Les exportations hors-hydrocarbures de l'Algérie durant les six premiers mois de l'année 2007 se sont soldées par des recettes de l'ordre de 570 millions de dollars, l'équivalent de 40.428 millions de DA tous secteurs d'activité confondus. Comparativement à l'année précédente, le premier semestre de l'année en cours n'est pas supérieur en termes de revenus en devises par rapport à la même période de l'année dernière, sachant qu'en 2006, les exportations annuelles hors hydrocarbures ont rapporté 1.157 millions de dollars, soit 84 087 millions de DA. On constate donc une certaine stagnation dans le volume des exportations et un statu quo en matière de ressources financières. Au moment où l'Algérie envisage de diversifier ses exportations et essayer de jouer un rôle positif au sein du pourtour méditerranéen en vertu de l'accord d'association avec l'Union européenne, et surtout après l'adhésion à l'OMC, notre pays demeure toujours mono-exportateur. Plus de 97% de nos exportations concernent les hydrocarbures (pétrole et gaz). Cela signifie que nos produits industriels et agroalimentaires subissent une régression flagrante, non seulement concernant la production, mais également au niveau de la présence du label national sur le marché international. Les solvants naphta (huiles provenant de la distillation des goudrons de houille) arrivent en tête des principaux produits exportés avec une quantité évaluée à plus de 291 milliers de tonnes, rapportant 167 millions de dollars (11 862 millions de DA), soit un taux de plus de 29 % du total des exportations hors hydrocarbures. L'ammoniac et les produits laminés plats en fer ou en acier non alliés, sont également en bonne position dans la structure de nos exportations en commercialisent respectivement 291 et 98 milliers de tonnes. Ce qui se traduit en termes financiers par des recettes de l'ordre de 81 et 58 millions dedollars. La part du zinc sous forme brut et alliages de zinc se situent autour de 8 % dans le total des exportations avec 12 milliers de tonnes ayant procuré des gains importants, à savoir 44 millions de dollars (3.183 millions DA). Quant aux déchets ferreux et non ferreux, qui généralement occupent une place prépondérante dans le volume de nos exportations hors hydrocarbures, ils ont rapporté 31,4 millions dollars pour une quantité commercialisée de 94 milliers de tonnes. S'agissant des phosphates et de l'hélium, ils ont respectivement drainé les sommes de 25 et 16 millions dedollars. Sur le plan quantitatif, ils ont vendu 815 et 2 milliers de tonnes sur le marché mondial. Concernant les autres produits, tels que le méthanol (alcool méthylique), pneumatiques neufs en caoutchouc, dattes, ils ont récolté respectivement 14, 13 et 10 millions de dollars. Les polymères de l'éthylène (9,3), les eaux minérales et les boissons gazéifiées (8,1) et les crevettes (4), sont également prisés à l'étranger puisqu'ils ont rapporté, à eux seuls, 21 millions de dollars. D'autres produits exportés méritent aussi d'être cités, tels que les parties et accessoires de mesures, de contrôle et de précision (2,9 millions dollars), Degas (résidus provenant du traitement des corps gras (2,2), le beurre, graisse et huile de cacao (2), les engrais (1,9) et enfin les goudrons de houille, de lignite ou de tourbe (1,6 millions de dollars). Les exportations hors-hydrocarbures de l'Algérie durant les six premiers mois de l'année 2007 se sont soldées par des recettes de l'ordre de 570 millions de dollars, l'équivalent de 40.428 millions de DA tous secteurs d'activité confondus. Comparativement à l'année précédente, le premier semestre de l'année en cours n'est pas supérieur en termes de revenus en devises par rapport à la même période de l'année dernière, sachant qu'en 2006, les exportations annuelles hors hydrocarbures ont rapporté 1.157 millions de dollars, soit 84 087 millions de DA. On constate donc une certaine stagnation dans le volume des exportations et un statu quo en matière de ressources financières. Au moment où l'Algérie envisage de diversifier ses exportations et essayer de jouer un rôle positif au sein du pourtour méditerranéen en vertu de l'accord d'association avec l'Union européenne, et surtout après l'adhésion à l'OMC, notre pays demeure toujours mono-exportateur. Plus de 97% de nos exportations concernent les hydrocarbures (pétrole et gaz). Cela signifie que nos produits industriels et agroalimentaires subissent une régression flagrante, non seulement concernant la production, mais également au niveau de la présence du label national sur le marché international. Les solvants naphta (huiles provenant de la distillation des goudrons de houille) arrivent en tête des principaux produits exportés avec une quantité évaluée à plus de 291 milliers de tonnes, rapportant 167 millions de dollars (11 862 millions de DA), soit un taux de plus de 29 % du total des exportations hors hydrocarbures. L'ammoniac et les produits laminés plats en fer ou en acier non alliés, sont également en bonne position dans la structure de nos exportations en commercialisent respectivement 291 et 98 milliers de tonnes. Ce qui se traduit en termes financiers par des recettes de l'ordre de 81 et 58 millions dedollars. La part du zinc sous forme brut et alliages de zinc se situent autour de 8 % dans le total des exportations avec 12 milliers de tonnes ayant procuré des gains importants, à savoir 44 millions de dollars (3.183 millions DA). Quant aux déchets ferreux et non ferreux, qui généralement occupent une place prépondérante dans le volume de nos exportations hors hydrocarbures, ils ont rapporté 31,4 millions dollars pour une quantité commercialisée de 94 milliers de tonnes. S'agissant des phosphates et de l'hélium, ils ont respectivement drainé les sommes de 25 et 16 millions dedollars. Sur le plan quantitatif, ils ont vendu 815 et 2 milliers de tonnes sur le marché mondial. Concernant les autres produits, tels que le méthanol (alcool méthylique), pneumatiques neufs en caoutchouc, dattes, ils ont récolté respectivement 14, 13 et 10 millions de dollars. Les polymères de l'éthylène (9,3), les eaux minérales et les boissons gazéifiées (8,1) et les crevettes (4), sont également prisés à l'étranger puisqu'ils ont rapporté, à eux seuls, 21 millions de dollars. D'autres produits exportés méritent aussi d'être cités, tels que les parties et accessoires de mesures, de contrôle et de précision (2,9 millions dollars), Degas (résidus provenant du traitement des corps gras (2,2), le beurre, graisse et huile de cacao (2), les engrais (1,9) et enfin les goudrons de houille, de lignite ou de tourbe (1,6 millions de dollars).