Manquer de s'asphyxier en avalant une cacahuète ou après avoir mangé une omelette n'est pas si rare. Même si des précautions évidentes s'imposent, il est possible de bien manger et de bien vivre, en toute sécurité. Manquer de s'asphyxier en avalant une cacahuète ou après avoir mangé une omelette n'est pas si rare. Même si des précautions évidentes s'imposent, il est possible de bien manger et de bien vivre, en toute sécurité. C'est l'un des maux du XXIe siècle : il semble que le nombre d'allergiques ou d'intolérants à certains aliments ne cesse de s'accroître. Un enfant dont les parents ne souffrent d'aucune atopie a 10 % de risques de naître allergique tout de même. Si l'un de ses parents est allergique, ce risque grimpe à 30 %, pour monter jusqu'à 60 % si les deux parents présentent des allergies. Gluten, œufs, lait, arachides… Ces composants de l'alimentation quotidienne peuvent provoquer chez certains des crises aux symptômes variés, allant parfois jusqu'à entraîner la mort. Si les enfants sont beaucoup plus touchés que les adultes, on peut toutefois développer une allergie à n'importe quel âge. L'unique solution pour ne plus déclencher de réactions consiste à éviter à tout prix l'élément allergène. Les mesures d'éviction de cet aliment doivent être drastiques : l'enfant ne doit pas être en contact avec la moindre parcelle d'arachide, d'œuf ou de gluten, sous quelque forme que ce soit, même dérivée. Cette chasse à l'allergène ne souffre aucune exception, que ce soit à la maison, à la cantine ou pendant les vacances. La personne allergique doit toujours porter sur elle une trousse d'urgence qui contiendra de l'adrénaline prête à être injectée et un corticoïde ou un antihistaminique. Cela peut lui sauver la vie en cas de contact avec un allergène. Dans tous les cas, il est particulièrement important de sensibiliser l'enfant au danger qu'il encourt s'il se risque à goûter un aliment "interdit". Cette éducation doit commencer dès le plus jeune âge. Souvent, les enfants sont très réceptifs et raisonnables. Il n'est toutefois pas rare qu'un petit se laisse tenter, lors d'un goûter Les allergies alimentaires peuvent disparaître progressivement, sans que l'on sache expliquer pourquoi. C'est notamment le cas pour les enfants. Il n'est pas rare que l'allergie disparaisse d'elle-même vers l'âge de huit ans. D'où l'importance d'être régulièrement suivi par un allergologue, histoire de ne pas s'imposer un régime draconien pour rien ! C'est l'un des maux du XXIe siècle : il semble que le nombre d'allergiques ou d'intolérants à certains aliments ne cesse de s'accroître. Un enfant dont les parents ne souffrent d'aucune atopie a 10 % de risques de naître allergique tout de même. Si l'un de ses parents est allergique, ce risque grimpe à 30 %, pour monter jusqu'à 60 % si les deux parents présentent des allergies. Gluten, œufs, lait, arachides… Ces composants de l'alimentation quotidienne peuvent provoquer chez certains des crises aux symptômes variés, allant parfois jusqu'à entraîner la mort. Si les enfants sont beaucoup plus touchés que les adultes, on peut toutefois développer une allergie à n'importe quel âge. L'unique solution pour ne plus déclencher de réactions consiste à éviter à tout prix l'élément allergène. Les mesures d'éviction de cet aliment doivent être drastiques : l'enfant ne doit pas être en contact avec la moindre parcelle d'arachide, d'œuf ou de gluten, sous quelque forme que ce soit, même dérivée. Cette chasse à l'allergène ne souffre aucune exception, que ce soit à la maison, à la cantine ou pendant les vacances. La personne allergique doit toujours porter sur elle une trousse d'urgence qui contiendra de l'adrénaline prête à être injectée et un corticoïde ou un antihistaminique. Cela peut lui sauver la vie en cas de contact avec un allergène. Dans tous les cas, il est particulièrement important de sensibiliser l'enfant au danger qu'il encourt s'il se risque à goûter un aliment "interdit". Cette éducation doit commencer dès le plus jeune âge. Souvent, les enfants sont très réceptifs et raisonnables. Il n'est toutefois pas rare qu'un petit se laisse tenter, lors d'un goûter Les allergies alimentaires peuvent disparaître progressivement, sans que l'on sache expliquer pourquoi. C'est notamment le cas pour les enfants. Il n'est pas rare que l'allergie disparaisse d'elle-même vers l'âge de huit ans. D'où l'importance d'être régulièrement suivi par un allergologue, histoire de ne pas s'imposer un régime draconien pour rien !