sur le marché des véhicules assemblés localement. Une annonce qui a réjoui plus d'un Algérien, eu égard à la cherté excessive du prix de l'automobile. Il y a quelques semaines un haut responsable du ministère de l'Industrie et des Mines a affirmé que le "groupe intersectoriel chargé de l'examen d'un éventuelretour de ce mécanisme, n'est pas parvenu encore à une conclusion". "Il y a un groupe de travail qui a été installé, dont nous (ministère de l'Industrie) faisons partie. Mais pour le moment il n'y a pas encore de conclusion", a expliqué le directeur général du développement industriel et technologique, Mustapha Hamoudi. Concernant l'impact négatif que peut avoir ce retour sur l'économie nationale, ce responsable s'est contenté de répondre qu'"aucune conclusion n'a été établie sur cette éventualité". Pour rappel, les ministres des Finances et du Commerce ont été chargés, lors d'un Conseil interministériel, tenu en mai dernier, d'élaborer une "conception sur les mécanismes juridiques permettant au citoyen d'importer les véhicules d' ccasion".