L'Algérie n'a pas apprécié le rapport de la Banque mondiale concernant l'évolution économique en Algérie. L'Algérie n'a pas apprécié le rapport de la Banque mondiale concernant l'évolution économique en Algérie. situation économique en Algérie, allant toute honte bue jusqu'à même à prédire "un séisme" dévastateur et des perspectives obscures pour le pays. Dans son dernier rapport, la Banque mondiale, qui est supposée être une institution internationale chargée, entre autres, d'élaborer des rapports financiers et économiques ainsi que des analyses objectives sur la base d'indicateurs fiables et crédibles, s'en est pris de manière maladroite et gratuite à l'Algérie où elle prédit un "séisme économique", compte tenu, croit-elle savoir, de la "vulnérabilité" du pays en termes d'exportations. Pis encore, la BM évoque la "pauvreté en Algérie", au moment où elle passe sous silence la situation de précarité alarmante voire dangereuse et suicidaire sévissant dans un pays voisin de l'ouest de l'Algérie. Du coup, cette institution perd tout ce qui lui reste de crédibilité. Et pour cause, elle pond des rapports fallacieux qui obéissent à un agenda au service des lobbies qui n'ont jamais cessé d'instrumentaliser des campagnes hostiles à l'Algérie, dont l'objectif est d'attenter à un Etat stable qui veille à sa souveraineté politique et économique. Manifestement, il y a un complot visant à nuire à la stabilité du pays à travers ce genre de rapports négatifs et nuisibles, fondés sur des indicateurs et des arguments non sourcés, publiés par des influenceurs et des anonymes sur les réseaux sociaux, sachant que ces derniers sont financés et parrainés par des parties n'hésitant pas à déverser toute leur haine sur l'Algérie, l'objectif étant de fausser l'opinion publique. Il s'agit aussi de ternir l'image de l'Algérie et de semer le doute parmi les Algériens, notamment après les images d'union et de communion que le pays a vécues récemment après la consécration de l'équipe nationale de football en coupe arabe-Fifa. Les pratiques insidieuses de la Banque mondiale contrastent avec le dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI) qui a relevé des progrès et des avancées dans l'économie du pays. Cela contraste aussi avec les acquis enregistrés par l'Algérie sur les plans politique, social et économique, notamment à la faveur du parachèvement des institutions de l'Etat, entamées par l'élection du président Abdelmadjid Tebboune en décembre 2019 et couronnées par les dernières élections locales. A cet effet, la Banque mondiale a omis d'évoquer les défis relevés par l'Algérie dans une conjoncture économique délicate, marquée par la pandémie de coronavirus, mieux encore l'Algérie a réussi à dégager un excédent, pour la première fois, de plus d'un milliard de dollars dans sa balance commerciale et reste le seul pays sur tout le continent qui n'a aucune dette. Alors que plusieurs pays ont vu leurs économies s'effondrer, l'Algérie a réussi à résister à cette situation et à rester debout, n'en déplaise à la Banque mondiale et à de nombreux détracteurs, aussi bien à l'intérieur du pays qu'à l'étranger. Aussi, il est important de préciser que l'Algérie, qui est étonnée des prétendus chiffres avancés par la BM, n'arrivera jamais et en aucun cas au volume d'importation de 50 milliards de dollars. Une tentative de déstabilisation de l'Algérie Le dernier rapport de la Banque mondiale sur l'Algérie dénote une forte tendance à voir l'Algérie en noir. Dans un rapport sans aucune valeur, qui n'a rien de financier, visiblement rédigé sur instigation de certaines parties connues pour leur hostilité à l'Algérie, la Banque mondiale s'en prend à l'Algérie. Elle s'est même arrogée, toute honte bue, un droit de prédire un séisme économique. De quoi créer et alimenter une psychose au sein de la population. Ce rapport, qui a occulté toutes les bonnes performances économiques et sociales de l'Algérie, a osé inventer des chiffres sur une "prétendue pauvreté en Algérie", au moment où tous les indicateurs de pauvreté sont au vert. Et pourtant, la pauvreté a une adresse dans la région. Mais, la BM n'en parle pas, il n'est pas question de rapporter des vérités et donner les vrais chiffres de la pauvreté au Maroc. Il faut protéger ce royaume du mal et de la misère chuchoté par les patrons de l'institution de Bretton Woods. La Banque mondiale est sortie de son rôle et a abandonné ses missions, le temps de rédiger un rapport mensonger sur le pays, elle a pris l'outrecuidante liberté de statuer sur la situation de l'Algérie qui connaît, pourtant, une embellie dans tous les domaines, y compris dans son taux de croissance L'Algérie condamne et rejette dans le fond et dans la forme cette immixtion flagrante de la Banque mondiale. Il s'agit d'une vaine tentative de déstabilisation à la soft power d'un pays qui avance mais qui dérange. La Banque mondiale avait annoncé en 2019 que l'Algérie allait emprunter de l'argent, alors que la situation financière du pays connaît un redressement spectaculaire au moment où les protégés de cette institution financière et de ses lobbies sombraient dans de très graves crises socio-économiques. situation économique en Algérie, allant toute honte bue jusqu'à même à prédire "un séisme" dévastateur et des perspectives obscures pour le pays. Dans son dernier rapport, la Banque mondiale, qui est supposée être une institution internationale chargée, entre autres, d'élaborer des rapports financiers et économiques ainsi que des analyses objectives sur la base d'indicateurs fiables et crédibles, s'en est pris de manière maladroite et gratuite à l'Algérie où elle prédit un "séisme économique", compte tenu, croit-elle savoir, de la "vulnérabilité" du pays en termes d'exportations. Pis encore, la BM évoque la "pauvreté en Algérie", au moment où elle passe sous silence la situation de précarité alarmante voire dangereuse et suicidaire sévissant dans un pays voisin de l'ouest de l'Algérie. Du coup, cette institution perd tout ce qui lui reste de crédibilité. Et pour cause, elle pond des rapports fallacieux qui obéissent à un agenda au service des lobbies qui n'ont jamais cessé d'instrumentaliser des campagnes hostiles à l'Algérie, dont l'objectif est d'attenter à un Etat stable qui veille à sa souveraineté politique et économique. Manifestement, il y a un complot visant à nuire à la stabilité du pays à travers ce genre de rapports négatifs et nuisibles, fondés sur des indicateurs et des arguments non sourcés, publiés par des influenceurs et des anonymes sur les réseaux sociaux, sachant que ces derniers sont financés et parrainés par des parties n'hésitant pas à déverser toute leur haine sur l'Algérie, l'objectif étant de fausser l'opinion publique. Il s'agit aussi de ternir l'image de l'Algérie et de semer le doute parmi les Algériens, notamment après les images d'union et de communion que le pays a vécues récemment après la consécration de l'équipe nationale de football en coupe arabe-Fifa. Les pratiques insidieuses de la Banque mondiale contrastent avec le dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI) qui a relevé des progrès et des avancées dans l'économie du pays. Cela contraste aussi avec les acquis enregistrés par l'Algérie sur les plans politique, social et économique, notamment à la faveur du parachèvement des institutions de l'Etat, entamées par l'élection du président Abdelmadjid Tebboune en décembre 2019 et couronnées par les dernières élections locales. A cet effet, la Banque mondiale a omis d'évoquer les défis relevés par l'Algérie dans une conjoncture économique délicate, marquée par la pandémie de coronavirus, mieux encore l'Algérie a réussi à dégager un excédent, pour la première fois, de plus d'un milliard de dollars dans sa balance commerciale et reste le seul pays sur tout le continent qui n'a aucune dette. Alors que plusieurs pays ont vu leurs économies s'effondrer, l'Algérie a réussi à résister à cette situation et à rester debout, n'en déplaise à la Banque mondiale et à de nombreux détracteurs, aussi bien à l'intérieur du pays qu'à l'étranger. Aussi, il est important de préciser que l'Algérie, qui est étonnée des prétendus chiffres avancés par la BM, n'arrivera jamais et en aucun cas au volume d'importation de 50 milliards de dollars. Une tentative de déstabilisation de l'Algérie Le dernier rapport de la Banque mondiale sur l'Algérie dénote une forte tendance à voir l'Algérie en noir. Dans un rapport sans aucune valeur, qui n'a rien de financier, visiblement rédigé sur instigation de certaines parties connues pour leur hostilité à l'Algérie, la Banque mondiale s'en prend à l'Algérie. Elle s'est même arrogée, toute honte bue, un droit de prédire un séisme économique. De quoi créer et alimenter une psychose au sein de la population. Ce rapport, qui a occulté toutes les bonnes performances économiques et sociales de l'Algérie, a osé inventer des chiffres sur une "prétendue pauvreté en Algérie", au moment où tous les indicateurs de pauvreté sont au vert. Et pourtant, la pauvreté a une adresse dans la région. Mais, la BM n'en parle pas, il n'est pas question de rapporter des vérités et donner les vrais chiffres de la pauvreté au Maroc. Il faut protéger ce royaume du mal et de la misère chuchoté par les patrons de l'institution de Bretton Woods. La Banque mondiale est sortie de son rôle et a abandonné ses missions, le temps de rédiger un rapport mensonger sur le pays, elle a pris l'outrecuidante liberté de statuer sur la situation de l'Algérie qui connaît, pourtant, une embellie dans tous les domaines, y compris dans son taux de croissance L'Algérie condamne et rejette dans le fond et dans la forme cette immixtion flagrante de la Banque mondiale. Il s'agit d'une vaine tentative de déstabilisation à la soft power d'un pays qui avance mais qui dérange. La Banque mondiale avait annoncé en 2019 que l'Algérie allait emprunter de l'argent, alors que la situation financière du pays connaît un redressement spectaculaire au moment où les protégés de cette institution financière et de ses lobbies sombraient dans de très graves crises socio-économiques.