Ce jeudi, la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, a animé plusieurs meetings populaires, en vue de la campagne pour les élections du 29 novembre prochain, dans l'Ouest du pays. En effet, lors de ses déplacements à Oran, à Mostaganem et à Relizane, le leader du PT a abordé plusieurs sujets aujourd'hui du cœur de l'actualité nationale et au centre des préoccupations de nos citoyens. Ainsi, s'exprimant à Relizane sur "la situation difficile que vivent certaines communes, asphyxiées depuis la fermeture des entreprises publiques locales qui a réduit leurs recettes fiscales et le chômage, est le résultat des orientations économiques", ce qui a généré, a-t-elle estimé, "le recul de la production du secteur agricole, la détérioration du pouvoir d'achat du citoyen et le recours aux importations", Louisa Hanoune a appelé à œuvrer pour la réorientation de l'actuelle option économique du pays et ce, pour parvenir à une réelle relance des collectivités et du développement local. Sur ce sujet, la secrétaire générale du PT a ajouté que l'Algérie est aujourd'hui à la croisée des chemins. "Elle connaît une embellie financière et la situation sécuritaire s'est nettement améliorée, ce qui donne au pays l'opportunité d'un véritable bond et de refonte de l'économie grâce à l'investissement de nos ressources", a-t-elle indiqué en précisant qu'il ne faut nullement négliger les efforts de développement consentis à ce jour même s'ils restent, a-t-elle souligné, largement insuffisants. Sur un autre plan, Mme Hanoune a appelé également à l'effacement des dettes des communes et à élargir les prérogatives des assemblées élues. "Le PT milite pour la promulgation d'un statut du président de l'Assemblée populaire communale qui doit gérer la prospérité et l'égalité au lieu de la misère et de la pauvreté", a-t-elle conclu. A ce titre, elle a relevé aussi que "les communes ne peuvent à elles seules, résoudre les problèmes économiques et sociaux sans l'intervention de l'Etat", a-t-elle précisé. Dans ce contexte, la secrétaire général du Parti des travailleurs a estimé, depuis Oran que "la décentralisation de la gestion locale est une menace contre les communes et les wilayas". Et pour cause, ce "mode de gestion préconisé ouvrirait, selon elle, les portes à la spéculation foncière et au bradage des patrimoines des collectivités locales". C'est pour cela que "Etat doit s'impliquer davantage, soutient-elle, financièrement dans la gestion des communes et des wilayas". Dans cet ordre d'idées, Louisa Hanoune a rappelé les propositions de son parti relatives notamment aux amendements futurs des codes de la commune et de la wilaya tout en plaidant pour "une vraie démocratie représentative". Il faut savoir aussi que ces propositions portent en particulier sur le caractère public des délibérations des APC et APW et sur l'adoption de lois et de règlements protégeant l'élu contre la pression de l'administration, a-t- elle expliqué à son assistance. Enfin, en rappelant que la participation du PT aux prochaines élections, constitue "une première" dans la vie de sa formation politique, le leader du PT a mis en relief la dimension nationale du prochain rendez-vous électoral en relevant dans ce cadre l'interdépendance entre la gestion locale et nationale des affaires du pays. Mme Hanoune n'omettra pas aussi d'indiquer que le PT a décidé de participer à ce rendez-vous électoral pour « défendre la souveraineté nationale qui constitue une condition essentielle pour le développement locale ». Ce jeudi, la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, a animé plusieurs meetings populaires, en vue de la campagne pour les élections du 29 novembre prochain, dans l'Ouest du pays. En effet, lors de ses déplacements à Oran, à Mostaganem et à Relizane, le leader du PT a abordé plusieurs sujets aujourd'hui du cœur de l'actualité nationale et au centre des préoccupations de nos citoyens. Ainsi, s'exprimant à Relizane sur "la situation difficile que vivent certaines communes, asphyxiées depuis la fermeture des entreprises publiques locales qui a réduit leurs recettes fiscales et le chômage, est le résultat des orientations économiques", ce qui a généré, a-t-elle estimé, "le recul de la production du secteur agricole, la détérioration du pouvoir d'achat du citoyen et le recours aux importations", Louisa Hanoune a appelé à œuvrer pour la réorientation de l'actuelle option économique du pays et ce, pour parvenir à une réelle relance des collectivités et du développement local. Sur ce sujet, la secrétaire générale du PT a ajouté que l'Algérie est aujourd'hui à la croisée des chemins. "Elle connaît une embellie financière et la situation sécuritaire s'est nettement améliorée, ce qui donne au pays l'opportunité d'un véritable bond et de refonte de l'économie grâce à l'investissement de nos ressources", a-t-elle indiqué en précisant qu'il ne faut nullement négliger les efforts de développement consentis à ce jour même s'ils restent, a-t-elle souligné, largement insuffisants. Sur un autre plan, Mme Hanoune a appelé également à l'effacement des dettes des communes et à élargir les prérogatives des assemblées élues. "Le PT milite pour la promulgation d'un statut du président de l'Assemblée populaire communale qui doit gérer la prospérité et l'égalité au lieu de la misère et de la pauvreté", a-t-elle conclu. A ce titre, elle a relevé aussi que "les communes ne peuvent à elles seules, résoudre les problèmes économiques et sociaux sans l'intervention de l'Etat", a-t-elle précisé. Dans ce contexte, la secrétaire général du Parti des travailleurs a estimé, depuis Oran que "la décentralisation de la gestion locale est une menace contre les communes et les wilayas". Et pour cause, ce "mode de gestion préconisé ouvrirait, selon elle, les portes à la spéculation foncière et au bradage des patrimoines des collectivités locales". C'est pour cela que "Etat doit s'impliquer davantage, soutient-elle, financièrement dans la gestion des communes et des wilayas". Dans cet ordre d'idées, Louisa Hanoune a rappelé les propositions de son parti relatives notamment aux amendements futurs des codes de la commune et de la wilaya tout en plaidant pour "une vraie démocratie représentative". Il faut savoir aussi que ces propositions portent en particulier sur le caractère public des délibérations des APC et APW et sur l'adoption de lois et de règlements protégeant l'élu contre la pression de l'administration, a-t- elle expliqué à son assistance. Enfin, en rappelant que la participation du PT aux prochaines élections, constitue "une première" dans la vie de sa formation politique, le leader du PT a mis en relief la dimension nationale du prochain rendez-vous électoral en relevant dans ce cadre l'interdépendance entre la gestion locale et nationale des affaires du pays. Mme Hanoune n'omettra pas aussi d'indiquer que le PT a décidé de participer à ce rendez-vous électoral pour « défendre la souveraineté nationale qui constitue une condition essentielle pour le développement locale ».