Le journaliste et activiste politique Fodil Boumala sera jugé le 9 février prochain, à l'occasion de son procès programmé officiellement au niveau du tribunal de Dar El Beida, selon son avocat Abderrahmane Salah. Le journaliste et activiste politique Fodil Boumala sera jugé le 9 février prochain, à l'occasion de son procès programmé officiellement au niveau du tribunal de Dar El Beida, selon son avocat Abderrahmane Salah. Pour rappel, Boumala, dont les demandes de liberté provisoire ont été à plusieurs reprises rejetées, a été placé sous mandat de dépôt par le juge du même tribunal, le 19 septembre dernier. Le juge d'instruction du tribunal de Dar El Beida a retenu contre lui les chefs d'inculpation d'"atteinte à l'intégrité du territoire national" et d'"atteinte à l'unité nationale". Auparavant, l'autre activiste politique Samir Benlarbi, arrêté lui aussi le 16 septembre dernier, sera jugé le 27 de ce mois au niveau du tribunal de Bir Mourad Rais, selon le même avocat qui fait partie du collectif de défense des détenus. Cette figure de proue du mouvement populaire devra répondre de chefs d'inculpation "d'atteinte à l'unité du territoire national", et de "diffusion de tract susceptible de porter atteinte à l'intérêt nationale". En revanche, pour le militant politique Karim Tabbou, qui avait été, lui aussi, arrêté le 25 septembre, soit quelques jours seulement après Benlarbi et Boumala, aucune date n'est pour l'instant fixée pour la tenue de son procès. Arrêté une première fois le 25 septembre, puis libéré et arrêté une seconde fois le lendemain, Karim Tabbou, qui croupit depuis à la prison de Koléa, est accusé lui aussi d'avoir porté "atteinte à l'unité nationale", avant que le juge d'instruction du tribunal de Sidi Mhamed ne lui endosse aussi l'accusation de "porter atteinte au moral de l'armée". La famille du coordinateur d l'UDS, dont la durée de détention vient d'être renouvelée pour quatre mois (du 26 janvier au 26 avril), ne sait toujours pas s'il sera jugé d'ici là. Pour rappel, le président de la République a promis à certaines personnalités qu'il a reçues, notamment Soufiane Djilali, de faire libérer progressivement les détenus du Hirak. Pour rappel, Boumala, dont les demandes de liberté provisoire ont été à plusieurs reprises rejetées, a été placé sous mandat de dépôt par le juge du même tribunal, le 19 septembre dernier. Le juge d'instruction du tribunal de Dar El Beida a retenu contre lui les chefs d'inculpation d'"atteinte à l'intégrité du territoire national" et d'"atteinte à l'unité nationale". Auparavant, l'autre activiste politique Samir Benlarbi, arrêté lui aussi le 16 septembre dernier, sera jugé le 27 de ce mois au niveau du tribunal de Bir Mourad Rais, selon le même avocat qui fait partie du collectif de défense des détenus. Cette figure de proue du mouvement populaire devra répondre de chefs d'inculpation "d'atteinte à l'unité du territoire national", et de "diffusion de tract susceptible de porter atteinte à l'intérêt nationale". En revanche, pour le militant politique Karim Tabbou, qui avait été, lui aussi, arrêté le 25 septembre, soit quelques jours seulement après Benlarbi et Boumala, aucune date n'est pour l'instant fixée pour la tenue de son procès. Arrêté une première fois le 25 septembre, puis libéré et arrêté une seconde fois le lendemain, Karim Tabbou, qui croupit depuis à la prison de Koléa, est accusé lui aussi d'avoir porté "atteinte à l'unité nationale", avant que le juge d'instruction du tribunal de Sidi Mhamed ne lui endosse aussi l'accusation de "porter atteinte au moral de l'armée". La famille du coordinateur d l'UDS, dont la durée de détention vient d'être renouvelée pour quatre mois (du 26 janvier au 26 avril), ne sait toujours pas s'il sera jugé d'ici là. Pour rappel, le président de la République a promis à certaines personnalités qu'il a reçues, notamment Soufiane Djilali, de faire libérer progressivement les détenus du Hirak.