L'Algérie, "en tant qu'institutions et peuple, n'admet aucune tentative d'ingérence dans ses affaires internes", a réaffirmé lundi à Alger le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, ministre de la Culture par intérim, Hassen Rabehi... L'Algérie, "en tant qu'institutions et peuple, n'admet aucune tentative d'ingérence dans ses affaires internes", a réaffirmé lundi à Alger le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, ministre de la Culture par intérim, Hassen Rabehi... Le ministre a appelé les différents partenaires à "respecter ce principe". "Il est admis dans l'esprit de l'Union européenne (UE) ainsi que de tous nos partenaires étrangers que l'Algérie s'attache au principe de la non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays, tout comme elle n'admet pas, en tant qu'institutions et peuple à ce qu'il puisse avoir une interférence dans ses affaires intérieures", a déclaré à l'APS M. Rabehi, en réaction à l'annonce d'une réunion du Parlement européen consacrée à la situation en Algérie. "Je souhaite, tout d'abord, relever le fait que les relations de l'Algérie avec l'UE sont des relations stratégiques et très importantes qui couvrent tous les secteurs d'activités. Autant que l'UE et l'Algérie sont conscients de ce caractère stratégique et ne permettraient pas à qui que ce soit de remettre en cause cette qualification stratégique par de simples parlementaires qui se caractérisent par une myopie et qui ne mesurent pas l'importance de ces relations", a-t-il souligné, en marge d'une rencontre à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre la violence à l'égard de lafemme. "L'UE et l'Algérie, de par le nombre d'accords qui ont été signés ainsi en considération des interactions fructueuses qu'il y a eu jusqu'à présent, renforcent la confiance en l'avenir de ces relations, auxquelles les deux parties accordent une importance stratégique", a-t-il insisté. Interrogé par ailleurs, sur l'évaluation de la première semaine du coup d'envoi de la campagne électorale, le ministre a indiqué que cette prérogative revient à l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie). "Toutefois et en tant que citoyen et de par le suivi des évènements, j'ai pu constater que cette campagne se déroule, dans l'ensemble, dans de bonnes conditions. Je souhaite sincèrement à ce que la préparation de cette élection continue à se dérouler dans des conditions normales de sorte à ce qu'on puisse réunir les meilleures conditions de l'exercice par tous les citoyens de leur devoir électoral", a-t-il déclaré. Le ministre a indiqué avoir constaté "une volonté sincère" de la part d'un grand nombre de citoyens d'adhérer au processus électoral, "qui reste la voie salutaire pour permettre à notre pays de sortir de la situation actuelle et aller vers une étape nouvelle qui permettra à l'Algérie de renforcer sa stabilité, sa sécurité et également d'utiliser à bon escient toutes le ressources dont elle dispose". Le ministre a appelé les différents partenaires à "respecter ce principe". "Il est admis dans l'esprit de l'Union européenne (UE) ainsi que de tous nos partenaires étrangers que l'Algérie s'attache au principe de la non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays, tout comme elle n'admet pas, en tant qu'institutions et peuple à ce qu'il puisse avoir une interférence dans ses affaires intérieures", a déclaré à l'APS M. Rabehi, en réaction à l'annonce d'une réunion du Parlement européen consacrée à la situation en Algérie. "Je souhaite, tout d'abord, relever le fait que les relations de l'Algérie avec l'UE sont des relations stratégiques et très importantes qui couvrent tous les secteurs d'activités. Autant que l'UE et l'Algérie sont conscients de ce caractère stratégique et ne permettraient pas à qui que ce soit de remettre en cause cette qualification stratégique par de simples parlementaires qui se caractérisent par une myopie et qui ne mesurent pas l'importance de ces relations", a-t-il souligné, en marge d'une rencontre à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre la violence à l'égard de lafemme. "L'UE et l'Algérie, de par le nombre d'accords qui ont été signés ainsi en considération des interactions fructueuses qu'il y a eu jusqu'à présent, renforcent la confiance en l'avenir de ces relations, auxquelles les deux parties accordent une importance stratégique", a-t-il insisté. Interrogé par ailleurs, sur l'évaluation de la première semaine du coup d'envoi de la campagne électorale, le ministre a indiqué que cette prérogative revient à l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie). "Toutefois et en tant que citoyen et de par le suivi des évènements, j'ai pu constater que cette campagne se déroule, dans l'ensemble, dans de bonnes conditions. Je souhaite sincèrement à ce que la préparation de cette élection continue à se dérouler dans des conditions normales de sorte à ce qu'on puisse réunir les meilleures conditions de l'exercice par tous les citoyens de leur devoir électoral", a-t-il déclaré. Le ministre a indiqué avoir constaté "une volonté sincère" de la part d'un grand nombre de citoyens d'adhérer au processus électoral, "qui reste la voie salutaire pour permettre à notre pays de sortir de la situation actuelle et aller vers une étape nouvelle qui permettra à l'Algérie de renforcer sa stabilité, sa sécurité et également d'utiliser à bon escient toutes le ressources dont elle dispose".