Lors de leur rencontre surprise en Ouganda, Benyamin Netanyahu a dit être convenu avec le général Al-Burhan"d'entamer une coopération qui normalisera les relations entre les deux pays". Lors de leur rencontre surprise en Ouganda, Benyamin Netanyahu a dit être convenu avec le général Al-Burhan"d'entamer une coopération qui normalisera les relations entre les deux pays". Une perspective qui divise au Soudan. La rencontre entre le général Abdel Fattah al-Burhan et Benyamin Netanyahu lundi en a surpris plus d'un au Soudan. À commencer par le gouvernement. Le soir-même, le porte-parole du gouvernement a affirmé ne pas avoir été mis au courant de cette rencontre. À son retour à Khartoum mardi, le général Al-Burhan s'est entretenu avec le Conseil souverain. Cette instance composée de civils et de militaires est chargéede diriger le pays jusqu'à la transition vers un pouvoir civil. Le chef de la junte soudanaise a expliqué agir pour, dit-il, "protéger la sécurité nationale du Soudan et ses intérêts". La perspective d'un rapprochement avec Israël ne fait pas l'unanimité. Ainsi, le Parti communiste soudanais a dénoncé ce qu'il appelle "un coup de poignard dans le dos, pour la lutte anti-impérialiste du peuple soudanais et son soutien au peuple palestinien". Une perspective qui divise au Soudan. La rencontre entre le général Abdel Fattah al-Burhan et Benyamin Netanyahu lundi en a surpris plus d'un au Soudan. À commencer par le gouvernement. Le soir-même, le porte-parole du gouvernement a affirmé ne pas avoir été mis au courant de cette rencontre. À son retour à Khartoum mardi, le général Al-Burhan s'est entretenu avec le Conseil souverain. Cette instance composée de civils et de militaires est chargéede diriger le pays jusqu'à la transition vers un pouvoir civil. Le chef de la junte soudanaise a expliqué agir pour, dit-il, "protéger la sécurité nationale du Soudan et ses intérêts". La perspective d'un rapprochement avec Israël ne fait pas l'unanimité. Ainsi, le Parti communiste soudanais a dénoncé ce qu'il appelle "un coup de poignard dans le dos, pour la lutte anti-impérialiste du peuple soudanais et son soutien au peuple palestinien".