L'Opep et ses alliés vont se réunir lundi par vidéoconférence, pour tenter de trouver une réponse à l'effondrement des cours du pétrole lié au coronavirus, a affirmé hier à la presse, une source proche de l'organisation basée à Vienne. L'Opep et ses alliés vont se réunir lundi par vidéoconférence, pour tenter de trouver une réponse à l'effondrement des cours du pétrole lié au coronavirus, a affirmé hier à la presse, une source proche de l'organisation basée à Vienne. L'Arabie saoudite, principal producteur du cartel, avait appelé jeudi, "à la demande des Etats-Unis", à une réunion "urgente" de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et d'autres pays, dont la Russie, pour parvenir à un "accord équitable qui rétablira l'équilibre des marchés pétroliers", selon l'agence saoudienne SPA. "L'Azerbaïdjan a été invité à une réunion des ministres de l'Opep et des pays non membres, par vidéoconférence le 6 avril, afin de stabiliser le marché pétrolier", a par ailleurs indiqué dans un communiqué le ministère de l'Energie de ce pays du Caucase. Selon Bakou, cette réunion se tiendra "à l'invitation de l'Arabie saoudite après les pourparlers avec le président américain Donald Trump". Elle visera à discuter de l'adoption d'une "nouvelle déclaration de coopération", selon la même source. Une source russe, citée par l'agence publique Ria Novosti, a également évoqué la date du 6 avril, ajoutant que la réunion viserait à discuter d'une réduction de la production, à hauteur de 10 millions de barils par jour. Selon une autre source russe citée par l'agence TASS, le régulateur américain a été invité à prendre part à la réunion. Le président Trump a évoqué jeudi, un possible accord entre l'Arabie saoudite et la Russie, engagés dans une guerre des prix du pétrole, sur une baisse de dix millions de barils. La Russie - deuxième producteur mondial mais non membre de l'Opep -, a refusé le mois dernier une réduction de la production mondiale de brut afin de compenser une baisse de la demande provoquée par la pandémie due au nouveau coronavirus. Vers 14H50 GMT, jeudi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin valait 30,82 dollars à Londres, en hausse de 24,58% par rapport à la clôture de mercredi, peu après avoir touché 36,29 dollars. L'Arabie saoudite, principal producteur du cartel, avait appelé jeudi, "à la demande des Etats-Unis", à une réunion "urgente" de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et d'autres pays, dont la Russie, pour parvenir à un "accord équitable qui rétablira l'équilibre des marchés pétroliers", selon l'agence saoudienne SPA. "L'Azerbaïdjan a été invité à une réunion des ministres de l'Opep et des pays non membres, par vidéoconférence le 6 avril, afin de stabiliser le marché pétrolier", a par ailleurs indiqué dans un communiqué le ministère de l'Energie de ce pays du Caucase. Selon Bakou, cette réunion se tiendra "à l'invitation de l'Arabie saoudite après les pourparlers avec le président américain Donald Trump". Elle visera à discuter de l'adoption d'une "nouvelle déclaration de coopération", selon la même source. Une source russe, citée par l'agence publique Ria Novosti, a également évoqué la date du 6 avril, ajoutant que la réunion viserait à discuter d'une réduction de la production, à hauteur de 10 millions de barils par jour. Selon une autre source russe citée par l'agence TASS, le régulateur américain a été invité à prendre part à la réunion. Le président Trump a évoqué jeudi, un possible accord entre l'Arabie saoudite et la Russie, engagés dans une guerre des prix du pétrole, sur une baisse de dix millions de barils. La Russie - deuxième producteur mondial mais non membre de l'Opep -, a refusé le mois dernier une réduction de la production mondiale de brut afin de compenser une baisse de la demande provoquée par la pandémie due au nouveau coronavirus. Vers 14H50 GMT, jeudi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin valait 30,82 dollars à Londres, en hausse de 24,58% par rapport à la clôture de mercredi, peu après avoir touché 36,29 dollars.