fraichement nommé devra, ndans les jours qui suivent, annoncer son gouvernement. nOn parle dés lors des engagements de Tebboune sur une composante jeune, issue du monde universitaire et de la société civile. fraichement nommé devra, ndans les jours qui suivent, annoncer son gouvernement. nOn parle dés lors des engagements de Tebboune sur une composante jeune, issue du monde universitaire et de la société civile. D'ores et déjà, le nouveau Premier ministre va s'atteler à former, dans les jours qui nsuivent, son gouvernement. Si pour l'heure aucun nom n'a été avancé, c'est que les choix ne seront pas pris à la hâte. Dans ce qui devra constituer la nouvelle équipe gouvernementale, le Premier ministre, Abdelaziz Djerrad, navait déjà indiqué dans sa première déclaration à la presse, qu'il aller "travailler avec l'ensemble des compétences nationales, des cadres du pays et des citoyens et citoyennes, pour relever les défis socio-économiques et faire sortir de cette périodedélicate que traverse le pays". Une déclaration qui met en exergue les engagements du président Tebboune de "rompre avec l'ordre ancien" et de travailler avec de nouvelles ressources. On dit que le prochain gouvernement sera équilibré, où les technocrates composeront avec des hauts ncadres de l'administration et de politiciens. Il convient de dire, que les noms seront issus également de la société civile, avec un personnel rajeuni. C'est ce qu'a d'ailleurs promis le président de la République, qui avait déclaré que des jeunes de 26 et 30 ans, seront recrutés dans les nouvelles tâches de la nouvelle République. De plus, le président Tebboune veut mettre de l'ordre dans les institutions de l'Etat, en prônant une politique de communication professionnelle, débarrassée des scories passées. C'est pour cette raison que l'on parle d'une ouverture dans le dialogue, avec les principaux animateurs de la société civile et ceux du mouvement populaire. Cette tâche incombera à Djerrad, qui montre déjà une disponibilité à établir un pont de concertation avec le Hirak et les camps de l'opposition. Des tâches immenses et lourdes Le Premier ministre aura du pain sur la planche. Des dossiers lourdsnl'attendent au tournant. Sur le front économique, il aura à mettre des efforts incommensurables, pour le redressement de la machine économique et la priorité à la relance de l'investissement national. Les autresvolets concernent à fixer un échéancier sur la révision constitutionnelle et la poursuite de la réforme de l'Etat, deux chapitres que le président Tebboune avait évoqué, et devra les confier à son nouveau Premier ministre. Il devra aussi trouver les modes opératoires pour rétablir la confiance entre le peuple et le gouvernement, en tablant sur la transparence et une communication plus ouverte. La réforme de la justice et la consécration effective de son indépendance sera également le gage pour la "nouvelle République", qu'a promis le chef de nl'Etat. Dans ce cadre, il est attendu dans ce chantier, des nouveautés dans le choix des nominations dans la chancellerie, et des discussions avec le corps des magistrats et avocats, surl'avènement d'une nouvelle feuille de route sur les réformes. Sur le plan politique, le Premier ministre devra également jeter les bases d'un dialogue, avec la classe politique dans son ensemble, et l'opposition en évitant l'exclusion et l'ostracisme. Les observateurs attendent beaucoup sur le front interne, en misant sur la cohésion avec la société civile. De par la crise que traverse le pays, Abdelaziz Djerrad aura à conforter une nouvelle diplomatie, qui s'attaquera d'emblée à nla restauration de l'image de l'Algérie, à travers le monde. Les npoints brûlants de l'actualité, comme la menace de conflit en Libye, la résurgence de la crise sécuritaire au Sahel et le déploiement diplomatique sur le front maghrébin, sont autant de dossiers pendants, qui doivent être revus à la lumière de nouvelles donnes. Il y a également les relations avec l'Union européenne et la France, qui requièrent actuellement une attention particulière, dans le contexte où l'ingérence dans les affaires internes de l'Algérie a été à plusieurs reprises nnoté D'ores et déjà, le nouveau Premier ministre va s'atteler à former, dans les jours qui nsuivent, son gouvernement. Si pour l'heure aucun nom n'a été avancé, c'est que les choix ne seront pas pris à la hâte. Dans ce qui devra constituer la nouvelle équipe gouvernementale, le Premier ministre, Abdelaziz Djerrad, navait déjà indiqué dans sa première déclaration à la presse, qu'il aller "travailler avec l'ensemble des compétences nationales, des cadres du pays et des citoyens et citoyennes, pour relever les défis socio-économiques et faire sortir de cette périodedélicate que traverse le pays". Une déclaration qui met en exergue les engagements du président Tebboune de "rompre avec l'ordre ancien" et de travailler avec de nouvelles ressources. On dit que le prochain gouvernement sera équilibré, où les technocrates composeront avec des hauts ncadres de l'administration et de politiciens. Il convient de dire, que les noms seront issus également de la société civile, avec un personnel rajeuni. C'est ce qu'a d'ailleurs promis le président de la République, qui avait déclaré que des jeunes de 26 et 30 ans, seront recrutés dans les nouvelles tâches de la nouvelle République. De plus, le président Tebboune veut mettre de l'ordre dans les institutions de l'Etat, en prônant une politique de communication professionnelle, débarrassée des scories passées. C'est pour cette raison que l'on parle d'une ouverture dans le dialogue, avec les principaux animateurs de la société civile et ceux du mouvement populaire. Cette tâche incombera à Djerrad, qui montre déjà une disponibilité à établir un pont de concertation avec le Hirak et les camps de l'opposition. Des tâches immenses et lourdes Le Premier ministre aura du pain sur la planche. Des dossiers lourdsnl'attendent au tournant. Sur le front économique, il aura à mettre des efforts incommensurables, pour le redressement de la machine économique et la priorité à la relance de l'investissement national. Les autresvolets concernent à fixer un échéancier sur la révision constitutionnelle et la poursuite de la réforme de l'Etat, deux chapitres que le président Tebboune avait évoqué, et devra les confier à son nouveau Premier ministre. Il devra aussi trouver les modes opératoires pour rétablir la confiance entre le peuple et le gouvernement, en tablant sur la transparence et une communication plus ouverte. La réforme de la justice et la consécration effective de son indépendance sera également le gage pour la "nouvelle République", qu'a promis le chef de nl'Etat. Dans ce cadre, il est attendu dans ce chantier, des nouveautés dans le choix des nominations dans la chancellerie, et des discussions avec le corps des magistrats et avocats, surl'avènement d'une nouvelle feuille de route sur les réformes. Sur le plan politique, le Premier ministre devra également jeter les bases d'un dialogue, avec la classe politique dans son ensemble, et l'opposition en évitant l'exclusion et l'ostracisme. Les observateurs attendent beaucoup sur le front interne, en misant sur la cohésion avec la société civile. De par la crise que traverse le pays, Abdelaziz Djerrad aura à conforter une nouvelle diplomatie, qui s'attaquera d'emblée à nla restauration de l'image de l'Algérie, à travers le monde. Les npoints brûlants de l'actualité, comme la menace de conflit en Libye, la résurgence de la crise sécuritaire au Sahel et le déploiement diplomatique sur le front maghrébin, sont autant de dossiers pendants, qui doivent être revus à la lumière de nouvelles donnes. Il y a également les relations avec l'Union européenne et la France, qui requièrent actuellement une attention particulière, dans le contexte où l'ingérence dans les affaires internes de l'Algérie a été à plusieurs reprises nnoté