La rencontre qui a été organisée par un groupe de très jeunes militants et sympathisants de la fédération d'Alger a été émouvante et riche en enseignements. La rencontre qui a été organisée par un groupe de très jeunes militants et sympathisants de la fédération d'Alger a été émouvante et riche en enseignements. «De nouveaux Boudiaf, Ben M'hidi et Hadj Ali sortiront du sein de ce peuple…», a déclaré jeudi après-midi M. Ahmed Akkache lors de l'hommage rendu par le MDS à Bachir Hadj Ali, à l'occasion du 87 ème anniversaire de la naissance du dirigeant du PCA et fondateur de l'ORP (1965) et du PAGS (1966). La rencontre, qui a été organisée par un groupe de très jeunes militants et sympathisants de la fédération d'Alger, piloté par Badredine Bencheikh-Lefgoun, vieux routier des luttes syndicales a été émouvante et riche en enseignements. C'est au siège du Télemly, devant une assistance essentiellement constituée de tout jeunes sympathisants et adhérents ,que la tribune a été animée par M. Ahmed Akkache, Mme Lucette Hadj Ali, veuve du regretté Bachir, Mme Nadjia Hadj Ali, sa fille, M. Bencheikh Lefgoun et enfin M. Hocine Ali secrétaire général du mouvement. Après une minute de silence à la mémoire des martyrs du 11 décembre et de tous les martyrs victimes du terrorisme islamiste, le militant et homme de plume Ahmed Akkache a, dans une longue intervention, évoqué son camarade défunt et fait le bilan des luttes passées, présentes et à venir pour arriver à construire une Algérie de démocratie, de progrès et de justice sociale. Il a cité l'intelligence dans l'action et la grande sensibilité qui caractérisaient Bachir Hadj Ali et son abnégation face aux tortures invalidantes et aux années de détention et d'assignation à résidence dans le Sud qui ont été son lot. M. Akkache a narré l'expérience des comités d'amnistie organisés par le PCA et qui regroupaient des membres de toutes les organisations patriotiques au lendemain des évènements sanglants du 8-Mai 1945. Ces comités ont arraché aux geôles coloniales des centaines d'Algériens condamnés à mort. Etablissant un parallèle entre hier et aujourd'hui, Ahmed Akkache a souligné que l'union des forces patriotiques doit se faire sur le terrain des luttes et non par des palabres entre «chefs». Hocine Ali a, quant à lui, tenu à dénoncer la politique de réconciliation nationale et l'impasse dans laquelle elle a plongé le pays. Mme Lucette Hadj Ali, qui elle-même demeure une militante d'une grande abnégation et modestie, a déclaré avoir énormément apprécié l'exposition sur l'œuvre et la vie de son époux que les jeunes du MDS ont organisée dans le hall du siège national. Un CD sur l'hommage rendu par ses compagnons de lutte en 1990 était également accessible ainsi que les principales œuvres écrites du militant qui était aussi un poète talentueux et un musicologue avisé. Pour clôturer la rencontre, de jeunes musiciens ont fait goûter aux participants des morceaux choisis de Hadj el Anka qui était un grand ami du défunt et qui était comme lui natif de la Casbah issu d'une famille originaire d'Azzefoun. Les jeunes artistes ont ensuite interprété des morceaux de rap à thématique très actuelle. Un des participants a lu des poèmes de son cru en kabyle, arabe et français. Cette rencontre a donné lieu à de nombreuses retrouvailles et débats entre organisateurs et invités. «De nouveaux Boudiaf, Ben M'hidi et Hadj Ali sortiront du sein de ce peuple…», a déclaré jeudi après-midi M. Ahmed Akkache lors de l'hommage rendu par le MDS à Bachir Hadj Ali, à l'occasion du 87 ème anniversaire de la naissance du dirigeant du PCA et fondateur de l'ORP (1965) et du PAGS (1966). La rencontre, qui a été organisée par un groupe de très jeunes militants et sympathisants de la fédération d'Alger, piloté par Badredine Bencheikh-Lefgoun, vieux routier des luttes syndicales a été émouvante et riche en enseignements. C'est au siège du Télemly, devant une assistance essentiellement constituée de tout jeunes sympathisants et adhérents ,que la tribune a été animée par M. Ahmed Akkache, Mme Lucette Hadj Ali, veuve du regretté Bachir, Mme Nadjia Hadj Ali, sa fille, M. Bencheikh Lefgoun et enfin M. Hocine Ali secrétaire général du mouvement. Après une minute de silence à la mémoire des martyrs du 11 décembre et de tous les martyrs victimes du terrorisme islamiste, le militant et homme de plume Ahmed Akkache a, dans une longue intervention, évoqué son camarade défunt et fait le bilan des luttes passées, présentes et à venir pour arriver à construire une Algérie de démocratie, de progrès et de justice sociale. Il a cité l'intelligence dans l'action et la grande sensibilité qui caractérisaient Bachir Hadj Ali et son abnégation face aux tortures invalidantes et aux années de détention et d'assignation à résidence dans le Sud qui ont été son lot. M. Akkache a narré l'expérience des comités d'amnistie organisés par le PCA et qui regroupaient des membres de toutes les organisations patriotiques au lendemain des évènements sanglants du 8-Mai 1945. Ces comités ont arraché aux geôles coloniales des centaines d'Algériens condamnés à mort. Etablissant un parallèle entre hier et aujourd'hui, Ahmed Akkache a souligné que l'union des forces patriotiques doit se faire sur le terrain des luttes et non par des palabres entre «chefs». Hocine Ali a, quant à lui, tenu à dénoncer la politique de réconciliation nationale et l'impasse dans laquelle elle a plongé le pays. Mme Lucette Hadj Ali, qui elle-même demeure une militante d'une grande abnégation et modestie, a déclaré avoir énormément apprécié l'exposition sur l'œuvre et la vie de son époux que les jeunes du MDS ont organisée dans le hall du siège national. Un CD sur l'hommage rendu par ses compagnons de lutte en 1990 était également accessible ainsi que les principales œuvres écrites du militant qui était aussi un poète talentueux et un musicologue avisé. Pour clôturer la rencontre, de jeunes musiciens ont fait goûter aux participants des morceaux choisis de Hadj el Anka qui était un grand ami du défunt et qui était comme lui natif de la Casbah issu d'une famille originaire d'Azzefoun. Les jeunes artistes ont ensuite interprété des morceaux de rap à thématique très actuelle. Un des participants a lu des poèmes de son cru en kabyle, arabe et français. Cette rencontre a donné lieu à de nombreuses retrouvailles et débats entre organisateurs et invités.