Depuis le sommet quadripartite de Charm el Cheikh auquel avaient pris part outre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, l'Israélien Ehud Olmert, le roi de Jordanie et le président égyptien. Les voix se multiplient, côté palestinien, pour s'élever contre la politique des petits pas. Depuis le sommet quadripartite de Charm el Cheikh auquel avaient pris part outre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, l'Israélien Ehud Olmert, le roi de Jordanie et le président égyptien. Les voix se multiplient, côté palestinien, pour s'élever contre la politique des petits pas. D'un côté, la partie palestinienne qui considère que le but ultime de ces discussions n'est que le statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza, et de l'autre celle israélienne qui exige d'abord les preuves de la volonté palestinienne dans la lutte contre le "terrorisme". On mesure ici toute la délicatesse de la mission dévolue à Tony Blair et au Quartette. Depuis le sommet quadripartite de Charm el Cheikh auquel avaient pris part outre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, l'Israélien Ehud Olmert, le roi de Jordanie et le président égyptien et dont l'objectif était, après les graves évènements survenus dans la bande de Ghaza, de trouver les voies et moyens à même d'aider l'Autorité palestinienne dans la restauration de sa légitimité particulièrement mise à mal par le mouvement Hamas, les voix se multiplient, côté palestinien, pour s'élever contre la politique des petits pas sans grandes conséquences sur l'évolution réelle de la situation menée par Israël. Cette fois-ci, se sont autant le Premier ministre Salim Fayyad que le négociateur palestinien en chef, Saeb Erakat, qui élèvent le ton pour rappeler que le fond du problème n'est rien d'autre que la reprise des pourparlers de paix devant déboucher sur la proclamation d'un Etat palestinien après adoption du statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza. Salim Fayyad a ainsi déclaré que : "pour redonner confiance aux palestiniens dans le processus de paix, il faut traiter en même temps des questions portant sur le long terme et de celles relevant du terme». Salim Fayyad a, par ailleurs estimé que ce serait une erreur grave que de tout concentrer sur les affaires courantes telles par exemple, que la libération progressive de détenus palestiniens ou la question des transferts de sommes d'argent détenues par Israël et non livrées à l'Autorité palestinienne à la suite de la victoire de Hamas aux dernières législatives. Même si des mesures comme celle ayant consisté à autoriser le leader du FDLP, Nayef Hawatmeh, à se rendre à Ramallah pour prendre part à une réunion de la direction de l'OLP, ou encore la renonciation par Israël des poursuites engagées contre 180 activistes du Fatah recherchés par les services de sécurité israéliens, ont une portée symbolique non négligeable, il reste que ce n'est pas cette politique des petits pas qui pourrait faire avancer les choses. C'est ce qu'à également confirmé le négociateur en chef palestinien, Saeb Erakat, quand il déclarait, à propos de la réunion d'hier entre Mahmoud Abbas et Ehud Olmert à El Qods, que "le président Abbas ne doit pas se laisser prendre au jeu des questions secondaires, sans grande incidence sur le long terme. Il doit insister sur la nécessité de reprendre les négociations sur le statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza". On sait que ces négociations sont gelées depuis février 2000 par l'Etat hébreu et ce à la suite du déclenchement de la seconde intifadha. Erakat a en outre estimé qu'il est «plus que jamais impératif d'offrir une perspective politique.» Pour sa part, et s'exprimant au nom du gouvernement israélien, la porte-parole de Ehud Olmert a estimé, conformément à la ligne classique de son pays, que la condition sine qua non pour la reprise des pourparlers de paix est dans le fait que l'Autorité palestinienne fournisse le maximum de preuves de sa volonté de combattre le terrorisme. Dans de telles conditions de tout ou rien, on ne mesure que davantage l'extrême délicatesse de la mission assignée à l'ex-Premier ministre britannique, Tony Blair, nommé récemment à la tête du quartette qui, lui aussi, doit se rendre en territoires sous autorité palestinienne dans les jours prochains. D'un côté, la partie palestinienne qui considère que le but ultime de ces discussions n'est que le statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza, et de l'autre celle israélienne qui exige d'abord les preuves de la volonté palestinienne dans la lutte contre le "terrorisme". On mesure ici toute la délicatesse de la mission dévolue à Tony Blair et au Quartette. Depuis le sommet quadripartite de Charm el Cheikh auquel avaient pris part outre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, l'Israélien Ehud Olmert, le roi de Jordanie et le président égyptien et dont l'objectif était, après les graves évènements survenus dans la bande de Ghaza, de trouver les voies et moyens à même d'aider l'Autorité palestinienne dans la restauration de sa légitimité particulièrement mise à mal par le mouvement Hamas, les voix se multiplient, côté palestinien, pour s'élever contre la politique des petits pas sans grandes conséquences sur l'évolution réelle de la situation menée par Israël. Cette fois-ci, se sont autant le Premier ministre Salim Fayyad que le négociateur palestinien en chef, Saeb Erakat, qui élèvent le ton pour rappeler que le fond du problème n'est rien d'autre que la reprise des pourparlers de paix devant déboucher sur la proclamation d'un Etat palestinien après adoption du statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza. Salim Fayyad a ainsi déclaré que : "pour redonner confiance aux palestiniens dans le processus de paix, il faut traiter en même temps des questions portant sur le long terme et de celles relevant du terme». Salim Fayyad a, par ailleurs estimé que ce serait une erreur grave que de tout concentrer sur les affaires courantes telles par exemple, que la libération progressive de détenus palestiniens ou la question des transferts de sommes d'argent détenues par Israël et non livrées à l'Autorité palestinienne à la suite de la victoire de Hamas aux dernières législatives. Même si des mesures comme celle ayant consisté à autoriser le leader du FDLP, Nayef Hawatmeh, à se rendre à Ramallah pour prendre part à une réunion de la direction de l'OLP, ou encore la renonciation par Israël des poursuites engagées contre 180 activistes du Fatah recherchés par les services de sécurité israéliens, ont une portée symbolique non négligeable, il reste que ce n'est pas cette politique des petits pas qui pourrait faire avancer les choses. C'est ce qu'à également confirmé le négociateur en chef palestinien, Saeb Erakat, quand il déclarait, à propos de la réunion d'hier entre Mahmoud Abbas et Ehud Olmert à El Qods, que "le président Abbas ne doit pas se laisser prendre au jeu des questions secondaires, sans grande incidence sur le long terme. Il doit insister sur la nécessité de reprendre les négociations sur le statut définitif de la Cisjordanie et de la bande de Ghaza". On sait que ces négociations sont gelées depuis février 2000 par l'Etat hébreu et ce à la suite du déclenchement de la seconde intifadha. Erakat a en outre estimé qu'il est «plus que jamais impératif d'offrir une perspective politique.» Pour sa part, et s'exprimant au nom du gouvernement israélien, la porte-parole de Ehud Olmert a estimé, conformément à la ligne classique de son pays, que la condition sine qua non pour la reprise des pourparlers de paix est dans le fait que l'Autorité palestinienne fournisse le maximum de preuves de sa volonté de combattre le terrorisme. Dans de telles conditions de tout ou rien, on ne mesure que davantage l'extrême délicatesse de la mission assignée à l'ex-Premier ministre britannique, Tony Blair, nommé récemment à la tête du quartette qui, lui aussi, doit se rendre en territoires sous autorité palestinienne dans les jours prochains.