Le constat est plus que significatif. De plus en plus de compagnies étrangères cherchent à investir dans le secteur sidérurgique en Algérie. L'intérêt croissant porté à ce secteur s'est traduit récemment par plusieurs annonces d'investissements, à l'instar de celle du géant franco-indien Arcelor-Mittal, numéro un mondial du secteur, qui ambitionne de réaliser une nouvelle usine de fabrication de rond à béton d'une capacité de 600.000 tonnes par an à Jijel. Le montant de cet investissement avoisine les 80 millions de dollars. Signalons également que la mise en œuvre de ce projet n'attend que le feu vert du gouvernement. Pour rappel, le géant Arcelor-Mittal exploite en partenariat avec Sider depuis 2001 le complexe d'El-Hadjar à hauteur de 70%. Une entité sidérurgique qui renferme en son sein pas moins de 9.000 travailleurs et dont l'importance économique, et surtout sociale, est indéniable. D'autre part, Ezz Industries, une société égyptienne spécialisée dans l'industrie de l'acier et l'un des leaders du secteur dans la région du Moyen-Orient, a signé aussi, il y a de cela une semaine avec le ministère de l'Industrie, un accord portant sur l'installation, dans la région de Jijel, d'une usine de production d'acier. En effet, le groupe sidérurgique égyptien a obtenu l'accord du gouvernement pour réaliser un complexe sidérurgique à Bellara dans la wilaya de Jijel d'un coût de plus de 750 millions de dollars. Produisant essentiellement du rond à béton, Ezz Industries entend, une fois l'usine mise en place, se tourner en partie vers l'exportation. De son côté, le groupe privé Cevital discute actuellement avec l'italien Danieli pour la construction d'un complexe sidérurgique de 10 millions de tonnes à Cap Djenet, près d'Alger. Le montant de l'investissement attendu pourrait avoisiner les 2 milliards de dollars. Ainsi, selon toute vraisemblance, ces trois grands projets devraient permettre de relancer la sidérurgie algérienne. Une industrie qui avait frôlé, rappelons-le la faillite à la fin des années 90. Aujourd'hui, ce secteur se trouve en plein boom économique. Le constat est plus que significatif. De plus en plus de compagnies étrangères cherchent à investir dans le secteur sidérurgique en Algérie. L'intérêt croissant porté à ce secteur s'est traduit récemment par plusieurs annonces d'investissements, à l'instar de celle du géant franco-indien Arcelor-Mittal, numéro un mondial du secteur, qui ambitionne de réaliser une nouvelle usine de fabrication de rond à béton d'une capacité de 600.000 tonnes par an à Jijel. Le montant de cet investissement avoisine les 80 millions de dollars. Signalons également que la mise en œuvre de ce projet n'attend que le feu vert du gouvernement. Pour rappel, le géant Arcelor-Mittal exploite en partenariat avec Sider depuis 2001 le complexe d'El-Hadjar à hauteur de 70%. Une entité sidérurgique qui renferme en son sein pas moins de 9.000 travailleurs et dont l'importance économique, et surtout sociale, est indéniable. D'autre part, Ezz Industries, une société égyptienne spécialisée dans l'industrie de l'acier et l'un des leaders du secteur dans la région du Moyen-Orient, a signé aussi, il y a de cela une semaine avec le ministère de l'Industrie, un accord portant sur l'installation, dans la région de Jijel, d'une usine de production d'acier. En effet, le groupe sidérurgique égyptien a obtenu l'accord du gouvernement pour réaliser un complexe sidérurgique à Bellara dans la wilaya de Jijel d'un coût de plus de 750 millions de dollars. Produisant essentiellement du rond à béton, Ezz Industries entend, une fois l'usine mise en place, se tourner en partie vers l'exportation. De son côté, le groupe privé Cevital discute actuellement avec l'italien Danieli pour la construction d'un complexe sidérurgique de 10 millions de tonnes à Cap Djenet, près d'Alger. Le montant de l'investissement attendu pourrait avoisiner les 2 milliards de dollars. Ainsi, selon toute vraisemblance, ces trois grands projets devraient permettre de relancer la sidérurgie algérienne. Une industrie qui avait frôlé, rappelons-le la faillite à la fin des années 90. Aujourd'hui, ce secteur se trouve en plein boom économique.