Pour sa première participation aux élections communales, le Parti des travailleurs, par la voix de sa secrétaire générale, Louisa Hanoune, a abordé plusieurs thématiques et fait plusieurs propositions afin de répondre aux préoccupations des citoyens. En sillonnant plusieurs wilayas du pays, Louisa Hanoune n'a pas cessé, lors de ses meetings, de sensibiliser les électeurs sur d'abord l'importance de « sauvegarder la souveraineté nationale », car celle-ci est, selon elle, une condition sine qua non au développement local. Dans ce contexte, elle préconise haut et fort l'abandon du partenariat avec l'Union européenne et l'entrée de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce. Evoquant par la suite la politique économique du pays qui prend une place incontournable dans son programme électoral, la secrétaire générale du PT n'y est pas allée aussi de main morte pour fustiger "l'Etat qui doit, estime-t-elle, recouvrer son rôle et sa place pour préserver les intérêts suprêmes de la Nation face aux agressions étrangères féroces qui ciblent les potentialités économiques nationales". L'Etat serait également coupable, aux yeux de Louisa Hanoune des 40 % de taux de chômage dans le pays et des 30 % des entreprises fermées ainsi que des 40.000 travailleurs licenciés. Ainsi, la responsabilité de cette situation incombe à "la politique centralisée qui a préféré l'investissement étranger à l'investissement national, qui a ouvert la voie à l'économie de bazar", a-t-elle martelé à maintes reprises dans ses meetings populaires. Sur un autre chapitre, force est de constater que l'élargissement des prérogatives des APC a été aussi l'autre pilier sur lequel reposait le programme électoral du PT. Sur ce sujet, le leader du PT considère la commune comme un "cadre idoine" où doit s'exercer la démocratie directe qui permet au citoyen de contrôler la gestion de ses représentants. A ce titre, elle a assuré lors de ses rencontres avec les citoyens que les candidats du PT, une fois élus, sont disposés à rendre compte de leur gestion aux citoyens. Néanmoins, elle n'a eu de cesse d'appeler à garantir aux élus locaux les moyens nécessaires, une protection légale suffisante et de plus amples attributions, pour pouvoir mener leur mission comme il se doit. "Les assemblées élues locales représentent l'épine dorsale de l'Etat, qui se doit de veiller à l'amélioration de la situation des élus et à leur garantir les conditions idoines", a-t-elle longuement expliqué à ses sympathisants dans les meetings populaires. Il reste enfin à savoir si les électeurs donneront, jeudi, raison aux candidats du PT pour mettre à profit "l'opportunité que représentent ces élections pour améliorer la situation socio-économique des citoyens". Pour sa première participation aux élections communales, le Parti des travailleurs, par la voix de sa secrétaire générale, Louisa Hanoune, a abordé plusieurs thématiques et fait plusieurs propositions afin de répondre aux préoccupations des citoyens. En sillonnant plusieurs wilayas du pays, Louisa Hanoune n'a pas cessé, lors de ses meetings, de sensibiliser les électeurs sur d'abord l'importance de « sauvegarder la souveraineté nationale », car celle-ci est, selon elle, une condition sine qua non au développement local. Dans ce contexte, elle préconise haut et fort l'abandon du partenariat avec l'Union européenne et l'entrée de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce. Evoquant par la suite la politique économique du pays qui prend une place incontournable dans son programme électoral, la secrétaire générale du PT n'y est pas allée aussi de main morte pour fustiger "l'Etat qui doit, estime-t-elle, recouvrer son rôle et sa place pour préserver les intérêts suprêmes de la Nation face aux agressions étrangères féroces qui ciblent les potentialités économiques nationales". L'Etat serait également coupable, aux yeux de Louisa Hanoune des 40 % de taux de chômage dans le pays et des 30 % des entreprises fermées ainsi que des 40.000 travailleurs licenciés. Ainsi, la responsabilité de cette situation incombe à "la politique centralisée qui a préféré l'investissement étranger à l'investissement national, qui a ouvert la voie à l'économie de bazar", a-t-elle martelé à maintes reprises dans ses meetings populaires. Sur un autre chapitre, force est de constater que l'élargissement des prérogatives des APC a été aussi l'autre pilier sur lequel reposait le programme électoral du PT. Sur ce sujet, le leader du PT considère la commune comme un "cadre idoine" où doit s'exercer la démocratie directe qui permet au citoyen de contrôler la gestion de ses représentants. A ce titre, elle a assuré lors de ses rencontres avec les citoyens que les candidats du PT, une fois élus, sont disposés à rendre compte de leur gestion aux citoyens. Néanmoins, elle n'a eu de cesse d'appeler à garantir aux élus locaux les moyens nécessaires, une protection légale suffisante et de plus amples attributions, pour pouvoir mener leur mission comme il se doit. "Les assemblées élues locales représentent l'épine dorsale de l'Etat, qui se doit de veiller à l'amélioration de la situation des élus et à leur garantir les conditions idoines", a-t-elle longuement expliqué à ses sympathisants dans les meetings populaires. Il reste enfin à savoir si les électeurs donneront, jeudi, raison aux candidats du PT pour mettre à profit "l'opportunité que représentent ces élections pour améliorer la situation socio-économique des citoyens".