Désormais, les vendredis se suivent et se ressemblent! Depuis le 22 février dernier, c'est pratiquement le même scénario. Et le vendredi d'hier n'a pas dérogé à la règle,puisque des Algériens sont sortis manifester pour clamer haut et fort, leurs revendications. Désormais, les vendredis se suivent et se ressemblent! Depuis le 22 février dernier, c'est pratiquement le même scénario. Et le vendredi d'hier n'a pas dérogé à la règle,puisque des Algériens sont sortis manifester pour clamer haut et fort, leurs revendications. Des dizaines de milliers de personnes ont en effet battu le pavé, à Alger et dans de nombreuses autres villes du pays, pour dire non, encore une fois, à la feuille de route du pouvoir. Ils ont ainsi exprimé leur total rejet de l'élection présidentielle du 12 décembre prochain. Comme ils ont aussi revendiqué, comme ils le font depuis de longs mois déjà, le depart de tous les symboles de l'ancien système. Le slogan " makanach intikhabat maa el Issabat " (pas d'élection avec les gangs), a résonné dans toutes les villes où il y'avait des manifestations. A Alger et juste après la prière du vendredi, des cortèges de citoyens ont afflué de plusieurs quartiers de la capitale, en direction de la place de la Grande Poste et la place Audin, les deux lieux emblématiques des manifestations. Lors de ce 36e vendredi de mobilisation, les manifestants, dont beaucoup erraient drapés de l'Emblème national, ont aussi mis en avant la revendication de la libération des detenus du HIrak. A ce titre, les portraits de nombreux détenus ont été brandis par les manifestants, notamment ceux du moudjahid Lakhdar Bouragaa, de Karim Tabou, de Fodil Boumala, de samir Belarbi, ainsi que ceux de jeunes manifestants qui sont incarcérés depuis des mois déjà. Les manifestants ont aussi dénoncé le projet de loi sur les hydrocarbures, adopté par le Conseil des ministres, et qui est actuellement en examen devant l'APN. Pour rappel, ce projet de loi a suscité une opposition de nombreux acteurs de la classe politique, ainsi que des experts. Rappelons aussi, qu'une grande manifestation populaire a eu lieu devant l'APN, il y'a une dizaine de jours, pour dire non à ce projet de loi. Des dizaines de milliers de personnes ont en effet battu le pavé, à Alger et dans de nombreuses autres villes du pays, pour dire non, encore une fois, à la feuille de route du pouvoir. Ils ont ainsi exprimé leur total rejet de l'élection présidentielle du 12 décembre prochain. Comme ils ont aussi revendiqué, comme ils le font depuis de longs mois déjà, le depart de tous les symboles de l'ancien système. Le slogan " makanach intikhabat maa el Issabat " (pas d'élection avec les gangs), a résonné dans toutes les villes où il y'avait des manifestations. A Alger et juste après la prière du vendredi, des cortèges de citoyens ont afflué de plusieurs quartiers de la capitale, en direction de la place de la Grande Poste et la place Audin, les deux lieux emblématiques des manifestations. Lors de ce 36e vendredi de mobilisation, les manifestants, dont beaucoup erraient drapés de l'Emblème national, ont aussi mis en avant la revendication de la libération des detenus du HIrak. A ce titre, les portraits de nombreux détenus ont été brandis par les manifestants, notamment ceux du moudjahid Lakhdar Bouragaa, de Karim Tabou, de Fodil Boumala, de samir Belarbi, ainsi que ceux de jeunes manifestants qui sont incarcérés depuis des mois déjà. Les manifestants ont aussi dénoncé le projet de loi sur les hydrocarbures, adopté par le Conseil des ministres, et qui est actuellement en examen devant l'APN. Pour rappel, ce projet de loi a suscité une opposition de nombreux acteurs de la classe politique, ainsi que des experts. Rappelons aussi, qu'une grande manifestation populaire a eu lieu devant l'APN, il y'a une dizaine de jours, pour dire non à ce projet de loi.