Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Chems Eddine Chitour, a tenu à lever toutes les ambiguïtés sur certaines décisions. Il a rassuré la communauté universitaire, sur l'enseignement de l'anglais, les bourses accordées aux étudiants et la tenue des examens. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Chems Eddine Chitour, a tenu à lever toutes les ambiguïtés sur certaines décisions. Il a rassuré la communauté universitaire, sur l'enseignement de l'anglais, les bourses accordées aux étudiants et la tenue des examens. Atravers le site d'informations du ministère, le Pr Chems Eddine Chitour a souligné, que "l'enseignement de l'anglais dans le cursus universitaire sera par paliers et cette année, il ne concernera que les étudiants en cycle de doctorat et qui ont réussi leurs épreuves". Face aux inquiétudes des étudiants dans ces filières, dont l'enseignement est en français, le ministrea rassuré "qu'aucun professeur ne sera mis à la porte", et que les étudiants peuvent continuer leur cursus le plus normalement. A l'adresse des enseignants en lettres françaises, le ministre a été clair : "Il n'y a pas de décision pour arrêter ces filières" arguant du fait que certaines informations sur ce sujet sont erronées. Ainsi, la décision de généraliser l'anglais qui était prévu par son prédécesseur, ne sera appliquée que par dose progressive tenant compte de "l'adaptation nécessaire à cette nouvelle donne" et également de l'environnement culturel de l'université algérienne. Pour ne pas se précipiter dans une décision qui aura des conséquences fâcheuses, le ministre indique "qu'il y aura prochainement la création d'un bouquet de chaines TV, pour l'enseignement de l'anglais et il faudra compter sur le temps pour réorganiser les filières d'études à la langue de Shakespeare". La bourse uniquement pour les étudiants Dans sa réponse aux étudiants, le ministre a clarifié la situation. Aucun changement ne portera à l'avenir sur le montant de la bourse accordé aux étudiants. Il a également décidé que "les étudiants en cycle de doctorat et qui ont des postes de travail ne peuvent prétendre à la bourse, car le règlement en vigueur interdit le cumul de deux salaires". De même que le montant des présalaires pour certaines catégories d'étudiants dans des instituts spécialisés, ne connaitront pas une augmentation comme cela a été colporté. Dans le volet qui concerne les examens, Chitour a mis en exergue "les règles d'éthique qui obligent les étudiants à ne pas s'adonner à la fraude et dont il faut s'éloigner", non sans indiquer que "tous les examens seront dorénavant homogénéisés". Les recteurs et doyens des facultés et d'instituts seront appelés à "coordonner leurs approches pour finaliser les examens et éviter les retards", sachant que pour différentes raisons, les étudiants se sont plaints des retards où parfois, ils entamaient leurs examens en plein vacances d'été. Revoir la recherche scientifique Le premier responsable du département de l'université a estimé dans ses réponses, que "la recherche sera revue à la lumière de nouveaux facteurs et normes qu'on doit prendre en compte". Evoquant le sujet qui préoccupe les chercheurs, le ministre veut que "la recherche soit pratique et pour cela, il ne suffit pas du financement mais de moyens adéquats, selon les besoins de chaque groupe de chercheurs, et peu importe la filière". Le plus important pour le ministre, est "de rehausser le niveau de la recherche avec une qualité qui doit se traduire sur les résultats Atravers le site d'informations du ministère, le Pr Chems Eddine Chitour a souligné, que "l'enseignement de l'anglais dans le cursus universitaire sera par paliers et cette année, il ne concernera que les étudiants en cycle de doctorat et qui ont réussi leurs épreuves". Face aux inquiétudes des étudiants dans ces filières, dont l'enseignement est en français, le ministrea rassuré "qu'aucun professeur ne sera mis à la porte", et que les étudiants peuvent continuer leur cursus le plus normalement. A l'adresse des enseignants en lettres françaises, le ministre a été clair : "Il n'y a pas de décision pour arrêter ces filières" arguant du fait que certaines informations sur ce sujet sont erronées. Ainsi, la décision de généraliser l'anglais qui était prévu par son prédécesseur, ne sera appliquée que par dose progressive tenant compte de "l'adaptation nécessaire à cette nouvelle donne" et également de l'environnement culturel de l'université algérienne. Pour ne pas se précipiter dans une décision qui aura des conséquences fâcheuses, le ministre indique "qu'il y aura prochainement la création d'un bouquet de chaines TV, pour l'enseignement de l'anglais et il faudra compter sur le temps pour réorganiser les filières d'études à la langue de Shakespeare". La bourse uniquement pour les étudiants Dans sa réponse aux étudiants, le ministre a clarifié la situation. Aucun changement ne portera à l'avenir sur le montant de la bourse accordé aux étudiants. Il a également décidé que "les étudiants en cycle de doctorat et qui ont des postes de travail ne peuvent prétendre à la bourse, car le règlement en vigueur interdit le cumul de deux salaires". De même que le montant des présalaires pour certaines catégories d'étudiants dans des instituts spécialisés, ne connaitront pas une augmentation comme cela a été colporté. Dans le volet qui concerne les examens, Chitour a mis en exergue "les règles d'éthique qui obligent les étudiants à ne pas s'adonner à la fraude et dont il faut s'éloigner", non sans indiquer que "tous les examens seront dorénavant homogénéisés". Les recteurs et doyens des facultés et d'instituts seront appelés à "coordonner leurs approches pour finaliser les examens et éviter les retards", sachant que pour différentes raisons, les étudiants se sont plaints des retards où parfois, ils entamaient leurs examens en plein vacances d'été. Revoir la recherche scientifique Le premier responsable du département de l'université a estimé dans ses réponses, que "la recherche sera revue à la lumière de nouveaux facteurs et normes qu'on doit prendre en compte". Evoquant le sujet qui préoccupe les chercheurs, le ministre veut que "la recherche soit pratique et pour cela, il ne suffit pas du financement mais de moyens adéquats, selon les besoins de chaque groupe de chercheurs, et peu importe la filière". Le plus important pour le ministre, est "de rehausser le niveau de la recherche avec une qualité qui doit se traduire sur les résultats