Ces juridictions sont nouvellement créées pour lutter contre les réseaux et les groupes d'envergure nationale et transnationale. Leurs missions concerneront la lutte contre la criminalité organisée internationale, le trafic de stupéfiants, le terrorisme, le blanchiment d'argent, la traite des êtres humains, etc. Ces juridictions sont nouvellement créées pour lutter contre les réseaux et les groupes d'envergure nationale et transnationale. Leurs missions concerneront la lutte contre la criminalité organisée internationale, le trafic de stupéfiants, le terrorisme, le blanchiment d'argent, la traite des êtres humains, etc. Les quatre juridictions régionales, dites pôles spécialisés contre le crime organisé, seront opérationnelles avant la fin de l'année en cours, a révélé, hier, à Alger, Si Hadj Mohamed Arezki, directeur de la formation au ministère de la Justice, lors d'une session de formation organisée à la résidence des magistrats par le ministère de la Justice. Ces juridictions, à savoir, celles d'Oran, d'Alger, de Constantine et de Ouargla sont nouvellement créées pour lutter contre les réseaux et les groupes d'envergure nationale et transnationale. Elles interviendront dans un large éventail d'activités. Leurs missions concerneront la lutte contre la criminalité organisée internationale, le trafic de stupéfiants, le terrorisme, le blanchiment d'argent, la traite des êtres humains, le trafic d'objets d'art, la contrefaçon, l'immigration irrégulière, la fraude informatique et la cybercriminalité. Par ailleurs, l'on apprendra que la coopération entre l'Algérie et la France en matière de sécurité et de lutte contre la criminalité organisée s'est considérablement intensifiée ces dernières années. Elle a été instaurée dans le but de fournir un cadre plus clair et une base plus solide en matière de prévention et d'investigation contre la criminalité internationale. L'accord franco-algérien relatif à la coopération en matière de sécurité et de crime organisé a été signé en 2003. La dernière session de formation, qui a eu lieu hier, touche le volet «crime organisé». Un phénomène qui, au fil des années a pris une dimension transfrontalière et constitue un véritable fléau pour toute la région de la Méditerranée occidentale. Tenue, hier, à huis clos, la session a concerné 38 magistrats encadrés par deux experts français qui ont mis en avant leurs expériences dans le domaine de la lutte contre le crime organisé. Cette session, a précisé le communiqué du ministère de la Justice, traitera pendant ces deux jours «de plusieurs thèmes, notamment le crime organisé et sa relation avec les autres formes de criminalité, le terrorisme et le trafic de drogue». Sur ce sujet, M. Jean-Michel Gentil, vice-président chargé de l'instruction, a souligné qu'il est impératif que la coopération entre les deux pays se développe dans les domaines de la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue. En outre, cette rencontre permettra aux magistrats algériens «d'enrichir leurs connaissances juridiques en s'inspirant des dernières nouveautés en la matière et d'adopter des méthodes nouvelles pour faire face à ce phénomène». Le démantèlement des réseaux criminels reste l'objectif à atteindre et, à ce propos, les participants à ce séminaire évoqueront le rôle des institutions internationales spécialisées dans le démantèlement de ces réseaux. Les quatre juridictions régionales, dites pôles spécialisés contre le crime organisé, seront opérationnelles avant la fin de l'année en cours, a révélé, hier, à Alger, Si Hadj Mohamed Arezki, directeur de la formation au ministère de la Justice, lors d'une session de formation organisée à la résidence des magistrats par le ministère de la Justice. Ces juridictions, à savoir, celles d'Oran, d'Alger, de Constantine et de Ouargla sont nouvellement créées pour lutter contre les réseaux et les groupes d'envergure nationale et transnationale. Elles interviendront dans un large éventail d'activités. Leurs missions concerneront la lutte contre la criminalité organisée internationale, le trafic de stupéfiants, le terrorisme, le blanchiment d'argent, la traite des êtres humains, le trafic d'objets d'art, la contrefaçon, l'immigration irrégulière, la fraude informatique et la cybercriminalité. Par ailleurs, l'on apprendra que la coopération entre l'Algérie et la France en matière de sécurité et de lutte contre la criminalité organisée s'est considérablement intensifiée ces dernières années. Elle a été instaurée dans le but de fournir un cadre plus clair et une base plus solide en matière de prévention et d'investigation contre la criminalité internationale. L'accord franco-algérien relatif à la coopération en matière de sécurité et de crime organisé a été signé en 2003. La dernière session de formation, qui a eu lieu hier, touche le volet «crime organisé». Un phénomène qui, au fil des années a pris une dimension transfrontalière et constitue un véritable fléau pour toute la région de la Méditerranée occidentale. Tenue, hier, à huis clos, la session a concerné 38 magistrats encadrés par deux experts français qui ont mis en avant leurs expériences dans le domaine de la lutte contre le crime organisé. Cette session, a précisé le communiqué du ministère de la Justice, traitera pendant ces deux jours «de plusieurs thèmes, notamment le crime organisé et sa relation avec les autres formes de criminalité, le terrorisme et le trafic de drogue». Sur ce sujet, M. Jean-Michel Gentil, vice-président chargé de l'instruction, a souligné qu'il est impératif que la coopération entre les deux pays se développe dans les domaines de la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue. En outre, cette rencontre permettra aux magistrats algériens «d'enrichir leurs connaissances juridiques en s'inspirant des dernières nouveautés en la matière et d'adopter des méthodes nouvelles pour faire face à ce phénomène». Le démantèlement des réseaux criminels reste l'objectif à atteindre et, à ce propos, les participants à ce séminaire évoqueront le rôle des institutions internationales spécialisées dans le démantèlement de ces réseaux.